Civilisation universelle

cultures non seulement à l’échelle des grands ensembles, mais aussi au niveau national et même local. Quand elle atteint un grand degré de particularisme et d’importance, on parle alors sans distinction de culture ou de civilisation telle que la civilisation occidentale ou la civilisation musulmane etc. Cette diversité et ces particularismes ne vont-t-ils pas en s’exacerbant aboutir à des dangereuses tensions et conflits et à ce qu’on appelle le choc des cultures ? N’a-t-il pas conduit au racisme, à l’exclusion

et explication des mythes/ ensemble des mythes propres à une civilisation, un peuple, une religion, un thème/ recueil de récits mythiques/Ensemble des croyances, des idées qui se rapportent à un même personnage ou à un même groupe ou aux mêmes aspirations collectives.   Mythe : récit fabuleux transmis par la tradition. Contrairement à la légende qui a une portée limitée, le mythe a pour vocation de proposer une signification universelle. Le mot vient du grec « muthos » qui signifie parole, récit

déclaration universelle des droits de l’homme : « Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits, ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité ». Selon J.ATTALI dans « fraternité, une nouvelle utopie » (1999 – ed. Bayard) :  « On peut essayer de définir la fraternité comme un ordre social dans lequel chacun aimerait l’autre comme son propre frère […] la fraternité est un but de civilisation, pas un état

contexte social, il n'en reste pas moins que le sens de l'idéal classique perdure jusqu'à nos jours. Si les modèles varient et s'enrichissent en permanence de la diversification des connaissances, l'idée d'une culture générale à vocation universelle, comme enrichissement personnel et souci de l'autre, demeure une exigence. L'homme cultivé exerce toujours ses facultés au contact assidu des œuvres et des savoirs. III- Toutes les cultures se valent-elles? « Civiliser, c'est imposer des coutumes

« Chacun appelle barbarie ce qui n'est pas de son usage » Montaigne Essais (fin 16ème siècle) Barbarie : Cruauté, inhumanité, brutalité, absence de civilisation, sadisme, sauvagerie, manque de culture, grossièreté Pour les Grecs, les barbares, sans nécessairement de connotation péjorative, étaient les peuples étrangers à l'Empire. Le terme barbarie a ensuite longtemps désigné une contrée étrangère mal définie (peuples étrangers dont on ne comprend pas les coutumes)Pas de son usage : différent

l’homme n’est seulement un ê de culture. I- Non Dans une certaine mesure nous ne pouvons pas dire que l’homme est un être de culture car il possède un état animal : «  l’agencement mécanique de son existence animale » Kant idée du’ne histoire universelle du poin de vue cosmopolitique, proposition 3.En effet, l’homme a une face biologique ce qui renvoie aux caractères transmis de générations en générations. De plus l’homme n’est pas un homme de culture en premier lieu car son état primitif est celui

intrinsèquement motivé par la culture - la culture civile de l’ouest. Similaire de la démocratie, le féminisme surgit parce que les gens de l’ouest sont plus actifs, rebelles et indépendants. Je ne suis pas d’accord. À mon avis, le féminisme est un processus universel. Bien que les cultures différentes répondent au féminisme dans les manières différentes, le féminisme surgira certainement en fin. Le féminisme n’est pas de phénomène culturel. Premièrement, je voudrais discuter de l’origine de féminisme. Le féminisme

En utilisant le thème de l'ethnologie traditionnelle l'auteur cherche à décrire les mécanismes de la pensée en tant qu'attribut universel de l'esprit humain. Pour lui, la pensée sauvage est présente en tout homme tant qu'elle n'a pas été cultivée et domestiquée à « fins de rendement ». Par l'utilisation de l'idée de rendement, il met en opposition l'utilité immédiate de la science et des connaissances dont a besoin le primitif pour survivre, avec une forme de pensée adaptée aux besoins sociaux ou

L’art de soigner est universel c’est un denominateur commun a toutes les sociétés humaines A un stade precoce, au tout debut de l’histoire, la medecine se pratique tjs dans un contexte magico-religieu d’où sa precarité . La medecine n’est pas une science ni un art . Ce n’est que lorsque la medecine s’affranchie de la religion qu’une pensée medicale organisée peut se construire (Hippocrate) . Les civilisations que nous allons evoquées sont toutes placées sous le signe de ce lien entre religion

ethnologues, tel Robert Jaulin (1928-1996), ont certes critiqué cette perspective car elle se fonderait sur un européocentrisme en retrouvant, par-delà la diversité apparente, voire illusoire, des cultures, la même origine: les structures d'un inconscient universel. Mais on ne peut nier que l'œuvre de Lévi-Strauss a exercé une influence considérable sur la conception contemporaine de l'être humain et a ouvert des perspectives à un nouvel humanisme. Race et histoire est, après sa thèse sur Les Structures élémentaires