Commentaire La Religion Naturelle Rousseau

INTRODUCTION « Conscience ! Conscience ! (…) sans toi, je ne sens rien en moi qui m’élève au-dessus des bêtes, que le triste privilège de m’égarer d’erreurs en erreurs à l’aide d’un entendement sans règle et dune raison sans principe ». Pour J.J. Rousseau, la conscience est une lumière intérieure, un instinct, un don divin qui permet de trouver et d’aimer le Bien, selon la nature : « (…) qui la suit obéit à la nature, et ne craint point de s’égarer ». Nulle lutte, nulle conquête dans cette conception

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thèmes majeurs, maîtriser le vocabulaire, suivre la logique du raisonnement → expliquer une expression, expliquer une articulation logique ÉLÉMENTS DE SYNTHÈSE ET COMMENTAIRE :éléments de synthèses :→ comprendre comment la position théorique de l’auteur est construite→ préciser quelle difficulté le texte cherche à résoudre commentaire :→ reformuler la prise de position défendue dans le texte→ discuter de la position présentéeÉVITER LA PARAPHRASE :ne pas répéter les termes du texte ; méfiez-vous de

Commentaire du texte de Hugo de Groot « Il y a une loi vraie, droite raison, conforme à la nature, diffuse en tous, constante, éternelle, qui appelle à ce que nous devons faire en l’ordonnant, et qui détourne du mal qu’elle défend ; qui cependant, si elle n’ordonne ni défend en vain aux bons, ne change ni par ses ordres, ni par ses défenses les méchants. » (Cicéron, 54 avant Jésus-Christ) Le texte doctrinal que nous devons commenter est un extrait de l’œuvre de Hugo de Groot, De iure belli

Commentaire:19/10/2008 Dans les Pensées, œuvre posthume publiée en 1670, Pascal réunit les notes qu’il destinait à l’élaboration d’une apologie (= justification, défense d’une chose, d’une institution d’une personne) de la religion chrétienne. Exercé en tant que scientifique au maniement de la logique, Pascal a pris conscience lors de sa période mondaine (1651-1654) de l’intérêt de la rhétorique, pour persuader un interlocuteur libertin qu’il voudrait tourner vers Dieu. L’évocation des deux infinis

culture artistique, historique, scientifique, philosophique… Elle s’acquiert en grande partie par la lecture, c’est-à-dire par le contact avec des œuvres et des moyens d’accès aux œuvres (ouvrages de vulgarisation scientifique, manuels, analyses et commentaires d’œuvres…) > Le Ministère de la Culture. Ministère chargé de la promotion des activités artistiques (de la création artistique) et de la mise en valeur en direction de la population du patrimoine artistique et historique (musées, expositions

barbarie, ce qui n’est pas de son usage », Essais, I, 30 —> cf. manuel de littérature pp. 386-387. 1- Lecture et compréhension du texte. 2- Fiche pour le COMMENTAIRE : A- Le commentaire suppose d’abord de se livrer à une étude méthodique (ou lecture analytique) du texte : sa structure, sa progression, ses procédés d’écriture… Ensuite, pour le commentaire, on réorganise les éléments de cette étude pour les présenter de façon synthétique, en ménageant une PROGRESSION. On peut partir de l’observation extérieure

Commentaire de la DDHC de 1789 : « Pour qu’une Constitution soit bonne, il faut qu’elle soit fondée sur les droits de l’homme et qu’elle les protège ; il faut connaître les droits que la justice naturelle accorde à tous les individus, il faut rappeler tous les principes qui doivent former la base de toute espèce de société, et que chaque article de la Constitution puisse être la conséquence d’un principe ». En 1789, durant la Révolution française, Jean Joseph Mounier, député du Dauphiné, obtient

l'absolutisme intégral de Hobbes. L'état de nature de Hobbes est comme une fiction méthodologique (résolutive-compositive) qui correspond à l'état brut des individus, une fois démontée la mécanique de la machine de l'Etat. Comme Hobbes identifie les droits naturel des individus avec leurs passions, l'etat de nature s'identifie avec un état de guerre universelle. Mais la crainte de la mort (une des passions les plus fortes) et la raison (faculté de calculer) fait voir aux hommes les avantages comparatifs de

peut faire penser à une volonté divine. Cependant cette finalité n'intervient pas ici comme un deus ex machina. Kant s'interroge constamment sur les moyens qui permettront concrètement la réalisation de ce dessein et ces moyens sont strictement naturels. Critique possible. Kant retrouve ici une idée fondamentale du libéralisme. « Les vices privés font la vertu publique » disait Mandeville. La concurrence et l'égoïsme des hommes