Concile d'Arles

à repenser la conception du pouvoir politique. Dans la structure de l’Eglise, il existe des Assemblées d’Evêques (=Conciles) au sein desquelles on va définir un certain nombre de choses. Du temps de Constantin, ces conciles sont présidés par l’Empereur. La fusion entre le pouvoir politique et le pouvoir religieux est totale. Constantin préside les conciles et notamment le concile de Nicée (325) qui a défini des quantités de choses. La référence faite au passé glorieux de Rome, à tendance à s’effacer

Le caractère autonome des différentes Eglises autonomes est accru par la main mise progressive des rois sur la désignation des évêques ,la coutume était de recruter les évêques dans des familles de l’aristocratie sénatoriale gallo-romaine , le concile d’Orléans de 549 décrète que la consécration ne peut avoir lieu avant l’assentiment du roi et cela prouve la fragilité de l’église . A l’époque carolingienne le pouvoir et la religion s’allient durablement avec Pépin le bref et Charlemagne le royaume

Cette conversion est un acte politique fondamental parce qu’après son baptême Clovis devient une figure de défenseur de la foi chrétienne car la Wisigoths et les Burgondes sont des hérétiques d’Arius (négation de la divinité du Christ condamnée Concile de Nicée 325). Les évêques de la Gaule vont donc faciliter la conquête de Clovis, en 500 victoire sur les Burgondes, en 507 sur les Wisigoths il a donc soumis la quasi-totalité de la Gaule. §2 : Les dynasties franquesI) la dynastie mérovingienne

matière de détournement culturel. On l’accuse, non sans raison, d’indélicatesses, de fausses citations. Voltaire forge aussi des textes pour les besoins de sa cause, comme semble-t-il le discours d’Osius admonestant les évêques avant la réunion du concile de Nicée (« Arius ») et le credo de l’abbé de Saint-Pierre qui porte son estampille (« Credo »). Ces considérations conduisent à la prudence et à la modestie quand il s’agit d’apprécier la présence du « déjà dit » dans le DP. La vigilance critique

1415, le pré réformateur Jean Huss se rendant au Concile de Bâle avec un sauf-conduit de l'Empereur d'Allemagne a, néanmoins, été arrêté, jugé et brûlé vif. Quant au franciscain Savonarole, cela fait à peine 20 ans qu'il a été exécuté à Florence. Luther y soutient fermement sa façon de penser : "À moins d'être convaincu par le témoignage de l'Écriture et par des raisons évidentes - car je ne crois ni à l'infaillibilité du pape ni à celle des conciles (il est manifeste qu'ils se sont souvent trompés

pouvoir cependant qui ne peut s’exercer qu’avec le consentement du Pontife romain " (LG 22 ; cf. ⇒ CIC, can. 336). 884 " Le Collège des Évêques exerce le pouvoir sur l’Église tout entière de manière solennelle dans le Concile Œcuménique " (⇒ CIC, can. 337, §1). " Il n’y a pas de Concile Œcuménique s’il n’est comme tel confirmé ou tout au moins accepté par le successeur de Pierre " (LG 22). 885 " Par sa composition multiple, ce collège exprime la variété et l’universalité du Peuple de Dieu ; il exprime

théologiques et de l’activité des conciles. Ce qui reste presqu’inaperçu, et moins encore souligné par les chercheurs, c’est le fait que l’histoire de toute hérésie byzantine comprend sa formation, sa propagation et son désapprouvement, le dernier étant assez souvent précédé et/ou suivi par une période, plus ou moins longue, pendant laquelle „l’hérésie“ est admise comme dogme officiel de l’Eglise. Ceci est valable aussi pour la dernière „hérésie“ byzantine condamnée par un concile en 1342 – l’Hésychasme

apocalypse, …. Simplement vie du christ et de ses proches Le droit de l’Eglise a été élaboré plus tard et par les instances supérieures de l’église : les Papes vont faire du droit canonique, les conciles (assemblée d’évêques) ont des pouvoirs dogmatiques et des pouvoirs disciplinaire, plusieurs conciles… La création du droit canonique ne provient pas seulement de la haute hiérarchie, les évêques peuvent faire des lois dans le cadre de leur diocèse. Les moines sont dirigés par un abbaie. Ces ordres

question font suite à des problèmes qu’ils ont affrontés lors de leur ministère auprès des chrétiens européens de Tunis. C’est question avaient pour but de savoir si certain péché par rapport à d’autre valait l’excommunication ou non. En effet les conciles œcuméniques et la législation pontificale ont certes établies des règles de base et n’avaient tous les cas de figure que pouvaient rencontre les frères mendiant de Tunis. Donc à la lecture de ce texte on peut se poser la problématique suivante :

Canon n°1 : La condamnation de l’adoptianisme n’a rien d’étrange. Le concile est convoqué par ordre du roi Charlemagne (cf. concile d’Orléans par Clovis). Le Charlemagne assiste en personne au concile à la différence de Clovis. Canon n°2 : Faire référence au concile de Nicée qui aurait été soit une mauvaise traduction, soit une mauvaise interprétation. Mais Charlemagne y aurait vu une menace car il cherche à s’imposer en tant que chef de l’Occident (mauvaise foi). Question de l’iconoclasme.