Commente S Exprime Le Registre Pathetique

d’élément introduisant formellement une comparaison. » Lorsque la métaphore s’étend sur plusieurs ligne ou vers, explorant sa propre logique, l’on parle de métaphore filée. à Métonymie. « Figure de rhétorique, procédé de langage par lequel on exprime un concept au moyen d’un autre terme désignant un autre concept qui lui est uni par une relation nécessaire (la cause pour l’effet, le contenant pour le contenu, le signe pour la chose signifiée). » Ce qui oppose radicalement la métonymie à la métaphore

culpabilité; l'insulte , mais rien n'a fonctionné : c'est un échec. Dans ce dialogue argumentatif le combat était perdu d'avance quoi qu'il fasse le perso. Ne pourra pas s'en sortir et nous le voyons se débattre pour tenter sa dernière chance, ce qui est pathétique. ( expression de la souffrance). Tragique : la lutte perdu d'avance d'un perso. Qui quoi qu'il fasse est perdu à sa perte. Roméo et Juliette de Shakespear Quoi 1) Dialogue amoureux entre deux amants que tout sépare R. et J. s'aiment

et font apparaître des horizons qui excitent l’imaginaire des penseurs et des artistes. De la même façon, les travaux de Coppernic et de Galilée révolutionnent la conception de l’univers. D’autres scientifiques comme Ambroise Paré, chirurgien, ont commenté leurs travaux dans un souci de partage des connaissances servi par les progrès de l’imprimerie. L’intense activité intellectuelle de la Renaissance produit une Prose d’idées à son image : foisonnante, militante souvent, innovante presque toujours

nudité » Personnification de l’humanité en prostitué é : elle est prête à se vendre, à se corrompre : elle se complait dans la luxure II. Lorenzo : un personnage romantique a. Solitaire et tourmenté  « Suis-je » « Quand j’ai » « Je croyais » Registre lyrique prononcé le ‘’je’’ narratif est omniprésent « Je croyais que la corruption était un stigmate, et que les monstres seuls le portaient au front » Se rend compte de la complexité des hommes et du monde : Perte d’innocence brutale b. Les désillusions

née de la conviction intime qu’il n’y a plus d’issue. Il exprime le pessimisme, la marche inéluctable d’un destin fatal qui voue l’homme à la mort. Procédés utilisés : champs lexicaux de la mort, de la souffrance, des passions destructrices (la haine, l’amour, la jalousie…), des sentiments héroïques ; alexandrins. Le ton pathétique : Il déclenche un sentiment d’attendrissement et cherche parfois à émouvoir jusqu’aux larmes. Le ton pathétique inspire la pitié face à des souffrances ou des situations

Phedre est une tragédie classique écrite au XVIIe siècle. Dans laquelle Phedre l’héroïne de la pièce est amoureuse de son beau fils Hippolyte. Dan l'Acte 1 scène 3, Phedre avoue a Eonone son amour pr Hippolyte; En quoi ce tableau est-il tragique ? Comment on annonce le plan ? En première partie nous verrons qu'il s'agit d'une scène d'aveu puis dans une deuxième partie qu'il s'agit d'une passion interdite. Et enfin qu'il s'agit d'une scène tragique. (pour tous les qu'il s'agit, trouver autre chose

côtoie de près: on vint m'avertir que, cf. l'homme d'un âge déjà avancé du coup de foudre. Paradoxalement, ceci est conforté par l'évocation de la difficulté à nommer précisément les choses: «surpassaient tout ce qu'on peut décrire, ne saurait être exprimé». Le texte poursuit: je commençai plusieurs fois une réponse que je n'eus pas la force d'achever. Cette affirmation de l'indicible, aux antipodes des petits détails, donne au texte un impact qui sidère l'esprit critique du lecteur. Sans oublier le

dénouement de l’œuvre d’Alfred de Musset. Les deux protagonistes Camille et Perdican n’ont cessé de jouer avec leurs sentiments durant toute la pièce, entraînant dans leur infernal badinage la pauvre Rosette. Prisonniers de leur vanité, ils ne savent plus comment échapper aux conséquences de leurs actions. Perdican rejette ce fatal péché qu’est l’orgueil, Camille supplie le ciel de lui venir en aide, et dans un seul et unique moment de bonheur, ils s’étreignent et se déclarent leur amour. Instant aussi court

Sonnets est une femme, et c’est un homme qui devient l’objet du désir amoureux. Dans le sonnet 7, cette femme présente une requête à l’être aimé. Que lui reste-t-il dans cette situation de son statut de souveraine ? Nous verrons dans un premier temps comment le discours féminin semble inverser radicalement le rapport de domination. Nous intéresserons ensuite au double langage de ce poème, qui nous invite à relire l’infériorité proclamée de la femme comme une stratégie de séduction. [I. UNE INVERSION

l'amour et formule hyperbolique « amour extrême » Il insiste encore en utilisant des formules destinés à la séduire V.378 à 381, registre lyrique montrant l'intensité de son amour >Il se plaint de son mépris avec l'utilisation du champs lexical de la souffrance « malheur » «  soupire » « endure » et des interjections et phrases exclamatives insiste sur le registre pathétique « peine » « pitié » « souffrance » >il tente de la culpabiliser en la qualifiant de « cruel » « injuste » « mépris »