Connotation Escalier

faire à travers le regard d’un personnage distinct du narrateur. Honoré de Balzac, « le chef d’œuvre inconnu » (1832), confie ainsi à Nicolas Poussin, jeune peintre ambitieux, la description d’un étrange vieillard rencontré par hasard au détour d’un escalier. Le portrait, influencé par le regard de l’artiste, prend une dimension à la fois réaliste et fantastique et la « toile » mentale du jeune homme semble prendre forme devant nous. Cet extrait est donc a cheval entre deux réalité,serait- elles véritablement

"plaignait" ... Ces périphrase et le champs lexical mit en place par l'auteur renforce l'atmosphère de misère installée autour de Fantine. La déchéance de Fantine est, premièrement, matérielle. Nous pouvons le voir grâce à l'accumulation de nom (à connotation péjorative) donnée au logement de Fantine : "cellule" (l2) ; "mansarde (...) sous le toit" (l2-3) et "galetas" (l3). Ces noms nous montre la pauvreté de l'habitation du personnage. Il fait de même avec les objets présent autour d'elle. Elle possède

ainsi le côté luxueux du lieu. [pic] Mur du hall d’entrée rouge laqué Matériaux : Les matériaux utilisés, qu’il s’agisse du mobilier, du sol, de la décoration sont exclusivement à base de bois. En effet, le sol est recouvert de parquet, les escaliers sont intégralement en bois (rampe et marches), la décoration est composée d’objet d’arts en bois vendus dans les boutiques d’expositions-ventes. Le mobilier s’accorde lui aussi à cette dimension exotique. Les conseillers clientèle disposent de

des fenêtres, qui une travée sur deux s’ouvraient en son centre, des boucliers de bronze, qui semblent marquer le terme de sa construction sous Domitien. Les arcades permettaient d’accéder aux ambulacres cocnentriques sur lesquels débouchaient les escaliers sous voûtes par lesquels on gagnait les divers secteurs de la cavea. L’attique montre une certaine finesse, elle n’écrase pas les niveaux inférieur, on se contente d’un bossage assez fin, encadré par des pilastres montés sur piédestal. Ce bâtiment

Fantine est victime de la déchéance et vit dans la misère. Cette misère est tout d’abord matérielle. Hugo nous plante le décor de son cadre de vie. « Cellule », « mansarde […] sous le toit » et « galetas » (l.18-19), une accumulation de noms à connotation négative montrant la pauvreté de l’habitation de Fantine. Il fait de même pour évoquer le mobilier lorsqu’il écrit « une loque qu’elle appelait sa couverture, un matelas à terre et une chaise dépaillée » (l.22-23). Grâce à cette nouvelle accumulation

noir dans la bouche ». Ce zoom nous amène donc à comprendre que « deux dents étaient arrachées » (l10). Cette triste réalité est accentuée par l’opposition du rouge (« sanglant », « rougeâtre » (l8)) et du noir (« trou noir » (l9)) et par la connotation péjorative voire humiliante du mot « souillait » (l8). Victor Hugo raconte que Fantine « avait les yeux très brillants » (l24), qu’elle « sentait une douleur fixe dans l’épaule, vers le haut de l’omoplate gauche » (l24) et qu’elle « toussait beaucoup »

enseigner l'art à l'Arts Students League de New York en 1933, il y travaille de façon intermittente jusqu'en 1955. Il devint citoyen des États-Unis en 1938. En 1959, il choisit de retourner à Berlin où il meurt le 6 juillet victime d'une chute dans les escaliers après une nuit de beuverie. Georges Grotz l' une des personnalité majeure du panorama artistique allemand de l'apres première guerre mondiale, connu surtout pour les traits satiriques et réalistes qui caractérisent ses peintures réalisées au cours

ne s'ouvre pas, la sonnette ne sonne pas => expérience de laboratoire ? Mise en scène avec la présence des spectateurs qui regardent sans être vus, renforce l'impression d'oppression. Derrière la porte → couloir avec d'autres chambres, d'autres escaliers, on peut imaginer un nombre infini d'étages (grand hôtel), il paraît infini. C'est opposé avec le salon. Autres comparaisons avec hôtel : garçon d'hôtel, chambre. Espace virtuel : terre, physiquement loin d'eux, ils y ont accès, peuvent le voir

l'enfant pauvre Nous avons vu que la description fait ressortir des éléments négatifs et des éléments positifs. L'auteur insiste-sur dépeint sans concession la pauvreté matérielle par l'emploi du champ lexical de la misère: ainsi il se souvient des escaliers qui « n'étaient pas éclairés » (ligne 2), de sa peur des « cafards » (ligne 8), du « couloir puant », de « sa petite chaise, crevée » qui « s'enfonçait sous lui » (ligne 18). Les deux occurrences de l'adjectif « petit » ( « une toute petite fenêtre

il est cinq fois tête nue.(tableau résolution prise de faire la guerre). On parle aussi de casque comme coiffure. Selon Charpentier le casque est un « habit de tête du roi ». Le casque n'a pas qu'une vocation militaire. Il peut aussi avoir une connotation politique. Exemple dans le tableau Ordre d'attaquer quatre places, il allégorise la sagesse du roi. Il est comme une cloche qui enveloppe les desseins du prince et empêche leur divulgation intempestive. Dans la galerie, le roi est plus représenter