Commentaire Le Beau Navire Baudelaire

professionnels l’intéressant et lui donner une vue générale de la vie de l’entreprise. Dans le domaine maritime, le «journal de passerelle» est un registre imprimé sur lequel, à la mer, chaque officier inscrit à la fin de son quart les routes suivies par le navire, les distances parcourues, la vitesse, l’état du temps et de la mer ainsi que les incidents qui ont pu se produire. On parle aussi de «journal timbré» ou «journal de mer », pour désigner le cahier rédigé par le capitaine, qui y relate le voyage qu’il

marine, Comme hier, Si le bon Dieu l’avait voulu), Aragon (Il n’y a pas d’amour heureux), Jean Richepin (Les philistins, Les oiseaux de passage), Antoine Pol (Les passantes). Georges Brassens -7- L’œuvre de Brassens a été l’objet de nombreux commentaires et de nombreuses tentatives d’appropriation (aanpassing) (certains catholiques en particuliers, tel Jacques Charpentreau, essayant de démontrer que cet athée militant est un chrétien qui s’ignore…). Il est vrai que sa thématique n’est pas toujours

graphiques) : 20 minutes (éliminatoire : < 6/20) ● Synthèse de documents : 1 h 30 (c’est très court !) (éliminatoire : < 9/30) ● Dissertation : 20 minutes (éliminatoire : < 3/10) Épreuve d’admission : juin ● Épreuve orale : lecture suivie d’un commentaire de texte et de questions diverses Renseignements : www.unice.fr Paris : Faculté de Médecine Pierre-et-Marie-Curie © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit. Nombre de candidats : 2 639. Admissibles : 260. Admis : 130. Épreuve d’admissibilité

piston » (l. 64-65), ou les différents moyens évoqués pour « éprouver [le temps] dans toute sa longueur » (l. 98-104). En outre, Tarrou semble apprécier jouer avec les mots ; il prend ainsi au premier degré l’expression « quand les rats quittent le navire… » (l. 125 à 127), et s’amuse à animaliser la famille qu’il croise au restaurant de l’hôtel (p. 31-32). Tarrou pose ainsi un regard distancié sur les événements, qui offre au lecteur un contrepoint au récit principal mené par le narrateur, en privilégiant

s’enquit donc de l’identité des protagonistes de la scène, mais ceux-ci ne convenaient pas au « petit père des peuples ». Il fallait un Russe, évidemment, et un Géorgien comme lui. On décora donc Michael Jegorov et Militon Kantaria. C’est ainsi qu’un beau jour de 1945, on fabriqua deux héros soviétiques d’un fait d’arme inventé. Un fait d’arme inventé pour une photographie mise en scène et dont ils n’étaient même pas les protagonistes. Une photographie mise en scène à partir du souvenir d’une image

'OFaits & Documents 1998 ISBN 2-909769-09-l Faits & f)ocuments BP 254 - 09 75424 Paris cedex 09 D OMINIQUE SETZE,PFANDT GUIDE DU PARIS trSoTERIQUE ,f Faits €y Documents 1 998 IL A ÉTÉ TIRÉ DE CE:T oUVRAGE 3 OOO EXEMPLAIRES DONT 3OO SUR BEAU PAPIER NUMÉRorÉs oB r À:oo, LE TOUT CONSTITUANT l'Éotrlox oRIGINALE. SOMMAIRE, DETAILLE Chapitre I : Le l,ouvre palais des rois et temple : solaire ............p.11 La Colonnadc rle Pcrrauh ou les propylfs5 du temp]e soiairc. Lc À.Iulus Liber

manières différentes : la satire et le rire. Zola revient à l'ère florissante des sciences de la nature dans laquelle les chercheurs ont étudié la vie, enregistré ses phénomènes et de plus ils ont fait les essais et codifié les résultats et les commentaires. Ces chercheurs ont rejeté l'imagination et ont maintenu les faits concrets. Les écrivains ont fait la même chose en s’éloignant de l'imagination, de la poésie et s'orientant vers les faits, la nature et l'environnement. De ce point Zola s’intéresse

mille fois. Je suis Peter Stillman. Ce n’est pas mon véritable nom. Mon vrai nom c’est Peter Rabbit. L’hiver je suis M. Blanc, l’été je suis M. Vert. Pensez-en ce que vous voudrez. Je le dis de mon plein gré. Blambe clic craquecrunch touba. C’est beau, n’est-ce pas ? J’invente des mots comme ça tout le temps. On n’y peut rien. Ils sortent de ma bouche tout seuls. On ne peut pas les traduire. Demandez et demandez. Ça ne sert à rien. Mais je vais vous dire. Je ne veux pas que vous soyez triste

comme pour braver tous les ministres présents et passés, on le garnit en ce moment avec des dalles de pierre de taille. Combien de fois, songeant aux bals de Paris abandonnés la veille, et la poitrine appuyée contre ces grands blocs de pierre d’un beau gris tirant sur le bleu, mes regards ont plongé dans la vallée du Doubs ! Au delà, sur la rive gauche, serpentent cinq ou six vallées au fond desquelles l’œil distingue fort bien de petits ruisseaux. Après avoir couru de cascade en cascade on les voit

moindre superflu à son nécessaire. Loin de là. Comme il y a toujours encore plus de misère en bas que de fraternité en haut, tout était donné, pour ainsi dire, avant d’être reçu ; c’était comme de l’eau sur une terre sèche ; il – 17 – avait beau recevoir de l’argent, il n’en avait jamais. Alors il se dépouillait. L’usage étant que les évêques énoncent leurs noms de baptême en tête de leurs mandements et de leurs lettres pastorales, les pauvres gens du pays avaient choisi, avec une sorte d’instinct