Conclusions Les Fées Perrault

bataille de Roncevaux (778), est savamment composé en deux fois deux parties : la mort de Roland (la trahison, la bataille) et la vengeance de l'Empereur (le châtiment des païens, le châtiment de Ganelon), encadrées par une exposition et une double conclusion. L'unité de l'ensemble est renforcée par de nombreux parallélismes, contrastes et échos. Certains passages pourtant très sobres possèdent une grande intensité dramatique et sont restés justement célèbres (la mort de la belle Aude ou celle de Roland)

accumulation dans le dernier dizain traduisent la réussite de la mission sacrée : « Il rayonne ! » - « Il jette sa flamme » - « fait resplendir » - « merveilleuse clarté » - « inonde de sa lumière ». À partir de «Peuples ! écoutez le poète !», commence la conclusion : Hugo s'adresse directement au public. La fin qui fait de la poésie « l'étoile» est mystique : elle rappelle l'étoile qui guida bergers et rois mages vers l'étable de Bethléem. Vigny aussi a dit du poète : «Il lit dans les astres la route que

accumulation dans le dernier dizain traduisent la réussite de la mission sacrée : « Il rayonne ! » - « Il jette sa flamme » - « fait resplendir » - « merveilleuse clarté » - « inonde de sa lumière ». À partir de «Peuples ! écoutez le poète !», commence la conclusion : Hugo s'adresse directement au public. La fin qui fait de la poésie « l'étoile» est mystique : elle rappelle l'étoile qui guida bergers et rois mages vers l'étable de Bethléem. Vigny aussi a dit du poète : «Il lit dans les astres la route que

images accompagnent le texte, il faut faire en sorte que ces illustrations soient clairement visibles par les membres du jury. La forme de l’exposé est classique : une introduction, un développement en plusieurs parties – 2 ou 3 maximum – et une conclusion. ( Ne pas oublier de donner un maximum d’informations pour quelqu’un qui ne connaîtrait pas le texte, dès l’introduction. L’introduction permet de présenter le texte choisi puis de justifier le choix du candidat. Il faut montrer ce qui a retenu

populaires et présente un univers spatio-temporel indéterminé (« il était une fois dans un lointain royaume ») et merveilleux dans lequel évoluent des personnages souvent dotés de pouvoirs magiques (fées, sorcières, animaux fabuleux) et pour qui l’étrange est naturel. Le conte merveilleux est pratiqué par Perrault au XVIIe siècle et par les frères Grimm au XIXe siècle. - Le conte fantastique présente un univers stable et familier au lecteur, dans lequel un phénomène surnaturel apparaît : il est alors

...........................................211 b) La courageuse Damaké........................................................................218 c) L’ingénieuse Meimouné ......................................................................223 Conclusion À LA RECHERCHE DE LA FEMME AUTRE.........................................................236 Bibliographie 1. Ouvrages du dix-septième et du dix-huitième siècle.......................................250 2. Études ...............................

idéalisant les exploits de l’armée de Charlemagne. Ces épopées ont beaucoup évolué, en conséquence de cette évolution il est apparue les histoires imaginaires comme l’histoire de la rose et l’histoire du renard, et beaucoup d’autres contes des fées qui ont été racontés sur la langue de l’animal. 7 Après les histoires imaginaires, il est apparu la poésie, ce qui nous intéresse ici c’est la poésie du 19ème siècle. Nous avons des grands poètes dans ce siècle comme: Victor Hugo, Alphonse de

la renverse, sur l’herbe verte; Il s’est évanoui, la mort est proche. 1.3 -LA LITTERATURE CHEVALERESQUE Contenu : Introduction • Le roman de chevalerie • Devenir chevalier • Les valeurs chevaleresques • L’amour courtois ou la fin’amor • Conclusion ******************************* Introduction Venu après les chansons de geste centrées sur Charlemagne et ses combats contre les Sarrasins, le roman de chevalerie appartient à la littérature ‘’courtoise’’, ainsi appelée parce qu’elle concerne

tension entre romanesque et vraisemblance, qui fonde pour une part l’évolution du genre du roman. En effet, quoi de plus « romanesque » a priori que le topos de la scène de bal, cadre de la rencontre amoureuse, qui semble tout droit sorti d’un conte de fées ? Par son caractère éminemment dramatique et théâtral, le bal est souvent dans les romans l’occasion rêvée pour une rencontre amoureuse, dans l’imaginaire romanesque de l’héroïne comme dans celui de la lectrice ; et l’on sait combien les moralistes

| | |La maîtresse donne une | | | | | | |conclusion : « l’air sort | | | | | | |beaucoup par la bouche » | |