Conclusion D Une Charogne

simplement notre bonne vieille perception humaine, que Danny possède au plus haut point. Mr. Torrance, Danny savait que votre malle se trouvait sous l'escalier de la cave parce que vous aviez sans doute regardé partout ailleurs. Il est arrivé à cette conclusion par voie d'élimination, tout bêtement." (149) Danny a raconté au docteur Edmonds ses rapports avec Tony, le compagnon irréel qui lui apparaît de temps en temps. Ici encore le docteur ne se montre pas surpris : "L'imagination créatrice de Danny

poème. Il rappelle sans cesse le temps de façon implicite. C’est le cas du poème « Sois tranquille, cela viendra. Tu te rapproches. De Philippe Jaccottet. Le rythme saccadé rend le poème angoissant et donc la fuite du temps l’est trivialement. En conclusion nous pouvons dire que les poètes voient la fuite du temps comme une fatalité qu’ils ne peuvent pas empêcher. Ils font alors un constat où impuissants ils ressentent de forts sentiments comme la nostalgie. La poésie est alors le genre adéquat pour

sensibilité particulière. Dans ce contexte, toutes les violences deviennent possibles, et arrivent effectivement, comme on a pu le constater. Les hommes deviennent des loups stupides lâchés sur un même territoire, ils s’entretuent pour les même charognes dérisoires et détruisent leur environnement au lieu de s’entraider et de construire ensemble un monde fécond et beau. Les animaux, au moins, ont des “barrières” qui les empêchent de mettre en péril leur propre espèce ! Les hommes ont cru être

êtres autour de lui dans ce monde, mais il préfère les observer et décrire froidement en cherchant l’aspect sombre caché dans ces êtres. Donc les fleurs, le premier mai et l’enfance apparaissent souvent sous la plume d’Hugo tandis que le fantôme, la charogne et la mort répètent sous la plume de Baudelaire. Baudelaire décrit aussi les activités des êtres et des choses, mais ces êtres et ces choses fonctionnent plutôt comme une machine. Donc bien que les êtres dans les poèmes d’Hugo et de Baudelaire puissent

de 4 à 5 ou 6 enfants par couple -Recul de la mortalité : grandes famines s'espacent au XIeme siecle et disparaissent au XIIe -Anthropophagie en Bourgogne en 1033 rapporté par Le Moine Raoul Glabber, terrible famine, pers se nourrissaient de charogne, de racine et cas d'anthropophagi ou mise en vente sur les marché de chair humaine -Disettes localisées et pop encore ss alimentée -Hausse de l'esparance de vie : -Vers 1300 : 35 ans, importance de la mortalité infantile et juvénile, une fois

Cet acte montre son amour pour la France et sa haine contre l’ennemi. Cette haine : de l’occupant s’exprime aussi par une agression verbale : elle demande à l’aubergiste de : transmettre son refus formel à « cette crapule, à ce saligaud, à cette charogne de Prussien » : (p.30). Elle manifeste également ses pudeurs patriotiques de manière symbolique. Lorsque : Cornudet lui demande ses faveurs, elle refuse, non parce qu’il lui déplaît, mais à cause de la : présence de l’Allemand. Enfin, lorsque

aux côtes pelées, à la laine tressée d’immondices, venaient brouter – brouter quoi ?- L’air ? Des gosses nus, perpétuellement affamé promenaient leurs omoplates saillantes et leurs ventres gonflés ; ils disputaient aux vautours ce qui restait des charognes. Thiès : la zone où tous, hommes, femme, enfants avaient des visages couleur de terre » (pp. 35-36). Le contraste est criant avec la ville blanche, épanouie, rayonnante :                 Toutes semblables avec leurs toits de série, leurs pelouses

montré et encore moins avoué. Au-delà d’une certaine écriture malsaine en apparence, le roman nous convie à la transgression des présupposés de l’éducation. Le narrateur nous confie sans vergogne : « Près d’elle, au moins, je ne sentais pas rôder la charogne christique vautrée sur sa potence, la piétaille ensoutannée, la crapule jésuitique et romaine qui m’avait éduqué. »[17] Le roman de Bruckner met en vitrine une palette de l’amour déviant avec toutes les gâteries du masochisme, tandis que le film

Bovary de Flaubert, et aussi une biographie de cet écrivain, des similitudes sont présentes : Emma épouse un médecin, hors c’est justement la profession exercée par le père de Flaubert. Le couple Bovary vit en Normandie, où à grandit Flaubert… Les conclusions hâtives du lecteur pourraient-être : Emma Bovary est la transposition de la mère de Flaubert dans le roman. Or c’est faux, cette mauvais parallèle aveugle alors lecteur et l’empêche de voir le véritable parallèle fiction-réalité plus subtile mis

outils sur galets. Concernant le mode de vie de ces homininés, il apparaît que les plus anciens sites étaient tous des sites de plein air associés à une source d’eau. La mauvaise conservation de la faune ne permet pas de définir ce qui a été chassé ou charogné. Dans l’ensemble, ces sites semblent temporaires, sans aires d’organisation sociale et sans trace d’utilisation du feu. La deuxième période, caractérisée par Soleilhac, montre un début d’organisation de l’habitat, de tri alimentaire (les os longs