Consequence Crise Du 16 Mai 1877

l’abstentionnisme amènent les penseurs à penser que nous serions entrés dans une crise de la démocratie. Les politistes refusent ce type d’expression pour 3 raisons : • Ceux qui statuent sur une crise de la démocratie en général oublient de nous donner leur définition de la démocratie et utilisent des indicateurs de celle-ci qui sont compilés sans réfléchir sur la qualité des catégories référentielles. • Si on parle de crise c’est qu’on est capable d’identifier un âge d’or de la démocratie, qu’y est

revenir délivrer en personne un message devant les députés mais ne peut susciter un débat. Les relations entre Thiers et la majorité monarchiste deviennent houleuses jusqu’à ce que Thiers soit démit de ses fonction le 24 mai 1873. C- La confirmation du régime républicain Le 24 mai 1873, on nomme le successeur de Thiers, le maréchal de Mac Mahon élut Président de la République, c’est un légitimiste plus conservateur. * De l’élection de Mac Mahon à l’élection du septennat Le titre de président

permet d'agir au nom du peuple. Les constituants perdent ainsi leur pari puisqu'ils pensaient qu'il serait mal élu et par conséquent inféodé par l'assemblée nationale. B - Les élections législatives Ces élections se déroulent les 13 et 14 mai 1849 et sont marquées par un taux d'abstention accru (près de 32%) Elles se traduisent par un écrasement du centre. Les républicains modérés sont largement battus. La victoire appartient à la droite, c'est-à-dire les républicains conservateurs ou la

collectionne aussi une foule de détails pour ses romans à venir16. Ces engagements sont quelque peu risqués pour l'écrivain. Il tombe deux fois sous le coup de la loi, et est mis en état d'arrestation en mars 187117. Mais ces arrêts n'ont pas de conséquences et il est chaque fois libéré le jour même. Zola reste soigneusement à l'écart du monde politique, auprès duquel il sait s'engager, mais avec retenue, recul et froideur. L'action politique ne l'intéresse pas et il n'a jamais été candidat à aucune

Harrison . 1841-1845 John Tyler . 1845-1849 James Polk . 1849-1850 Zachary Taylor . 1850-1853 Millard Fillmore . 1853-1857 Franklin Pierce . 1857-1861 James Buchanan . 1861-1865 Abraham Lincoln . 1865-1869 Andrew Johnson . 1869-1877 Ulysses Grant Période étudiée . 1877-1881 Rutherford Hayes (1830-1930) . 1881-1881 James Garfield . 1881-1885 Chester Arthur . 1885-1889 Grover Cleveland . 1889-1893 Benjamin Harrison . 1893-1897 Grover Cleveland . 1897-1901 William McKinley . 1901-1909 Theodore

changement plongent les racines dans le passé, ils constituent l’aboutissement d’un processus. Tocqueville compare la monarchie anglaise et française et il s’intéresse aux causes de la Révolution française. Il explique que la Révolution est la conséquence de la monté de l’idéologie égalitaire dans le siècle qui précède la Révolution. Elle s’est développée avec la remise en cause de la fonction sociale et politique de la noblesse française (une administration qui va progressivement remplacer les aristocrates

L’événement Causes et portée de l’événement B 1873-1875, l’échec de la restauration monarchique L’ordre moral La division des monarchistes C 1875-1879, les Républicains s’installent… Les lois constitutionnelles de 1875 Le « coup d’État du 16 mai 1877 » et sa signification 162 Sommaire séquence 7-HG11 © Cned – Académie en ligne La 2e République, l’échec d’une République de notables Problématique : Comment une Révolution fraternelle et consensuelle a-t-elle pu déboucher sur une

Compétence n°2 – Analyser et critiquer les documents 2, 4 et 5. Quel lien peuton faire entre ces documents ? Soulignez les passages dans le document 5 qui permettent de faire ce lien. Expliquez ensuite quels sont les causes de la colonisation ? Les conséquences de cette expansion Doc. 6. A qui le Maroc ? Les rivalités à propos du Maroc - Dessin humoristique de presse sur la question du Maroc en 1906. Le roi d'Espagne (Alphonse XIII), le roi d'Angleterre ( Édouard VII), l'empereur d'Allemagne (Guillaume

déséquilibre des pouvoirs. L’instabilité gouvernementale est majoritairement due à la pratique politique. En effet, les textes constitutionnels prévoyaient une séparation souple des pouvoirs, une collaboration, un régime parlementaire. En 1877, la France a du faire face à une crise politique qui a créé des affrontements entre l’organe exécutif et le parlement quant à la question de la responsabilité politique du gouvernement. Jules Grévy, au pouvoir, a eu sa propre interprétation de la constitution. On parle

de pouvoir s'imposer au sein du gouvernement car « pour la troisième fois depuis 1875 »(l.1) les républicains remportent les élections. Gambetta fait référence ici aux élections de 1876 (393 sièges républicains contre 140 conservateurs), celles de 1877 (313 sièges républicains contre 159 conservateurs) et celles de 1881 (457 sièges républicains contre 88 sièges pour les conservateurs). Gambetta arrive à la tête du gouvernement, du grand ministère Gambetta par la demande du président de la République