Conscience Selon Diderot

CHAMPADAVOINE Colin DIONNEAU Anne-Laure JEANTET Anthony NAROVE Floryane 623 LES PHILOSOPHES DES LUMIERES. Selon Kant (1724-1804), philosophe allemand, Les lumières se définissent au moment où l’homme entreprend de sortir de son état de minorité et de penser par luimême. « Aie le courage de te servir de ton propre entendement, » telle est la devise des Lumières. Les philosophes des Lumières sont un courant intellectuel européen du XVIIIe siècle. Les lumières représentent «  la sortie de l’homme

discours et les écrits. Encyclopédie de Diderot et D’Alembert. Sujet : dans le cadre de l’étude de l’argumentation et d’un mouvement culturel et littéraire en en classe de première, vous concevrez à partir des textes qui vous sont soumis, une séquence didactique, dont vous préciserez la problématique, les objectifs, ainsi que les modalités d’exploitation et d’évaluation. Corpus Texte 1. L’article Autorité ( grammaire) Denis Diderot Encyclopédie de Diderot et D’Alembert ,1759. Texte 2. L’article

il a en même temps contribué à le constituer : "Il n’y a plus aujourd’hui de Français, d’Allemands, d’Espagnols, d’Anglais même, quoi qu’on en dise ; il n’y a que des Européens". (Rousseau). La pensée des Lumières joue un rôle fondateur de la conscience européenne. L’Europe des Lumières est un espace à la fois un et multiple, où circulent librement les idées. En même temps, la pensée des Lumières est portée par des individus qui, loin de se sentir d’accord entre eux, passent leur temps en âpres

(toujours en dialogue) après la mort de Socrate. Platon écrit les dialogues entre Socrate et un autre personnage. Mais au plus on s'éloigne de la mort de Socrate, au plus le discours de Platon transperce. Platon recherche la vérité plutôt que l'illusion. Selon lui, on peut tourner le regard d'un élève vers la vérité, mais le chemin vers la vérité est progressif et personnel. (= peut on éduquer quelqu'un?) Allégorie de la caverne: nous sommes nous même homme (celui qui est enchainé dans l'ignorance), sophiste

auteurs du réalisme on néanmoins conscience de l’aspect fictionnel (1 art de l’illusion) du roman et ne se borne pas à une copie conforme du réel. Les écrivains on bien établie cette notion d’illusion => récuser la theorie du miroir ou montrer qu’il était fêlé. Mais cela ne diminue pas la valeur du roman => pose systématiquement la question de valeur et de la place de l’individu dans l’ordre commun. Diderot et l’éloge de Richardson : Clarisse Harlowe (1748). Diderot salut le travail de Richardson

« Il n’y a qu’un devoir, de se rendre heureux. » D. Diderot Qui n’a jamais aspiré à une vie de bonheur ? Cet état de plénitude qui prouve à lui seul que la vie mérite d’être vécue ? La notion de la recherche du bonheur n’est apparue que récemment. Quand la précarité régnait sur le monde, le bonheur, au sens de joie et non d’assouvissement des besoins tel que manger, n’était pas la principale préoccupation. Diderot affirme pourtant que l’homme a pour seul objectif la recherche de son bien-être

par le pronom « moi » dans le dialogue, et du Docteur Bissei s’opposent tout en étant l’une et l’autre défendables. (l'étude de l'argumentation n'est pas explicitement demandée, mais elle permet de mieux comprendre les deux thèses en présence). Selon le narrateur, un médecin ne doit pas porter secours à un malfaiteur, dans l’intérêt de la société. Ses arguments : * Si le hasard (maladie ou accident) permet à la société de se débarrasser d’un individu malfaisant, c’est un devoir civique de

absolue en revendiquant un contrat social comme fondement de l’autorité politique et une organisation plus démocratique des pouvoirs dans une monarchie constitutionnelle avec une séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire (Montesquieu, Diderot, Rousseau entre autres). Voltaire combat particulièrement les abus du pouvoir (censure, lettre de cachet, collusion avec l’Église) et rêve d’un despote éclairé, conseillé par des philosophes. Par ailleurs, les « philosophes » eux-mêmes, bien que n'étant

cette même philosophie dépourvue de préjugés religieux. Franval agit selon ses intérêts mais aussi pour le soi-disant bonheur de sa fille. Il se fait vite idolâtrer et adorer d’Eugénie qui voit en lui bien plus qu’un père : un ami, un frère et, pire, un amant. L’inceste entre Franval et sa fille leur paraît tout a fait normal étant donné qu’ils sont totalement aveuglés par leur passion mutuelle, au détriment de Mme Franval. Selon Helvétius, « Les passions nous induisent en erreur, parce qu’elles fixent

« La Harangue du Vieillard », D. Diderot, Le Supplément au voyage de Bougainville, 1772 Introduction : Au XVIIIe siècle, après la conjonction de grandes découvertes qui avait débuté au XVIe siècle avec par exemple, la découverte de l’Amérique par Christophe Colomb, celle de la route des Indes et du Cap de bonne espérance par Vasco de Gama, et le premier voyage autour du monde par Magellan, les explorations continuent, mais bien souvent les échanges entre civilisations prennent un tour plus commercial