Comportements Madame Bovary

Corpus : scènes de bal dans quatre romans Texte 1 : La princesse de Clèves , Mme de Lafayette,1678 Texte 2 : Mme Bovary, Gustave Flaubert, 1857 Texte 3 : Une belle Journée, Henri Céard, 1881 Texte 4 : Le Ravissement de Lol V Stein, Marguerite Duras,1964 Question : quel(s) rôle(s) joue le bal dans ces quatre scènes romanesques ? Vous serez particulièrement attentifs au rôle des regards et à la question des points de vue romanesques. Texte 1 : La princesse de Clèves , Mme de Lafayette,1678

plan de la seconde moitié du xixe siècle, Gustave Flaubert a marqué la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques, son souci de réalisme, son regard lucide sur les comportements des individus et de la société, et par la force de son style dans de grands romans comme Madame Bovary (1857), Salammbô (1862), L'Éducation sentimentale (1869), ou le recueil de nouvelles Trois Contes (1877). Né dans une famille de la petite bourgeoisie catholique et d'ancêtres protestants2

« expérimente » donc des situations parmi lesquelles il choisit celles qui lui en sont favorables, refuse d’autres et acquérait les bénéfices de ces expériences sans s’exposer aux dangers réels. Dans Madame Bovary, Flaubert montre l’évasion et le rêve qu’attribue un roman à son lecteur : en effet, Emma Bovary, par le moyen des romans, construit autour d’elle un monde dans lequel elle souhaite vivre pour échapper à son quotidien qui lui pèse. Pour cela, nous pouvons dire qu’une des raisons qui explique

vie plutôt que de la vivre. Ce comportement vient des lectures d'Emma quand elle était jeune. Elle a été très influencée par ses livres et a vécu de nombreuses déceptions : son mariage, son premier amant, sa fille (elle voulait un garçon), le travail de son mari (l'échec de l'opération du pied beau), la relation avec son second amant, sa mort (...) Gustave Flaubert est un écrivain français du XIXe siècle. « Les lectures au couvent » est extrait du roman Madame Bovary publié en 1857 par Gustave Flaubert

stupides" ou encore "ils baillaient l'un devant l'autre". Les espoirs mis dans cette nouvelle vie semblent déçus. Le personnage de Durtal dans le livre de Huysmans paraît connaître la même affliction. Confrontée à une femme dont il découvre certains comportements, il déchante; à l'image du paysage alors décrit, l'homme ne saurait se raccrocher aux illusions: "interminable, déserte, à peine éclairée, distançaient" peuvent être mis en relation avec l'attitude de cette femme: "agitée, nerveuse, glacée". Enfin

famille ou entre amis est un moment convivial, et bien la littérature exploite cette idée reçue pour nous dépeindre les personnages, nous les présenter ou faire naître de douloureuses révélations... C’est le cas de ce qui suit, c’est un extrait de Madame Bovary de Gustave Flaubert : « A sept heures, on servit le dîner. Les hommes, plus nombreux, s'assirent à la première table, dans le vestibule, et les dames à la seconde, dans la salle à manger, avec le marquis et la marquise. Emma se sentit, en

réaliste car il s'était donné pour objet d'étude la réalité sociale et historique. Il s'est beaucoup documenté pour écrire ses œuvres afin de faire vrai. Il a eu une grande influence sur Maupassant. Il est l’auteur de romans et de nouvelles : Madame Bovary (1857), Salammbô (1862), L'Education sentimentale (1869), Trois contes (1877). Pour s3 lire la nouvelle en entier et répondre aux questions. s2 – étude de l’incipit d’« Un cœur simple » (2h)  « Un cœur simple », Flaubert, chapitre I  Lecture

58 ans, dans la commune de Canteleu. Il est né dans une famille catholique et de la petite bourgeoisie ( son père, Achille Cléophas Flaubert, était chirurgien-chef ). Son mouvement en écriture était le réalisme. Ses œuvres principales sont : Madame Bovary ( 1857 ) Salammbô ( 1862 ) L’éducation sentimentale ( 1869 ) Les trois contes ( 1877 )b Bouvard et Pécuchet ( 1881 ) Suite à une déception amoureuse, Félicité quitte la ferme ou elle était employée et part pour Pont l’Êvêque pour devenir

particulier chez Maupassant et chez Flaubert, les antihéros appartiennent à un monde qui se défait, à une époque où l’on écrit le roman des existences manquées. Parmi ces romans de l’échec, on peut d’abord citer Madame Bovary (1857) et L’éducation sentimentale (1869). Dans le premier roman, Emma Bovary oppose ses rêves , nourris de romans bon marché, au réel et ne peut que sombrer dans l’échec et le ridicule : ce personnage central ne réussit pas plus à devenir une héroïne romantique sue le médiocre pharmacien

né en 1821 et mort en 1880. Il est un prosateur de premier plan de la deuxième moitié du 19ème siècle et a marqué la littérature française par la profondeur de ses analyses psychologiques et par la force de son style dans de grands romans comme Mme Bovary ( publié en 1857) et L'éducation sentimentale (en 1869). L'éducation sentimentale est l'histoire d'un jeune homme, Frédéric Moreau, qui tombe éperdument amoureux de Mme Arnoux, femme d'un homme influent de Paris. L'extrait que nous allons commenter