Comparaison Sartre Rousseau

pathétique (p.359) le fait qu'Olivier veuille se sacrifier pour Aliéna → intensité dramatique du sacrifice de soi. (p.361) « je croyais que ton cœur avait été blessé par les griffes d'une lionne.. Blessé il l'est, mais pas les yeux d'une lionne. Comparaison d'une femme/lionne. Discours élégiaque par Orlando, où il se lamente sur son amour.; et le comique de la relation de Silvius / phébé , à leur arrivé. Silvius est complètement soumis à Phébé, instauration d'un lyrisme. (p.369) « c'est être entier

sans frontière. Jean-François Revel, bien que porté par un antimarxisme militant qui l’aveuglait souvent, fut un des rares intellectuels français à deviner ce qui se passait. Peut-être une affaire de génération : il était né vingt ans après les Sartre et Aron. Il n’avait pas leur vision traditionnelle de la révolution. Dans son livre qui le rendit célèbre dans le monde entier, Ni Marx ni Jésus 2, Revel eut la formidable intuition que la révolution ne viendrait pas de Moscou, de La Havane

percevoir deux grands thèmes, intimement liés dans l’Avantpropos. • Le premier est le concept d’« unité de composition », notion centrale dans toute la pensée de Balzac, qu’il applique à la politique ou à l’esthétique. Au départ, c’est l’idée d’une « comparaison entre l’Humanité et l’Animalité », idée récurrente qui lance la recherche. Se référant aux théories de Geoffroy de Saint-Hilaire (et aux sciences naturelles de son temps), le préfacier pose que, tout comme « l’animal est un principe qui prend […]

l’âge classique de Michel Foucault. Elle a donné lieu à de fertiles échanges. Une seconde séance, sous la conduite de Ronald Bonan, a présenté un extrait de la préface de Signes de Maurice Merleau-Ponty. Hannah Arendt, Pierre Bourdieu, Jean-Paul Sartre, Nelson Goodman, etc., constitueront l’objet de futurs séances. A l’issue de la première séance, l’auditoire a manifesté le désir de prolonger la réflexion sur Foucault. Le cercle essaiera donc de conduire des approfondissements parallèles. Que tous

conscience particulière, animée de ses désirs, de ses sentiments, de ses représentations particulières. Cette idée va jouer un grand rôle : elle sera longueme n t travaillée sur des plans très différent s par la psychanalyse et la phéno m é n ologie (Sartre surto u t). Pour Bergson, elle pointe quelque chose d’essentiel : quelle que soit la situation, le sujet n’est jamais neutre, il est toujour s actif, et colore et modifie ce qui est le contenu de sa perception. L’objectivité s’évanouit. D é b u

compte, c’est l’individu. Le rôle de l’Etat c’est d’agir pour le bien être de l’individu, ce qui est toujours notre concept° actuelle. Avec ce changement de valeur vient une contestation de l’ordre mis en place, notamment avec Voltaire, Montesquieu, Rousseau (le doyen déteste). Les idées de séparation des pouvoirs, de la tolérance (religieuse), de la lutte contre l’absolutisme apparaissent et le pouvoir politique ne comprend pas ses changements. Louis XVI, arrivé au pouvoir à 20 ans en 1774 ne comprend

d’intérêts s’accompagne d’une littérature plus récente qui reste rattachée à l’esprit de l’approche déontologique développée initialement par Kant (Boidin, Postel & Rousseau, 2009; Gotsis & Kortezi, 2008; Bruckner, 1987). Les prolon- gements des éthiques conséquentalistes, et la place qu’elles consacrent à la mesure et à la comparaison d’états psychologiques et sociaux autour d’une définition du bien ou de l’utile, se retrouveront beaucoup en économie normative (Sen, 2003), ainsi que dans les

justifié leur dictature au nom du bien commun, qu’un peuple d’enfants serait incapable de défendre par lui-même. Les « fauteurs de despotisme », comme les nommait Rousseau, se justifient toujours en invoquant une nature humaine incapable de se préserver de ses propres abîmes – mais si vous voulez que le peuple se comporte en adulte, affirme Rousseau, commencez par le traiter comme tel ; si vous voulez qu’il se rende digne de la liberté, commencez d’abord par la lui donner. Un peuple est ce que ses lois en

homme n’est rien s’il n’est pas contestant. Mais il doit aussi être fidèle à quelque chose. » Jean-Paul Sartre, entretien accordé au Nouvel Observateur en mai 1968. 3) « Les hommes qui n’aiment pas le bonheur l’appellent médiocrité. » Françoise Parturier, Lettre ouverte aux femmes, Albin Michel. 4) « L’adversité sans doute est un grand maître, mais il fait payer cher ses leçons. » Jean-Jacques Rousseau (écrivain genevois, 1712-1778). 5) « Cette année, parce que ça ne peut plus durer de dire oui quand

classique n’ont qu’un succès moyen : la difficulté de la langue, le plus souvent française, en est de toute évidence la cause. Citons cependant Machiavel. L’époque moderne et contemporaine fournit abondamment : Rousseau, Hegel (Le recueil ayant pour titre “La raison dans l’histoire”), Alain, Sartre, Merleau-Ponty, avec une mention particulière pour les auteurs nouvellement apparus au programme : Locke, Schopenhauer, Tocqueville, Mill, Arendt, Russell, Popper. Signalons tout de même le peu de succès