Comparaison Racine Corneille

celles du groupe, elles sont donc personnelles. Les noms donnés aux personnages sont suggestifs. Nous sommes sûr que du nom du personnage qui se nomme Phèdre. Les noms donnés font référence à la pièce de RACINE Phèdre. Cependant on constate des anachronisme par rapport à la pièce de RACINE. SOMMAIRE I- PRÉSENTATION GÉNÉRALE 1- Contexte a- Politique b- Littéraire c- Artistique 2- L'artiste : Alexandre

Supports : - trois faits divers (manuel p.230-231) - « Toute une année au soleil » de Didier Daeninckx Activités : - lecture de deux faits divers et recherche des caractéristiques de ce type d’article. Élaboration d’une définition du fait divers. - comparaison d’un fait divers avec la nouvelle de D. Daeninckx. Deux types de mises en œuvre (observation des temps verbaux, caractérisation des personnages, indications spatio-temporelles, tempo, voix narrative…) - construction d’un tableau de synthèse qui

cultures française et européenne. [...] On étudie en tant que tel un mouvement littéraire et culturel français et européen du XVIe au XVIIIe siècle ; d'autres mouvements le sont en liaison avec les autres objets d'étude. On construit des relations de comparaison et de chronologie entre les mouvements étudiés en seconde et en première. » Extrait du Bulletin officiel, 12 juillet 2001. Explication Et, et La notion de mouvement (ou courant) littéraire n'est pas nouvelle pour vous. Vous avez entendu parler

considère que les comédiens doivent être excommuniés. Dans ce siècle dominé par le Classicisme, la distinction entre les genres théâtraux est nette : la tragédie et la comédie ont des caractéristiques propres, qu'un auteur se doit de respecter. Comparaison de la composition d'une comédie et d'une tragédie: Comédie: Personnages de bourgeois, Sujet = famille, vie sociale, argent, amour (sphère privée). Forme assez libre, vers ou prose. Registre comique et fin heureuse. Unité de temps, de lieu, d'action

vwo) Le candidat peut donner un aperçu des principales caractéristiques de l'histoire littéraire et peut mettre des œuvres littéraires lus dans cette perspective historique. Commentaire comparé Ce travail consiste à la comparaison de trois poèmes ayant en commun le thème de la femme. Il s’agit de : A une femme, Paul Verlaine, le serpent qui danse (Charles Baudelaire, Les fleurs du mal ) et femme noire de ( Léopold Sédar Senghor, Chants d'ombre) Nous allons comparer trois

supériorité.Les phrases évoquant la liberté sont isolées "mais moi… moi, je suis libre…" L2 métaphore filée "fils que le vent arrache aux toiles d'araignée" "je ne pèse plus qu'un fil et je vis en l'air" => connotation de légèreté, d'absence de racine, de mouvement (caractéristiques de la notion de liberté). Déjà on voit que cette liberté est connotée négativement "je ne peux pas me plaindre,..je sais que c'est une chance..." La notion de liberté réapparaît à la fin du passage "moi je suis libre

temps un tableau âpre et vivant. Fontenelle Bernard Le Bovier de Fontenelle Philosophe et écrivain français. Biographie Né à Rouen le 11 février 1657, mort à Paris le 9 janvier 1757. Il était le fils d’un avocat au parlement et de Marthe Corneille, sœur de Pierre et Thomas. À treize ans, au collège des jésuites de Rouen, il concourut avec éloges au prix des Palinods et il traduisit peu après en vers français quelques pièces latines du père Commire; il plaida une cause et renonça au barreau

la critique. Examens des qualités et des défauts par rapport à une norme donnée. Fin du 17° : querelle entre anciens et modernes, confrontation entre 2 camps ayant des conceptions radicalement antithétique, d’un côté les conservateurs (La fontaine, Racine, Boileau) qui mettent en exergue la simplicité et l’exemplarité des auteurs antiques et les progressistes (Perrault, Fontenelle) qui revendiquent une plus grande liberté de jugements. A partir de 1660, la critique mondaine et bourgeoise se conjuguent

partie de l’intrigue, que Dorval appelle Charles indique qu’il a pris une décision. Ainsi, on peut dire que la première scène de la pièce est un monologue délibératif, très courant dans le théâtre du XVIIe siècle (voir la première scène de Cinna de Corneille), mais dans l’optique du drame bourgeois, du genre sérieux, ce monologue délibératif se joue sur le mode plus naturel de la pantomime et aboutit donc à une décision auquel le spectateur n’a pas accès. La deuxième scène est constituée

perspectives : • Les échos permettent de confronter les genres des textes ; les perspectives ouvrent à d’autres époques ou d’autres espaces et registres : – d’autres époques : Benoît de Sainte-Maure, Le Roman de Troie (vers 1160) – d’autres genres : Jean Racine, Phèdre (1677) ; William Shakespeare, Hamlet (1603) – d’autres espaces : Fédor Dostoïevski, L’Adolescent (1875) ; Charlotte Brontë, Jane Eyre (1847) ; Giuseppe Tomasi de Lampedusa, Le Guépard (1958) – d’autres registres : San-Antonio, La Rate