Conclusion Citoyenneté Romaine

Fabienne, Meunier Samira IUFM Aix-Marseille Mots-clés : Citoyennetéinstitutionsindividualisme social- droits-lien Qu’est ce que la citoyenneté ? Auteur: Dominique Schnapper avec la collaboration de Christian Bachelier Editions Gallimard (2000) 306 pages Intérêt de l’ouvrage L’œ uvre entend effectuer une reprise historique et critique du concept de citoyenneté, qui permettrait d’en dégager l’unité de sens. L’introduction montre ainsi que la notion doit être, dès l’origine, entendue triplement

athénienne car le besoin de main d’œuvre se fait ressentir. Le nombre d’affranchissement augmente à partir de la fin du IVème siècle et donc le nombre d’esclaves diminue. Rome : Les esclaves sont utilisés très tôt. Mais c'est seulement l'expansion romaine à partir du III° siècle avant J-C qui provoque l’augmentation de leur nombre, au fur et à mesure des conquêtes. Les esclaves sont désormais utilisés dans des plus grandes propriétés, notamment dans le Sud dès le Ier siècle avant J-C, où des équipes

population, Romulus attire les bergers des environs ainsi que tous les habitants du Latium. Cependant, il s’avère que cette population romaine manque cruellement de femmes. C’est pour cette raison que Romulus décide de kidnapper et de récupérer les femmes du peuple voisin : les sabins. Les sabines deviennent alors les premières femmes romaines. Malgré une guerre entre romains et sabins, les deux populations finissent par finalement fusionner et se partager le pouvoir en régnant à tour de rôle sur la cité

Introduction La citoyenneté est un thème omniprésent de nos jours alors qu'il était encore peu usité jusque dans les années 1980. Réfléchir sur ce que peut signifier la citoyenneté au xxie siècle, c'est supposer que cette notion a évolué et évolue encore. C'est dans les cités de l'Antiquité grecque et romaine qu'émerge l'idée de la participation à la « chose publique » (res publica), mais cette citoyenneté est réservée à une élite masculine, excluant les esclaves et les femmes. On peut naturellement

observées par cette collectivité. Ce qu’on reproche aux juristes c’est de s’exprimer d’une manière qu’on ne comprend pas. On assimile la justice aux tribunaux On peut entendre la justice à un sens moral et un sens institutionnel : - Dans l’antiquité romaine, les juristes considéraient que la justice était l’art du juste et du bon. - La justice c’est l’ensemble des institutions judiciaires. Droit public : organisation politique rapport entre état ou entre administration et particulier  concerne l’état

héritage gréco-romain Droit public : tout ce qui concerne les rapports politiques, l’administration Droit privé : ensemble des règles juridique au statut de personne privés mais ausssi entre personnes privées et personnes publiques Tit-live (50 av JC- 17 ap JC) : romain : la loi des douze tables est la source de tout le droit public et privé Les romains faisaient déjà la distinction droit privé/ droit public mais existait déjà dans la haute Antiquité Période gréco-romaine : grec véritable

analyse des changements politiques et sociaux et tenterai de déterminer clairement le contexte historico-politique permettant ce renversement de pouvoir à Rome. L’héritage étrusque joue un rôle important dans l’idéologie de fond de la politique romaine. À l’origine, l’Italie est structurée en ligue de cités. Elles établissent tour à tour leur hégémonie de manière sporadique et leur pouvoir ne s’impose pas fermement. La royauté étrusque s’impose alors à Rome. Au départ, le pouvoir royal s’établissait

de la Vème République. C’est pourquoi Renan définit la nation française au 19ème siècle comme l’aboutissement d’un long passé commun d’efforts et d’un désir de vivre ensemble dans le futur. L’Allemagne en revanche est née avec le “Saint-Empire romain de la nation germanique“, issu de la Francie orientale du partage de Verdun en 843, qui représente un regroupement politique de différents territoires sous la gouvernance de seigneurs locaux. L’empereur est élu par les princes-électeurs ce qui ne

par exemple « state » en anglais, état, stabilité, stable, établissement, établir ; tous ces termes renvoient toujours à une idée de stabilité, de fixité, ce qui correspond très bien à un Etat, qui est immuable. Il ne change pas, il survit. Les Romains connaissaient ce concept, mais l’appelaient différemment. Il s’agissait à l’époque de la res publica, ou « chose publique ». II/ Aux origines de l’Etat A/ L’Etat pendant l’Antiquité L’idée d’Etat est déjà présente chez un certain nombre de

juridique. Le statut des personnes est une conception très ancienne, on parlait de cité, la cité étant synonyme de l’état. Il y a plusieurs moyens pour classer des personnes, en l’occurrence on peut prendre en compte le critère de la citoyenneté. Nos anciens, les romains, grecs et même avant, faisaient déjà des différences en ce qui concernent les personnes, les citoyens, selon les pays par critère de liberté, si ces personnes sont libres ou pas. Il y a toujours, qu’on le veuille ou non, une hiérarchisation