Conclusion De La Cigale Et La Fourmi

du sot, les animaux de La Fontaine sont nos reflets, une sorte de miroir sur nos comportements et actes. Il en découle donc que certains individus seront persévérants (la Tortue, du « Lièvre et la Tortue »), d’autres prévoyants (la Fourmi, de « La Cigale et la Fourmi ») mais que de nombreux autres seront pédants (Le Lièvre, du « Lièvre et la Tortue »), cruels et naïfs (le Lion, des « Obsèques de la Lionne ») ou même sots (le Corbeau, du « Corbeau et le Renard). Tous ces comportements décrits par

Questions sur Les Fables de Jean de La Fontaine :Question 1 : Il est légitime de diviser en trois le recueil des Fables pour des raisons structurales. En effet, la première partie du recueil ( livres I-IV ) contient les fables les plus connues de La Fontaine avec comme but de donner une moral et une critique sur la société de son époque et ce de manière indirecte. La Fontaine utilise dans cette première partie les animaux pour amuser, divertir sans subir des

l'éducation des enfants, qui selon lui choisissent toujours le beau rôle au détriment de la morale, préfèrent ainsi le renard trompeur au trompé un peu ridicule. Ils se reconnaîtraient davantage dans le renard que dans le corbeau, dans la fourmi plutôt que dans la cigale. Le travail de l'écrivain, qui vise à rendre la complexité de la nature humaine, aboutirait à la perte d'efficacité de son message moral. Le rire entraverait la réflexion, et la littérature ne permettrait donc pas de corriger les mœurs

Le récit parle à l'imagination, nous pouvons citer, la cigale et la fourmi, avant même de parler à l'esprit et le lecteur suit le récit sans penser à la morale, il se laisse entrainer et surprendre même par la logique du raisonnement. Finalement et paradoxalement, le récit finit par obliger le lecteur à faire un effort d'interprétation, il doit en effet réfléchir et dépasser le récit car lorsqu'il devient critique, c'est la morale. Conclusion: Il n'y a pas d'époque pour lire les fables, elles

pourrait mal l'interpréter ce qui nuirait à l'enseignement voulu puisque la compréhension ne serait pas totale. C'est dans ce sens là que l'apologue peut ne pas être suffisant pour apporter un réel enseignement au lecteur, comme dans le cas de La Cigale et la Fourmi où la morale implicite est un peu difficile à comprendre.Selon le point de vue du lecteur le fait que le récit soit court, peut se réveler un défaut pour l'apologue. Le récit court peut sembler peu important et par conséquent la morale aussi

sans licence, marchandises prohibées) et disposent d’éventaires facilement transportables qui leur permettent de se sauver rapidement en cas d’alerte. Il vit aussi à la sauvette ; que faut-il entendre par cette expression ? …………………………………………………………. Conclusion : en résumé, face à ce personnage, je ressens plutôt (de la sympathie – de l’antipathie), car…………………………………………………………………………………………………. D. Les deux messieurs 1. S'ils n'étaient pas en civil. à quels signes distinctifs les reconnaîtrais-tu ? 2. Un peu

morale ou le récit. De plus, parfois on remarque l’absence de moralité. Et souvent chez La Fontaine « c’est comme ça » : agneau/loup, il vaut mieux être loup. Une forme bizarre d’argumentation. La cigale et la fourmi : d’ailleurs certains pensent qu’il faut faire comme la cigale, d’autres comme la fourmi. Les interprétations peuvent donc différer. La fable est-elle vraiment didactique et susceptible d’enseigner la morale à l’enfant ? Fables. Livre VII, La Fontaine La fable est très longue notamment

d’endosser le costume du moraliste et de formuler lui-même la leçon à tirer de l’histoire narrée. C’est le cas dans la célèbre fable de « La Cigale et la Fourmi ». Le lecteur est seul face à une anecdote qu’il doit interpréter. Plusieurs lectures peuvent alors lui venir à l’esprit : faut-il comprendre que La Fontaine invite à être prévoyant et économe à l’image de la fourmi ? Faut-il au contraire comprendre qu’il blâme son égoïsme et convie à une solidarité entre les hommes ? On le voit donc bien : les armes

contrairement aux autres enfants « on a pas les jetons de les dégueulasser, ils sont faits juste pour ça ». Il évoque les leçons du maître comme par exemple sur la vie des abeilles ou la fable de La Fontaine avec « La cigale et la fourmi » Pour lui, la fourmi correspond aux enfants travailleurs et la cigale correspond aux paresseux comme par exemple «  les mauvais sujets du fond de la classe ». Puis, il parle des chansons qu’il apprend. Il chante de belles choses «  comme le monde est bien fait » par exemple

entre autre) exige un recul et distance de la part du lecteur. Prenons exemple sur les fables de La Fontaine, les enfants peuvent mal comprendre la morale de l'histoire : en admirant le renard qui trompe le corbeau, ou en approuvant la fourmi qui repousse la cigale. En fait, d'autres genres littéraires qui sont, contrairement à l'apologue, de l'argumentation directe permettent très efficacement de convaincre ou persuader le lecteur d'un point de vue. En effet, l'essai par exemple permet à l'auteur