Comportements D Agitation Pathologique

consécutif à certains troubles cognitifs d’origine neurologique mais, le plus souvent, est la conséquence d’une maladie psychiatrique du domaine de la névrose grave ou de la psychose. Le handicap psychique génère le plus souvent des troubles du comportement et des troubles affectifs, perturbant l’adaptation sociale. Il s’agit d’un état durable ou épisodique avec périodes de rémission, avec ou sans altérations des facultés mentales. Il peut apparaître à tous les âges de la vie. b) Épidémiologie :

Ethologie L’éthologie = * Etudie les comportements et les relations sociales des animaux dans leur environnement spécifique. * Méthodes et concepts théoriques = scientifiques (interprétation des comportements = objective >< anthropomorphisme). * Explique les comportements observés chez les membres d’une espèce animale dans un contexte précis, défini par l’environnement physique ou social (différence de l’évolution d’un comportement dans l’ontogenèse : évolution de l’animal en lui-même

de la combinaison de plusieurs facteurs de risques. On distingue : * Les causes intrinsèques - l’état pathologique : neurologique, cardiologique - la prise de médicaments : on observe que certains médicaments augmentent le risque * Les causes extrinsèques - l’environnement matériel : inadaptation du logement qui présente des dangers pour le sujet âgé, - le comportement : malnutrition, consommation d’alcool - l’environnement socio-familial : isolement et absence de lien social

I. Style de comportement des groupes minoritaires (Moscovici, 1973) II. Le conflit Partie 2 – Attitude et comportement Chapitre 1 – la consistance I. la théorie de la consistance A. théorie de l’équilibre - Heider B. La notion d’attitudes – Allport et modèle tripartite d’Hovland et Rosenberg C. 1993 : Eagly et Chaiken II. La notion d’attitudes A. Définition d’Allport et dérivés B. La relation attitude/comportement C. Eagly

...... 143 2.4 Aspects psychopathologiques de l’adolescent................................................................. 144 2.5 Auto-questionnaires de variables psychopathologiques.................................................. 146 Les comportements délinquants (ABS, SRDQ, SRDB, SES)................................... 147 2.5.1 2.5.2 Les traits de personnalité psychopathique (YPI)....................................................... 148 2.5.3 Les traits de personnalité limite (BPD) ....

exercent sur les individus une contrainte si forte qu'ils s'imposent à eux, que ces derniers le veuillent ou non. En d'autres termes, ils dépassent les volontés individuelles. La contrainte exercée se manifeste sous forme de normes de pensée et de comportement, de sanctions sociales diffuses (réprobation, blâme ou mise à l'écart) ou organisées (pénales). Nous ne sommes pas obligés de nous habiller tous de la même manière ou de parler la même langue, mais si nous ne tenons aucun compte des usages vestimentaires

psychoaffectif particulier entre la mère et l’enfant définissant une période sensible pour l'instauration du "bonding" ou lien mère / nouveau-né (recherches de Brazelton, Stern et Cramer). Bowlby considère que dès la naissance, le bébé a des comportements d’attachement, guidé par une « pulsion primaire d’attachement » (il cherche le sein de sa mère, s’agrippe à elle, il capte son regard,…). Pour Winnicott, lorsqu’une mère allaite son bébé, elle est dans une sorte de bulle avec lui, coupée du monde

relatifs à l’hygiène de vie et la diététique, mais également vers une part de hasard (les aléas de la vie !) Il est indéniable d’affirmer, en définitif, que la longévité humaine se joue sur de multiples facteurs que peuvent être les facteurs pathologiques, l’hérédité, l’entretien des capacités, les facteurs sociaux ou encore les facteurs psychologiques. Le vieillissement, s’il n’est toutefois pas uniforme pour tous, reste un processus universel, progressif et irréversible. Tôt ou tard, une personne

de la maladie d’Alzheimer sont perçues comme perdant leur personnalité, déshumanisées, voire déjà mortes ; les images dominantes sont celles de patients à des stades avancés de la maladie, décrites sur un ton dramatique. Par ailleurs, les comportements socialement inadaptés que peuvent avoir les personnes malades semblent constituer une source importante d’exclusion et peuvent conduire l’entourage à éviter les situations d’interaction sociale qui pourraient déclencher un sentiment de honte

Neurodégénérative : Du grec ancien : neûron : nerf, qui concerne les nerfs ou le système nerveux. Du latin degeneratus :'plus de son genre, (degener : avili) (de : hors de, loin de) + (genre, gener : race, genre). La dégénérescence est un processus pathologique qui implique généralement des modifications de la structure anatomique ou fonctionnelle : cellules, tissus, La maladie neurodégénérative correspond à une maladie évolutive touchant le cerveau ou plus généralement le système nerveux, entraînant