Commentaire Juridique

le prof. Gerard Cornu dans son vocabulaire Juridique le définit comme « l’ensemble des règles de conduite socialement édictées, et sanctionnées, qui s’imposent aux membres de la société. Ce droit objectif Peut être scindé en plusieurs sous catégories : le droit civil (correspond à l’ensemble des règles juridiques qui régissent les intérêts privés) et le droit de la famille est un sous ensemble du droit civil (il représente l’ensemble des règles juridiques applicables au sein de la famille). Première

signalisation, les panneaux. * Chez le commerçant : l'affichage des prix est obligatoire. Les marques et les logos sont protégés par le droit. * Dans un amphi : les sorties de secours ou les interdictions de fumer sont des signaux du droit. Le juridique est omniprésent. 3) Dans les activités : Le droit se matérialise : Acheter : établir un contrat de vente. Prendre un billet : établir un contrat de transport. Le droit en suspension (potentiellement là) : Griller un feu rouge : commettre

de la vie juridique que la personne est envisagée cad une personne qui est apte à avoir des biens, des droits, et à participer au commerce juridique en exerçant des actes qui affecteront son patrimoine. Cette aptitude à s'insérer dans la vie juridique, à réaliser des actes consiste en ce qu'on appelle la capacité. On ne vise pas seulement les personnes physiques on vise également les groupement <=> la personnalité morale. La personnalité juridique et la capacité

catégories et concepts du droit. Le droit comparé passe par la théorie générale du droit et inversement. d) droit comparé et sociologie juridique idem Le droit comparé se distingue par son objet, ses intérêts propres et sa méthode. Son objet : la comparaison peut se faire à différents niveaux ( on va retenir et comparer différents systèmes juridiques, on peut comparer 2 lois ), la comparaison va s'appuyer sur l'origine, la structure, les sources du droit. Le comparatiste doit comparer des

qu’une oreille distraite. » soit « Trop de Loi, tue la Loi. » C’est une préoccupation tel que dans le principe de sécurité juridique, certains auteurs ont voulu un principe constitutionnel de sécurité: pour un minimum de sécurité juridique. De plus, être citoyen peut nécessiter des décisions à long terme: encore faut-il que l’état tienne parole et assure une sécurité juridique. Notre société est particulièrement inquiète par ce changement constant du législateur. Depuis les années 90, on constate

DU DROIT ROMAIN 1. A. - NÉCESSITÉ D'UNE FORMATION HISTORIQUE. Le droit (+) est en soi un phénomène historique dont on ne peut saisir la signification ni interpréter les règles au moyen d'une approche uniquement logique. L'intelligence d'une norme juridique (+) nécessite la connaissance de son origine et de son évolution. L'issue de cette évolution, la règle aujourd'hui en vigueur, risque sinon d'apparaître le plus souvent comme arbitraire et artificielle. Ces constatations, valables pour toutes les

tout cela doit être clair et précis tant pour le contribuable qu'aux de toute autre personne" Cette qualité, la certitude, se trouve a la base de la notion de "sécurité juridique du contribuable en droit fiscal" objet de cette étude. Ce principe suppose qu'en toute sécurité, le contribuable pourra effectuer des prévisions juridiques sur le fondement des textes fiscaux et pouvoir compte sur ces prévisions. En effet, la sécurité fiscale du contribuable dépend du degré d'application des principes fondamentaux

personnes c'est la pluralité : aussi bien les personnes physiques (nouveau née, personne âgée, ces personnes physiques vont connaître des régimes juridiques différents) que les personnes morales : personne morale de droit privé (société, association, là aussi il y a une variété de personnes morales) ou de droit public. Paragraphe 1:Définition juridique de la personne. I – Les difficultés d'appréhension de la notion. Le petit robert considère comme personne

certaines tribus indiennes le pratique = pas un critère universelle. 2) Les positivismes. Définition : le positivisme juridique est un courant en théorie du droit qui décrit le droit tel qu'il existe dans la société, plus que tel qu'il devrait être. Il s'oppose au jusnaturalisme. Il consiste à rejeter un droit idéal (droit naturel) et à affirmer que seul le droit positif à une valeur juridique. Ex : Kant + J.Rawls → n’ont pas réussi à mettre en place un droit naturel intemporelle = il n’existe pas. De

pas  de  sanctions.  Cette  sanction  ne  sera  que  dans  notre  conscience  et   encore.  Il  n’y  a  pas  de  sanctions  au  terme  juridique.  C’est  une  obligation   sans  sanction.     Son  sens  juridique  :  il  s’agit  d’un  lien  de  droit  entre  deux  personnes  en   vertu  duquel,  l’une  qu’on  appelle  le  Créancier  est  en  droit