Complicité Lecteur Narrateur

l’extrait du prologue  : Ouverture dans l’œuvre : son narrateur considéré comme un alter ego de l’auteur est une anagramme (voir p15 et 230 )+ subterfuge : manuscrit retrouvé pour entretenir le mystère et créer une distance avec l’auteur : lecture p 26 + explication chapitre 2 censuré Adresse aux lecteurs p. 17 : dizain de décasyllabes qui se termine par deux vers à

ironiques visent ' s'attirer la complicit' amus'e du lecteur. Certaines formes oratoires rappellent n'anmoins l'inspiration morale qui pr'side au registre satirique dans la condamnation des errements sociaux. Registre humoristique': Il fait plut't sourire que rire et n'a pas de vis'e critique .L'humour noir plaisante sur les situations macabres ou sordides. Registre path'tique': L'?uvre 'voque des souffrances poignantes d'individus communs et attire la compassion du lecteur. Chute': Trait spirituel

cherche à attirer l'attention de son lecteur par des effets de décalage. une légitimité apparente La guerre aurait avant tout une légitimité esthétique: Voltaire la montre ironiquement comme un spectacle (champ lexical du spectacle, conception théâtrale de la guerre: « héroïque »), puis il décrit de façon très réaliste ses conséquences avec les massacres de civils. Il s'agit là de deux visions inconciliables de la guerre; il évoque également la complicité de la religion : « Te Deum ».

résume l’expression « une misère sans dignité ». Nous verrons que cette description typiquement balzacienne, qui établit une stricte correspondance entre l’habitat et ses habitants, trouve sa justification dans la triple visée que lui accorde le narrateur : la peinture du décor illustre un état social, caractérise les personnages, annonce la suite du roman. Ainsi se trouve légitimée cette pause descriptive qui en apparence suspend l’action de façon gratuite. Le texte est composé de 7 paragraphes

nous intéresser au personnage principal, le voyageur, en proie à un profond mal-être ; enfin, nous expliquerons en quoi le voyage qu'il entame est pour lui un départ vers une nouvelle vie. Tout d'abord, ce texte se distingue par le parti pris du narrateur qui privilégie une énonciation singulière. Dans cet extrait, le récit est mené à la deuxième personne du pluriel. Cet emploi presque exclusif du « vous » donne l'idée que l'histoire racontée pourrait être celle de tout le monde, et pas exclusivement

La finesse de cette scène provient du jeu de regard entre le narrateur et les personnages. -narrateur omniscient (pensée + sentiments des personnages) l.15 « il pensa que, parmi tant de personnes… » -adverbe « longtemps » l.14 -> le narrateur connait le passé des personnages. -les verbes perception permettent de passer du narrateur aux personnages. L.4 « voir », « laisser paraitre » . -narration : pronom « on » l.40 lecteur + narrateur inclus. -discours direct l.31 : phrase du duc de Nemours -Discours

digne de foi", semble souligner le caractère authentique des èv raconter mais la suite de la phrase montre bien qu'il ne faut pas croire ces pseudo-témoignages. Il s'agit d'un jeu ironique avec le lecteur et en même temps il rappel qu'au moment de l'affaire Calas il faut se méfier du témoignage. Le narrateur est omniscient on connait le passé des personnages, ce qu'ils ressentent, cependant il n'est pas objectif. Il exprime son jugement, concernant le père de Jeannot il est moqueur (l.3) (marchant de

fleuves profonds est le récit de l’enfance andine et errante du jeune Ernesto, qui va forger son identité au sein d’une société péruvienne plurielle quant à la structure de ses valeurs. Il s’agirait donc de l’évolution créatrice d’Ernesto, le jeune narrateur, qui essaye de démêler les racines d’un présent et dont la trame serait incaïque. I. Revendication d’un enracinement andin à travers la spiritualité de l’environnement Une enfance solitaire : De part une double absence paternelle et maternelle

éponyme travail dans un milieux qu’il connaît : la presse. C’est aussi pourquoi Maupassant fut critiqué car il montre le monde de la presse à son mauvais jour. Ce texte constitue l’incipit de « Bel Ami » et présente un intérêt majeure : inciter les lecteurs à lire la suite du roman et montre les éléments nécessaires au démarrage de l’intrigue et à la mis en place de l’intérêt romanesque. I. L’illusion du réel a) Un cadre réel Le texte s’ouvre par la présentation implicite d’une localisation

Département : Lettres/ Section : F1B1 Didactique des textes Formateur : M. Samba Thiaré Devoir d’analyse de texte : « L’arrestation de Toundi » Dans ce texte, le narrateur Toundi nous raconte son arrestation par les autorités coloniales. L’officier de police Gosier d’oiseau accuse Toundi de complicité de vol auprès du commandant de concert avec la femme de ce dernier qui a enfoncé Toundi en précipitant son arrestation. Le moment de l’énonciation « ce matin » nous révèle l’empressement