Conclusion Cour Du Lion

Présentation et situation de l extrait : c est donc par « Les animaux,,,, » qu il ouvre son second recueil. Cette fable a été inspire par un fabuliste indien Pilpay et elle se distingue par une longueur et par le ton virulent de l’auteur. Dans ce récit le lion (monarque) tt puissant, le renard le courtisan habile, flatteur et l âne est le symbole de la faiblesse du peuple annonce du plan : nous étudierons dans un premier temps comment lf construit ce récit et dans un deuxième temps comment il met en scène

Livre VII – Fable 1 3. – La cour du Lion Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VII – Fable 7 4. – Les obsèques de la Lionne Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VIII – Fable 14 5. – Le Torrent et la Rivière Jean de la Fontaine (1621 – 1695) Livre VIII – Fable 23 La Cour du Lion 1 Sa Majesté Lionne un jour voulut connaître

Dans « les obsèques de la lionne », Fables, La Fontaine dénonce l’hypocrisie de la cour, en effet ce texte illustre le Roi lion se donnant en spectacle au lieu de pleurer la mort de sa femme. C’est ce dernier qui est au centre de l’attention et non la défunte. Par ailleurs toute la cour pleure pour faire plaisir au Roi sauf un cerf qui refuse d’être hypocrite, voyant que le Roi est mécontent, il décide d’être hypocrite à son tour en le flattant. Par conséquent ce que le lion avait imposé a ses courtisans

proches du roi nous permet de mieux comprendre quelle société inspire La Fontaine et à quels lecteurs il s’adresse. La Fontaine évoque l’univers de la cour du Roi à Versailles. Parmi les courtisans qui se pressent autour du Monarque règnent les rivalités de pouvoir, les ambitions et le jeu des vanités. Mais La Fontaine ne s’intéresse pas qu’à la cour, son propos prend une dimension universelle en parlant de tous les hommes. La peinture des comportements permet à La Fontaine d’exercer un

ANIMAUX MALADES DE LA PESTE II/ Stratégie des animaux. 1)Stratégie du Lion (transition) Le Roi en demandant à ses sujets d'avouer à leur tour, les fautes qu'ils auraient commises, « Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi » V31 se dédouane du sacrifice qu'il avait pourtant promis d'accomplir. La sincérité devient hypocrisie, la justice une grande farce, des codes parfaitement maîtrisés par les sujets de la Cour qui vont faire tout leur possible pour qu'effectivement « Le plus coupable

animaux une personnification "gens" parlent mentent flattent "font le dégouté" et ils ont leurs caractéristiques habituelles : le singe se croit malin / le lion est le chef/ l'ours est maladroit / le renard est rusé le but premier de la fable qui est de divertir est donc atteint II/une critique du roi et un portrait des courtisant 1) le lion il est cruel situation : quand quelque chose lui déplait, il tue "l'envoya chez pluton" = euphémisme "parent de caligula" = métaphore champ lexical

par certains adultes (;)), morale implicite).Après celà, je suppose que je peux en arriver à la conclusion mais dois-je dire ceci : "Oui parce que certaines sont lus aux enfants (la cigale et la fourmis, le corbeau et le renard (La Fontaine)) mais d'autres, Non, qui ne peuvent être comprises à cause du niveau de langage employés ou de la morale (Les animaux malades de la peste, Les obsèques de la Lionne (La Fontaine))."Ou ça ne va pas ?   semble que les fables aient été écrites pour les enfants

chevale e Yvain ou le Chevalier au lion as se de 5 Re Chrétien de Troyes Édition de Dominique Trouvé Une forêt, une fontaine, un château : vous aurez reconnu les lieux habituels des récits merveilleux du Moyen Âge. Tournons les pages : on fait don à Yvain d’un anneau qui le rend invisible au reste du monde. Et comme si cela ne suffisait pas, le parfait chevalier a pour compagnon un acolyte insolite dans les bois de Brocéliande : un lion. Un roman d’aventures médiévales étonnant

situation initiale: rencontre du pèlerin et du roi tous deux égarés Un élément perturbateur : le pèlerin veut démontrer au roi que sa cour est hypocrite avec un miroir Un dénouement : le roi ne parvient à convaincre personne de se regarder dans ce miroir qui éclaire sur sa véritable identité Une situation finale: le roi admet que le pèlerin a raison et comprend que sa cour est hypocrite avec lui, il complimente le pèlerin lors de son audience publique. On peut donc dire que ce texte est un récit, et

Les courtisans et le roi : représentation du pouvoir. On oppose la force (Le Lion) et la faiblesse (l'Âne) à la ruse (le Renard). Le Lion n'est critiqué à aucun moment, cependant tous les verbes d'action montrent la maniére dont il mange, représentant la brutalité : « dévorer » (vers 26), « manger » (vers 28, plus correct). Un bon roi est capable de se sacrifier pour son peuple dont le jugement est sûr et qui est souhaité par ses courtisans Renard = Courtisans, présentés comme futés ainsi que