Consentement Non éclairé Du Contractant

se place et moyennant rémunération I – LA FORMATION DU CONTRAT DE TRAVAIL 1.1. Les conditions de fond Comme tout contrat, le contrat de travail doit respecter les conditions de fond posées à l’ article 1108 du code civil : - Un consentement libre et éclairé, c’ est à dire exempt de vices (dole, erreur, violence) - La capacité juridique des parties - Un objet licite - Une cause morale 1.2. Les conditions de forme Le CDI n’ est pas obligatoirement écrit, l’ écrit ne va servir qu’a prouver

d’arret   Commentaire d'arrêt n°3Cet arrêt rendu par la première chambre civile de la Cour de cassation le 3 avril 2002 admet explicitement, sous réserve de certains critères précis, la violence liée à la dépendance économique comme vice du consentement .Une collaboratrice devenue rédactrice salariée d'une société d'éditions depuis 1972, a reconnu la propriété de son employeur sur tous les droits d'exploitation d'un dictionnaire selon une convention à titre onéreux en 1984 et pour lequel elle

contrats d’adhésion dans lesquels une partie ne fait qu’adhérer à une convention pratiquement préparée par l’autre.  Ce libéralisme total, lié à l’individualisme qui constitue le fondement de toute relation contractuelle (liberté de contracter ou non, liberté de forme, liberté du contenu) a fait l’objet de nombreuses critiques qui ont entraîné un déclin sensible du principe de l’autonomie de la volonté. Un important mouvement législatif a suivi et dans les domaines les plus divers, nous avons assisté

code civil vise 4 conditions * le consentement * la capacité * l’objet * la cause I. Le consentement A. l’existence du consentement Il est formé par la rencontre de l’offre et de l’acceptation. Cette rencontre peut se réaliser en un instant, ou au contraire s’étaler dans le temps. (Pour les gros contrats, fruits de négociation) : délai Ces négociations doivent être menée de bonne foi, si chaque partie est libre de conclure ou non le contrat définitif, elle va engager

accords de volontés qui ne créent pas d’effet de droit et des actes qui créent des effets de droit sans être des accords de volontés. Il faut distinguer le contrat et les accords non-obligatoires. Le contrat n’est pas un acte de courtoisie. Le contrat n’est pas non plus un acte de complaisance. Le contrat n’est pas non plus un engagement d’honneur. Pothier : un accord entre un père et son fils n’est pas un contrat. Les engagements familiaux ne sont pas des contrats. Il faut distinguer le contrat

consommateur A – La notion de consommateur stricto sensu 1 – Des personnes qui se procurent ou qui utilisent : 2 – Des biens et services 3 – But non professionnel B – Les extensions de la notion de consommateur 1- Les professionnels agissant en dehors de leur spécialité 2 – les épargnants faisant acte de placement 3 – Les vendeurs et les prestataires non professionnels SECTION II - LE DROIT DE LA CONSOMMATION EN GENERAL §1 – CONTENU DU DROIT DE LA CONSOMMATION §2 – FONDEMENT DU DROIT DE LA CONSOMMATION

va se placer dans la resp civile contractuelle. Contrat =/= Autres actes juridiques: Critère de distinction: on est toujours en présence d’un accord de volonté. Il y a au moins 2 volontés (de 2 psn ou +). Les volontés sont les parties co-contractantes. Ex: accord d’entreprise, partenariat…  Le contrat se distingue donc des actes unilatéral de volonté. Ici une seule psn s’engage et crée des effets juridiques. Ex: testament. On n’a pas besoin de l’accord du bénéficiaire. + Engagement d’apport

actes accomplis volontairement en vue de produire des effets de droit. L’acte juridique est un acte de volonté qui porte sur les effets de droit porté par cet acte. Pour le fait juridique, la volonté n’a pas la même valeur, il peut être volontaire ou non et ne porte pas sur les effets du droit. Cette catégorie d’acte juridique inclus les actes unilatéraux : ceux qui sont l’œuvre d’une seule volonté. En réalité, le contrat n’est qu’un type particulier d’acte juridique. Selon l’article 1101 du code civil

DROIT INTRODUCTION I - Le rôle du droit Le droit a pour objet d’organiser a vie en société Aucune vie en société ne serait possible sans un cadre défini de ce qu’il est possible ou non de faire. II- Distinction entre droit objectif et droit subjectif Le terme droit sert à désigner les concepts distincts • le droit objectif : dans son sens le plus général, le terme désigne un ensemble de règles destiné a organiser la vie en société. Ces règles sont nécessaires pour définir et

obligation non respectée est sanctionnée mais à l’inverse tout devoir juridiquement sanctionner n’est pas une obligation, car il faut lien entre deux personnes( par exemple: je roule à 70 en ville, si j’écrase quelqu’un je suis tenu de lui verser de l’argent, c’est une obligation technique) Le second élément est que l’obligation est un lien de droit, c’est à dire un lien entre un débiteur et un créancier qui est juridiquement sanctionné. -->L ’obligation est une notion juridique et non pas une