Civilisation universelle

homme n’est plus qu’une matière. Prendre le soin du corps d’un homme, de le placer dans une position normée en foncion des société est la preuve que l’homme inutile continue d’avoir une valeur, une importance. Le culte des morts, cette pratique universelle des plus anciennes et religieuses est un acte symbolique. Ainsi, Antigone lorsqu’elle désire ses frères nous rappelle que un des actes considérés comme les plus vils est de laisser un corps de côté. Placer des objets de désir, utiles, les détruire

des recherches de Lewis H. Morgan) (p.10) I. Les stades préhistoriques de la civilisation (p.10) 1. L'Etat sauvage (p.10) 2. La barbarie (p.11) II. La famille (p.13) III. La gens iroquoise (p.41) IV. La gens grecque (p.49) V. Genèse de l'Etat athénien (p.54) VI. La gens et l'Etat à Rome (p.60) VII. La gens chez les Celtes et les Germains (p.66) VIII. La formation de l'Etat chez les Germains (p.73) IX. Barbarie et civilisation (p.79) Notes (p.91) Personnages littéraires et mythologiques (p.94) Edition

moindre mesure en France, avec ce résultat que l’interprétation de cette période capitale est encore majoritairement celle qui s’est formulée il y a plus de cinquante ans, sous deux influences jumelles: la nostalgie pour la grande tradition de la civilisation gréco-romaine, et la ferveur nationaliste attisée par les guerres franco-allemandes. On se rattache a une mythologie antique. Trop souvent, pour les historiens français, la période mérovingienne est celle où, pour la première fois (il y en aura

révolutionnaire des sciences et des arts Développement inégal des superstructures II. LE PROLÉTARIAT, LA CULTURE ET LA SCIENCE Les dessous de la science Genèse de l'« éducation » communiste L'espace du temps libre L'ultime moyen : la concentration Synthèse universelle Dialectique du progrès et de l'aliénation croissants Le prolétariat, classe la plus inculte et la plus féconde La littérature d'aujourd'hui Éloge des prolétaires incultes Le travail capitaliste n'est pas du travail Science, force du capital La science

jésuites au Paraguay. Il est immédiatement précédé par l'épisode des Oreillons, qui est une illustration destructrice d'un mythe cher au XVIII°, celui d'une nature adamique, du "bon sauvage". L'épisode suivant du Surinam où Candide retrouve la civilisation européenne esclavagiste révèle la volonté de Voltaire de retourner au réel et à la lutte. B/ Renversement géographique (ouest/est) fuite --> quête Entre le paradis dérisoire de Westphalie et le paradis tout relatif de la Propontide, l'Eldorado

différence culturelle : 1- universaliste : inspirée des Lumières ; elle voit dans la culture d’un groupe certaines caractéristiques qui nous permettent de localiser le groupe sur l’échelle du progrès (de la sauvagerie, à la barbarie puis à la civilisation). Cette conception peut s’accommoder du colonialisme et du racisme ; afin d’apporter la culture aux peuples inférieures et leur permettre d’entrer dans la modernité ; (éliminer les langues patois, cultures sauvages, etc.) 2- relativiste :

vie , les normes et les valeurs e biais de norme biens et de modèles de référence communs. Les échanges culturels se produisent depuis fort longtemps ( par exemple la diffusion des religions « universelles ») . ce qui serait nouveau , en revanche , c’est le fait que désormais , aucune civilisation , aucune société au delà d’une taille minimale ne constitue un monde a part entiere se suffisant a lui-même .Si l’on pousse le raisonnement à la limite. l’homme mondialisé aurait , à l’instar de

barbare ». Ils refusaient de reconnaître la diversité des autres cultures, l'appartenance des étrangers à des sociétés autres et en même temps l'identité propre de ces cultures, de ces sociétés et des individus qui les composent. De même, dans la civilisation occidentale, des siècles plus tard, tout ce qui n’était pas européen était « sauvage ». Dans Race et Histoire (1952) de Lévi-Strauss, ce dernier revient sur la signification des termes « barbare » et « sauvage » rappelant leurs connotations péjoratives

ique. A première vue, la sublimation est  le destin que la culture réserve aux pulsions. La culture est donc bien ici tempérance du  bonheur que l'on peut éprouver à travers les pulsions.   Freud conclut ce chapitre en insistant sur le côté non universel de la manière de chercher le  bonheur : « chacun doit chercher lui même de quelle façon il peut trouver la félicité » (p 99).  Ainsi, il discrédite la religion car « elle impose à tous la même manière d'acquérir le bonheur  et de se protéger contre la souffrance » (p 100)

développer sa connaissance, élargir sa culture et approfondir sa réflexion. Les différents cycles sont pluridisciplinaires ou spécialisés. Ils traitent des thèmes touchant aux disciplines : archéologie, art (peinture, sculpture, architecture, musique…), civilisation, histoire, littérature, philosophie, sciences humaines. Chaque cycle comprend une séance de 2 heures hebdomadaires, sur 25 semaines, hors vacances scolaires. L’enseignement est assuré dans les locaux de l’Université (centre ville). La formation