Conseil Constitutionnel 9 Novembre 1999

DÉLÉGATION PREMIÈRE PARTIE  L'AUSTRALIE : UNE AMBITION MONDIALE I. UNE STABILITÉ POLITIQUE ET INSTITUTIONNELLE A. UN CADRE INSTITUTIONNEL QUASIMENT INCHANGÉ DEPUIS 1901 1. Un Etat fédéral et une démocratie parlementaire 2. Des réformes constitutionnelles difficiles 3. L'échec du référendum sur la république B. UNE CONJONCTURE POLITIQUE FAVORABLE AU PREMIER MINISTRE 1. Une coalition libérale-conservatrice au pouvoir depuis 1996 2. Les élections anticipées de 1998 : un pari réussi 3. Une

L’exemple des Conseils de quartiers « LOI n° 2002-276 du 27 février 2002 relative à la démocratie de proximité (1) « Art. L. 2143-1. Dans les communes de 80 000 habitants et plus - le conseil municipal fixe le périmètre de chacun des quartiers constituant la commune. - La dénomination - La composition - Les modalités de fonctionnement Le Conseil de quartier

(18751940) et la Quatrième République (1946-1958). Au cours de ces deux Républiques, la France a connu une dérive du régime parlementaire, qui s’est caractérisée par une concentration du pouvoir entre les mains du Parlement : bien que ces les textes constitutionnels les ait conçus à l’origine comme des régimes parlementaires équilibrés, la pratique les a fait évoluer vers le régime d’assemblée. La toute puissance du Parlement entre 1875 et 1958 a conduit à un phénomène d’instabilité gouvernementale quasi-permanente

Stéphane HURTADO Thème 1 : La notion de « libertés publiques » Second semestre 2004-2005 1 Document mis à jour au 15 janvier 2005 Utilisation strictement réservée à l'université Panthéon-Assas 1. Références Ä Référence 1 : Avis du 19 novembre 1998 de la Commission Nationale consultative des droits de l’homme, sur la dénomination ''Droits de l'Homme''. Ä Référence 2 : Jacques Robert, Libertés publiques et droits de l’homme, Montchrestien, 1988, p. 5 (extrait de la préface). Ä Référence

temps le fait que cette liberté est constitutionnellement établie et étudierons ensuite l'idée qu'elle connait cependant des restrictions limitées. I) La liberté du mariage, une liberté constitutionnellement établie A- De liberté à principe constitutionnel. La liberté du mariage relève de la liberté de chaque individu résidant sur le territoire français de s'unir par cette institution à un autre individu. Ce qui à été au début du mariage civil un principe est devenu par la suite une liberté fondamentale

logique est consacrée par un arrêt de la CEDH, 9 octobre 2003, Slivenko contre Slovénie. La vie privée sociale implique la liberté du mariage, Commission européenne des droits de l’homme (COMEDH), Hamer contre RU, 1979, « crée un lien de droit stable qui des relations patrimoniales stables, et une association juri-solidaire entre un homme et femme ». Mariage et famille sont distinct l’un de l’autre dans la CEDH. Dans le domaine constitutionnelle, la liberté du mariage est un composante de la

autre usage nécessite une autorisation écrite de l’auteur. Grands arrêts, petites fiches 3 TABLE DES ARRETS PREFACE 2 TC, 30 juillet 1873, Pelletier 7 CE, 19 février 1875, Prince Napoléon 8 CE, 26 novembre 1875, Pariset 9 CE, 13 décembre 1889, Cadot 10 CE, 21 juin 1895, Cames 11 TC, 9 décembre 1899, Association Syndicale du Canal de Gignac 12 CE, 29 mars 1901, Casanova 13 CE 10 janvier 1902 Compagnie Nouvelle de Gaz de Deville-lès-Rouen 14 CE, 18 avril 1902, Commune de Néris-les-bains

Séance 1 – Présentation du Droit administratif La dualité de juridiction : Cass 1ère civ. 23 janvier 1987, CONSEIL DE LA CONCURRENCE :  La séparation des ordres prévue par la loi des 16 et 24 août n’est pas un PFRLR et donc n’a pas de valeur constitutionnelle. En revanche la réserve de compétence au profit du JA s’agissant des REP et des RPC est un PFRLR. « Relève en dernier ressort de la compétence de la juridiction administrative l’annulation ou la modification des décisions prises par les

té diatement soumises un ré gime de «spé cialité lé gislative » à un droit spé , cifique, qui les distinguait des Provinces de Mé tropole. L’éloignement a favorisé l’émergence de réglementations locales émanant du Gouverneur, des Intendants, des Conseils supé rieurs ou souverains. Des usages propres à chaque colonies sont apparus et ont é appliqué par les cours de justice locales : ainsi la zone des cinquante pas té s géométriques, aujourd’hui consacrée par le Code général de la propriété des

publique). La puissance publique est co-substantielle à l’E, qui est le seul à la posséder. L’E ne peut être jugé comme les particuliers. En GB, cela ne pose aucun problème. Cette opposition conduit le Roi à évoquer les décisions de justice en son conseil, il va procéder à l’interdiction de juger d’une affaire ou encore casser les décisions des P. Ce système est appelé la justice retenue : fait qu’une autorité publique puisse elle-même évoquer les litiges donc les résoudre selon des règles qui