Connotation Escalier

Baudelaire « Correspondante » INTRODUCTION: Ce poeme est un sonnet, c’est a dire une oeuvre poétique formée de 2 quatrains et de 2 tercets. Il est extrait de l’oeuvre majeure du poète français Charlres Baudelaire (1862-1867). Baudelaire est un des poètes majeurs du XIXe siècles dont le style se trouve à la croisée du romantisme,parnasse et peut être surtout du symbolisme. « Correspondante » est le 4eme poème du recueil, il fut publié en 1857. Ce poème constitue l’exemple type de l’oeuvre

Plan d’analyse littéraire Sujet : Dans la partie IV, le père Roubieu décrit le réel combat qui s’engage entre sa famille et la Garonne. 1e idée principale : L’inondation de la Garonne déclenche entre les membres de la famille du père Roubieu et la rivière. 1 idée secondaire : Ensuite, il explique comment la Garonne attaque la famille. Comparaison : (L.523) - Personnification : (L.528) - Personnification : (L.563) Champ lexical d’attaqué : attaque (L.523), battait (L.563), attaques plus rudes (L

plusieurs significations qui se rejoignent pour traduire une situation de détresse : grand dénuement, malheur, souffrance, ennui, tristesse mais aussi petitesse. Il est aussi souvent utilisé pour décrire un état extrême de pauvreté mais a aussi une connotation péjorative, liée à un sentiment d'exclusion sociale. La misère du monde est la détresse qui se lit sur un corps affamé et pauvre mais elle peut être aussi la pression que l’on distingue sur certains visages oppressés et malmenés. A condition d’avoir

apercevoir que Fantine est victime de la déchéance et vit dans la misère. Cette misère est tout d'abort matérielle. Hugo nous plante le décor de son cadre de vie. "Cellule", "mansarde [...] sous le toit" et "galetas", une accumulation de noms à connotation négative montrant la pauvreté de l'habitation de Fantine.

visuels Escalier spectaculaire Bien qu’il soit difficile de dater leur origine précisément, les escaliers sont un des éléments de construction les plus anciens de l’architecture. Son étymologie vient de « scala » désignant l’échelle, autrement dit le moyen le plus rudimentaire pour passer d’un niveau à l’autre. Les escaliers évoluent avec les périodes architecturales et reflètent les philosophies et les langages qui

Nu descendant un escalier, est une œuvre picturale de Marcel Duchamp. C’est une huile sur toile de dimensions 147x89,2 cm, elle fut réalisée en 1912. Comme son titre l’annonce, il s’agit de la représentation d’un être asexué descendant un escalier. Or un certain aspect chaotique se dégage de l’œuvre. Chaotique car en réalité, aucun corps tel quel n’est repérable clairement, juste, des formes, des silhouettes se distinguent, comme si le corps serait vu à travers un prisme. Derrière la silhouette

Zone foncée Couleurs bois, ocre marron, vert, beige, rouge… Zone claire Couleurs bois, ocre marron, vert, beige, rouge… Nu descendant un escalier n°2 Marcel Duchamp, 1912 Huile sur toile 146X89CM Philadelphia, Museum of Art « Cette version définitive du Nu descendant un escalier, peinte en janvier 1912, fut la convergence dans mon esprit de divers intérêts, dont le cinéma, encore en enfance, et la séparation des positions statiques dans les chronophotographies de Marey en France

antinomie : dualité dans l'endroit même "escalier en marbe" "portes maculées" différence entre le monde du haut et celui du bas Promis-cuite= pleins de gens Contraste de familiarité entre les hommes Le lieu libère les occupants, les débauchent Promis cuite à l'etat primitif " rots", "souffre" "caverne", "grotte" Pour de la récréé ? Champ lexical du jeu , de l'enfance "blague", "jeu", "tape à l'épaule" "caca" "papotage" Champ lexical excréments, pourriture , déchets. Mouvement du narrateur

l’extérieur pour mieux attiser notre curiosité et jouer, à son habitude, sur les nerfs : l’intérieur même de la maison. Lila entre pendant que Sam retient Norman dans son motel ; aperçoit la porte de la cave mais choisit d’emprunter cet escalier à connotations menaçantes , ; on découvre au premier étage la chambre de la mère (avec le nouveau mystère du lit creusé); puis, à l’étage supérieur, la chambre de Norman (ses jouets, ses peluches, son lit défait, lien évident entre l’enfant et l’adulte

(1883), il s’intéresse à la peinture du milieu du commerce, et en particulier d’un grand magasin. Le propriétaire du magasin, Octave Mouret, a organisé une « journée de grande vente ». Alors que la journée touche à sa fin, il contemple, du haut d’un escalier, la cohue des acheteuses qui continuent à se presser dans les rayons. Zola, toujours habile à évoquer les foules, recrée pour nous l’atmosphère de ce grand magasin. A travers cette évocation, toutefois, il trace le portrait d’un homme, Octave Mouret