Conclusions Les Fées Perrault

Interrogation 1 À quoi sert la cruauté dans les récits imaginaires ? 5-13 1. Grimm, Bettelheim 2. Minh Tran Huy • Évaluation La Fontaine, J.-P. Mothe Séquence b Que nous dit La Barbe bleue de nos désirs et de nos peurs ? 14-21 1. et 2. Perrault 3. C. Fréchette, A. Luthaud • Évaluation Bettelheim ActIvItéS et rechercheS hIStOIre deS ArtS 22-23 24-25 Le Douanier Rousseau, Le Rêve Comment l’imaginaire joue-t-il avec les moyens du langage, à l’opposé de sa fonction utilitaire ou

crédibilité a été parfois également employé pour critiquer le soliloquy, et dans les jeux classiques en retard des caractères sont presque invariablement fournis avec des confidents (valets, amis, infirmières) à qui ils indiquent leurs émotions. • En conclusion, la littérature et l'art devraient consciemment suivre le précepte de Horace "à svp et instruisez" (est de prodesse d'aut de delectare d'aut). Ces "règne" ou des "codes" rarement ont été complètement suivis,et plusieurs des siècles où les chefs

c’est ajouter une dizaine) ; de 37, il asse à 47, puis il ajoute 4 pour arriver sue la case 51 . Sa méthode ressemble à celle d’Audrey, il décompose le deuxième nombre en dizaine et unités Travail individuel sur la 2ème partie  puis correction Conclusion : pour calculer facilement et rapidement des sommes, il suffit de décomposer le deuxième nombre en dizaines et unités Exercices Les corrections individuelles sont l’occasion pour le maître de faire le point sur ce qu’a compris chaque élève

personnage d’Alice Pages 8-9 B) Les adjuvants et opposants d’Alice Pages 9-12 C) Le pays des merveilles Pages 12-14 III- Le mythe d’Alice Pages 14-17 A) Les adaptations Pages 14-15 B) Alice Liddell : une jeune centenaire Pages 16-17 Conclusion Page 18 Sources Page 19 Annexes Pages 20-22 Introduction I l était une fois…Alice au pays des merveilles. Cette œuvre de littérature enfantine a été écrite par Lewis Carroll et publiée en 1865. On la considère comme l'un des exemples

du texte 1 se déroule de façon : A- successive B- simultanée. Choisissez la bonne réponse. 3. En une occurrence, dans le texte 3, l’imparfait porte sur un verbe d’état : « elle était très coquette ». S’agit-il toujours de la narration ? Quelle conclusion doit-on tirer de ce constat ? 4- Pourquoi pourrions-nous dire que l’action* se déroule de manière rapide dans les textes 1 et 2, et lente dans le texte 3 ? Réponses : a. texte 1 : passé simple (niveau de langue soutenue) ; texte 2 : passé composé

(...) 15 « Qui ne voit que ceci est jeu et par conséquent ne peut porter coup ? » (Ibid., p. 557.) 16 Comment l’esprit vient aux filles, ibid., p. 811. 4D’abord la « gaieté » : cette notion est utilisée dans deux passages-clés, toujours à la conclusion d’un raisonnement où La Fontaine justifie ses hardiesses par rapport à la tradition. Dans la première préface des Contes (1665), il s’agit de rejeter une conception trop étroite de la bienséance, qui « [réduirait] Boccace à la même pudeur que Virgile12

la forme d’une filiation mais aussi d’une subversion parodique, ludique, etc. Il reste que la question de la localisation de la culture reste bien un des impensés de cette « métaphore scientifique » décidément très problématique… En guise de conclusion : comment penser la complexité ? Par de nombreux côtés, la notion d’émergence, lorsque l’on consulte la littérature qui l’emploie, semble être un « carrefour de concepts ». Il y a les problématiques que nous avons évoquées – trop rapidement

évoquait sur deux pages « une collision frontale entre le politiquement correct et la tradition orale ». Le ministère de l’Égalité déconseille particulièrement les contes anciens, car porteurs d’un sexisme dangereux. Exit donc pour Grimm et Perrault… Ce n’est cependant pas du tout l’avis de Felicidad Orquín, éditrice et féministe espagnole, qui va jusqu’à affirmer que « les stéréotypes qui apparaissent dans les contes ne sont pas sexistes, puisque les personnages féminins, bons ou méchants

Florian, Fables, « Le Lierre et le Thym » 3 V. Hugo, Les Châtiments, « Fable ou Histoire » 4 J. de La Fontaine, dédicace des Fables Prolongements Séquence 6 Contes et romans philosophiques C. Perrault, Contes de ma mère l’Oye, « Les fées » « Évangile selon saint Jean » ÉTUDE D’ŒUVRE INTÉGRALE C. Perrault, Contes de ma mère l’Oye ANALYSE D’IMAGE J.-B. Greuze, L’Oiseau mort TEXTE 2 Voltaire, Jeannot et Colin D’UN TEXTE A L’AUTRE 2 F. Fénelon, Les Aventures de Télémaque TEXTE 3 Vercors, Les Animaux

quelques épisodes de moi, comme l'aventure de la grotte, le vieillard et les deux bergères, le temple de Vénus et son origine, la description des Enfers, et tout ce qui arrive à Psyché, pendant le voyage qu'elle y fait, et à son retour jusqu'à la conclusion de l'ouvrage. » (Préface, p. 10) Apulée est donc la principale source de La Fontaine, mais on peut remarquer que celui-ci emprunte également divers éléments un peu partout : la rencontre de Psyché et de Cupidon dans une grotte (innovation par