Conscience Malheureuse

imposaient les convenances. Elle se trouve donc dans une posture paradoxale puisqu'elle est amenée, en quelque sorte, à se justifier de sa démarche auprès de Dom Juan. Elle confesse ses erreurs à Dom Juan et à Sganarelle, c’est un véritable examen de conscience auquel se soumet la jeune femme « je le confesse », elle était tellement prise par la passion qu’elle cherche des raisons. Elle reconnaît qu’elle a été manipulée par sa passion, elle est elle-même responsable de son aveuglement « je me suis forgé

vie peut se diviser en trois dimensions: le présent (court), le passé (assuré) et le future (incertain). Les Hommes occupés ne se retournent pas sur leur passé et ne peuvent donc pas analyser les erreurs qu'ils ont commis et dont ils sont pourtant conscience. En effet, la mémoire "est sacrée, invidable, préservée de tous les accidents humains, soustraite au règne de la fortune", et la critique de soi qu'elle permet n'est pas faite pas les Hommes occupés. Le temps présent est si bref que certain nie

PASSION : A) La mise à distance : Le récit est fait après la mort de Manon de la sorte, ce recul dans le temps permet au narrateur un regard lucide et critique sur cette première rencontre. l.1 exprime le regret et laisse présager une fin malheureuse. Des connecteurs logiques présents dans le texte signalent que le narrateur interprète ses réactions et leurs trouvent des explications à posteriori. l.16 montre que le personnage essaye de comprendre ce qu'il s'est passé. La mise à distance

sommes détournées. De surcroit, rappelons nous de ce qu'a fait Judas, il s'est fait passer pour un fidèle face à Jésus mais l'a honteusement tromper en le vendant à Ponce Pilate pour une malheureuse poignée d'argent. Il s'est retrouvé perdu et sans repères, vivant dans le néant, avec sur la conscience le fait que dieu le lui ferait payer. Il a donc finit par mettre fin à ses jours après s'être rendu compte de l'erreur qu'il avait commise envers Jésus et surtout envers Dieu. Le mensonge et la

alors travaille ! Et la boisson, que penses-tu de la boisson ? C'est un mal ! Tu as encore une chance de la garder, alors prends-là ! Bonne chance père, réfléchis, tu oublies bien souvent de prier, pourquoi ? Je la vois souvent si malheureuse et pourtant tu pouvais lui donner tant de bonheur. Mon petit papa, souviens-toi comme tu, étais fier quand je suis venu sur cette terre ; Sois fier de maman ! Elle qui souffre en silence. Tous je vous aime, et pour tous je prie. Père, prends

atteindre le bonheur et ne pas être déçu par l'obtention de l'objet du désir. Dans un premier temps, l'auteur explique sa thèse : on est heureux que lorsque l'on désire. L'obtention de l'objet du désir nous déçoit et c'est à ce moment qu'on prend conscience du fait que le bonheur provenait du désir. Ensuite, il montre quel est l'homme véritablement heureux : celui qui a des désirs démesurés à cause de son aviditié mais qui possède des capacités limitée pour les satifaire. Rousseau explique aussi que

d’épée de Michel Zévaco :  « Le plus grand de tous, Pardaillan, c’était mon maître. » Tel médecin a vu naître sa vocation en lisant Citadelle de Cronin ; ou tel adolescent, lisant Vol de nuit , ou Terre des hommes d’Antoine de Saint-Exupéry a pris conscience qu’il lui fallait devenir pilote. Mais il n’y a pas que les romans. Les autres genres littéraires découverts au cours des études sont autant de « maîtres en humanité ». Ainsi par exemple les héros de Corneille, tels le Cid, Polyeucte

agir. Peut-on ne pas savoir ce que l’on fait ? INTRO 1. Savoir, c’est d’abord prendre acte de quelque chose. Je sais que l’autre est là, que j’ai chaud, que nous sommes lundi. 2. En ce sens, il semble que tous nos actes s’accompagnent d’une conscience immédiate. Nous sommes présents à nous-mêmes, on sait donc qu’on est là, que c’est nous et pas un autre. 3. Mais savoir c’est aussi et surtout avoir compris, or comprendre quelque chose, c’est en saisir les causes ou le but, le sens, le contenu

un être nécessairement insatisfait ? Nos désirs n’excluent alors-t-il pas le bonheur  ? - Au contraire, ne peut-on pas avoir une vie heureuse avec des moments d’insatisfaction, de peines ? -Dans ce cadre, notre bonheur ne dépend-il pas plus de la conscience de notre vie, davantage que de conditions objectives de la vie ? Plus généralement, être heureux est-ce se sentir heureux, ou cela dépend-il de conditions de vie objectives ? I- le bonheur repose sur la satsfacton de tous ses désirs (Calliclès)

d’autres sont complexes et un peu plus difficile à décrire. Élisabeth Rousset, ou « Boule de suif », et Madame Mathilde Loisel sont les deux protagonistes, mais elles jouent les rôles opposés. Où Élisabeth est confiante et contente, Mathilde est malheureuse et rêve d'une différente vie pour elle-même. Les lecteurs peuvent identifier avec les deux femmes et leurs différentes situations difficiles dans les histoires, permettant Maupassant de communiquer sa vue sur les nombreuses injustices sociales