Concile d'Arles

d’exemptions fiscales. En outre, Constantin introduit l’audentia episcopalis, à savoir une juridiction épiscopale. Soucieux de l’unité de l’Église, Constantin intervient aussi dans les querelles dogmatiques. Dès lors, il fait convoquer en 325 le premier concile œcuménique, celui de Nicée, qui établit le dogme de la Trinité. La politique des successeurs de Constantin est, dans l’ensemble, analogue. Ils favorisent le clergé et s’intéressent aux débats théologiques. En dépit du caractère dans l’ensemble favorable

l'Europe occidentale. Aux XII et XIII siècle, les papas ce veulent les arbitres suprêmes de la chrétienté , au- dessus des rois C) Une Eglise vivante et diverse Le clergé séculier. le pape peut convoquer le concile, assemblée d'évêques réunie pour régler des problèmes important , comme le concile de latran IV a Rome en 1215 . L'êvêque peut rassemble les prêtres de son diocèse; c'est un synode, dont les décisions doivent ensuite être appliquées le clergé régulier. vivant a l'écart du monde priant

définition même de catholique pose problème: le critère de la pratique régulière est-il suffisant? 1870 est une date charnière puisqu'elle marque à la fois le début de la IIIème république et le premier concile œcuménique du Vatican qui se tient du 8 décembre 1869 au 20 Octobre 1870. Ce concile est interrompu suite à l'invasion des troupes italiennes à Rome. Il définit l'infaillibilité pontificale qui est le dogme selon lequel le pape ne peut pas se tromper en matière de foi et de morale. Il affirme

que les autres. J’ai le droit de ne pas croire ← Il n’ y a plus référence a dieu ; la religion est confiné a la système privé ← 1905 :séparation de l’église et de l’état. ← « Une église libre dans un état libre ».Montalembert. ← concile de Vatican 2 :la foi ne peut pas faire objet de conflit62-65. Jean 23, Paul 6. Les « jean paul » montre sa continuité avec vatican 2.1986, reunit des representant de toute les religions en 1986 ,JP2. il faut donc un discours dans lequel il va

assertions de M. Brown. 2. L’Opus Dei est-il hostile au Concile Vatican II et au monde moderne ? Un point essentiel du message de l’Opus Dei est que les laïcs chrétiens sont appelés à prendre leur place dans le monde moderne, sans le rejeter ni s’en retirer, mais au contraire en s’y impliquant et en l’améliorant par leur témoignage de vie chrétienne. Ainsi, l’Opus Dei soutient et diffuse tous les enseignements de l’Église, y compris ceux du Concile Vatican II, qui a confirmé la doctrine du rôle des

(+337) qui était intéressé, pour des raisons politiques, à la croyance en la divinité du Christ. En 325, il convoqua donc un Concile à Nicée, afin d’y faire officiellement déclarer la divinité de Jésus. Le Concile, à la suite d’un vote à très courte majorité, a commencé à le considérer comme « Fils de Dieu ». Il est cependant avéré que, loin d’être une invention du Concile de Nicée, la confession de la divinité de Jésus est affirmée comme un pilier de la foi catholique dès les écrits chrétiens les

fraternelle en communauté" s'est beaucoup transformée par rapport au passé en de nombreux pays. Ces transformations, avec les espérances et les désillusions qui les ont accompagnées et les accompagnent encore, demandent qu'on y réflechissé à la lumière du Concile Vatican II. Elles ont eu des effets positifs et d'autres effets plus discutables. Elles s'ont mis en lumière beaucoup de valeurs évangéliques et donné une nouvelle vitalité à la communauté religieuse, mais elles ont aussi suscité des interrogations

du point de vue de Paul Evdokimov, théologien chrétien orthodoxe, sur l’orthodoxie en général et sur les apports du Concile œcuménique de Vatican II qui s’est déroulé de 1962 à 1965 et au sein duquel il fut un participant actif. Nous nous bornerons donc à exposer les opinions de l’auteur. Paul Evdokimov semble partir d’un double constat, à une époque contemporaine du Concile de Vatican II, dans cette première moitié du XXème siècle si perturbé : d’une part, l’Homme, parce qu’il est philosophe

l’unité et de la paix. Le dernier événement important de cette année qui s’achève a été le Synode sur la Nouvelle Évangélisation qui a été en même temps un commencement communautaire de l’Année de la Foi, par laquelle nous commémorons l’ouverture du Concile Vatican II, il y a cinquante ans, pour le comprendre et l’assimiler de nouveau dans une situation changeante. Avec toutes ces occasions on a abordé des thèmes fondamentaux de notre moment de l’histoire : la famille (Milan), le service de la paix

chrétiens davantage " ouverts " aux valeurs du monde profane, etc. Dans un domaine plus doctrinal, on fait état encore de certaines " modifications d’accent "qui se seraient produites, touchant le sacerdoce commun et le sacerdoce ministériel, au Deuxième Concile du Vatican. Ces modifications auraient perturbé l’idée que se feraient d’eux-mêmes les prêtres catholiques depuis des siècles. On ajoute fréquemment que cette idée traditionnelle, très marquée par les circonstances politico-ecclésiologiques qui en