Comportement De Sganarelle

nous entendons. Lancé dans la bataille du Tartuffe, Molière saisit l'occasion de dire leur fait à ses adversaires. Sganarelle : Quoi ? Vous ne croyez rien du tout, et vous voulez cependant vous ériger en homme de bien ? Dom Juan : Et pourquoi non ? Il y en a tant d'autres comme moi, qui se mêlent de ce métier, et qui se servent du même masque pour abuser le monde ! Sganarelle : Ah ! Quel homme ! Quel homme ! Dom Juan : Il n'y a plus de honte maintenant à cela : l'hypocrisie est un vice

toujours pas, alors il la touche (il peut car c'est matériel). Cependant à la fin de la pièce il n'admet toujours pas la présence d'une force supérieure : il est conforme à ce qu'on a vu : il est logique jusqu'au bout, inébranlable, incrédule. b) Sganarelle Sg reste conforme aussi à ce qu'on sait de lui : - il se présente en tant que garant de la morale, donneur de leçons (l.1815) → c'est un personnage moralisateur. Il donne la morale à la fin. - il est peureux : l.1801-1803-1814 (« Ah ! Monsieur

Dom Juan, en une effrayante statue mobile. Molière accorde beaucoup d’importance au comique gestuel en particulier pour le valet Sganarelle. Les parenthèses de la scène 2 de l’acte I sont au service du rire : »je parle au maître que j’ai dit », « ce n’est pas à vous que je parle mais à l’autre. Dans la scène 1 de l’acte III, pou conclure la démonstration de Sganarelle sur la supériorité de l’homme, Molière note : « il se laisse tomber en tournant ». Dans la scène 7, de l’acte IV, la réplique, « …qui

théâtre classique et mélange les registres comique , tragique et fantastique . Molière reprend le personnage d'un grand seigneur débauché . La puissance subversive de la pièce apparaît dans la peinture du libertin ainsi que dans le personnage de Sganarelle qui par sa sottise et ses lâchetés ridiculise les valeurs morales et religieuses qu'il est censé défendre . Après 15 représentations la pièce dut être censuré sous la pression du parti dévot . Nous sommes ici dans la scène 2 de l'Acte 2 . Cette

l'époque, “Dom Juan” excuse le libertinage. Molière est obligé de supprimer certaines scènes et répliques qui se moque de la religion. La pièce ne sera jouée qu'une seule fois du vivant de Molière. La scène 2 de l’acte 1 met en scène un dialogue entre Sganarelle et Dom Juan que l’on appelle “ l’éloge de l’inconstance“. Dom Juan dresse un portrait libertin de lui-même . Comment Dom Juan dresse-t-il un portrait positif et innocent de lui-même pour justifier ces actions ? Tout d’abord nous

essentiellement sur le comique. En effet, Dom Juan manipule ses interlocuteurs de façon à ce qu'ils se rendent ridicules et par la même occasion comiques, pour l'amusement du spectateur mais aussi pour son propre amusement. Il s'amuse beaucoup avec son valet Sganarelle qui essaye de faire rentrer son maître dans les rangs, mais malheureusement l'on rit de ses arguments qui sont la plupart du temps très maladroits. Dom Juan ne se rend pas conte de ses actes scandaleux, pour lui même le plus gros sacrement (le mariage)

le Festin de Pierre qu'il présenta pour la première fois le 15 février 1665. La pièce fut ensuite elle aussi interdite par les dévots en août 1665, se sentant insultés par le personnage caricatural de Sganarelle. Nous nous intéresseront ici au personnage de Dom Juan qui est le maitre de Sganarelle et qui est un libertin. Alors interrogeons-nous, en quoi pouvons-nous dire que le personnage de Dom Juan est un libertin ? Nous verrons donc dans un premier temps sa conception de l'amour, dans un second

personnage principal, or, c’est un libertin qui nie le sacrement du mariage, il a détourné une femme de sa vocation de nonne, il se moque ouvertement de la religion…etc. De plus c’est un personnage sans cesse mis en valeur, ne serait-ce que parce que Sganarelle, qui l’accompagne, n’est pas de taille à le contredire. Analyse de la scène du pauvre. (« hyper » scandaleuse pour l’époque). Provocations envers la statue du Commandeur. …etc Cf : Le Tartuffe, ce n’est pas la première fois qu’il s’en prend

entre les personnages de Sganarelle et Dom Juan , le premier énonce son point de vue , avouant a Dom Juan qu’il n’approuve guère sa manière «  d’aimer de tous cotés » le second va répliquer par ca célébrissime tirade sur sa philosophie de l’amour . Nous allons ici chercher a savoir si le discours de Dom Juan est condamnable ou non . Dans un premier temps le lecteur peut apercevoir que Dom Juan est un habile orateur , mis à part le « tu » prononcé en faveur de Sganarelle il parle sans forcément

| |Un démon qui se mêle dans toutes les scènes et qui répand sur le théâtre les plus noirs fumées de l'enfer. | |Et enfin, un Molière, pire que tout cela, habillé en Sganarelle, qui se moque de Dieu et du Diable, qui joue le Ciel et l'Enfer, | |qui souffle le chaud et le froid, qui confond la vertu et le vice, qui croit et ne croit pas, qui pleure et qui rit, qui reprend | |et qui approuve, qui est censeur et athée,