Cithare

Cybèle (la Bérécynthienne ). La « flûte au pavillon coudé » est un instrument local. Page 351 "le son de la cithare"  : Les mots lyre et cithare sont souvent employés comme synonymes. Il semble cependant que la caisse de résonance de la cithare ait été plus grande et de forme rectangulaire. "les Ménades"  : Étymologiquement, "les Folles", c'est-à-dire

été retrouvées dans le cimetière du Céramique, à Athènes ; elles remontent à 735–720 av. J.-C. Par la suite, le travail de l'ivoire s'éloigne du modèle oriental ; les statuettes sont agrémentées de métaux précieux. Ainsi d'un danseur, élément d'une cithare d'apparat, retrouvé à Samos dans le sanctuaire d'Héra, datant du début du viie siècle av. J.-C. Le métal : du bronze à l'argent[modifier] Aurige de Delphes, détail, v. 478 ou 474 av. J.-C., musée de Delphes Après la technique chryséléphantine

bec contrebasse de 2 m de haut. XVIIIe SIÈCLE : LA MUSIQUE DES LUMIÈRES Cet espace retrace l’évolution de la vie musicale au siècle des Lumières. Une sélection d’instruments originaux évoque le salon: une délicate harpe ornée de chinoiseries, une cithare sur table appelée tympanon, une paire de cymbales frappées aux armes du Duc de Richelieu… Époque marquée, le XVIIIe siècle connaît une vogue éphémère pour les musiques pastorales, et ses musettes et vielles à roue jouées par d’aristocrates bergères

dans la politique sans y avoir réfléchi puisqu’il ne connait aucune technique en politique. Il croit être apte à diriger un État en les éclairant sur les éléments qu’il maîtrise bien, ces éléments se résument « à lire et à écrire, à toucher de la cithare et à lutter […] ». Étant donné ces capacités très limitée, Alcibiade ne sera point apte à bien se débrouiller dans un débat politique, c’est pourquoi il opte pour des discours orientés sur des affaires de politique générale. Dans le texte, Alcibiade

témoignerait de la Vérité sur le mode poétique L'harmonie est dans le sujet de la fresque, elle émane du dieu Apollon au centre qui joue du violon entouré des neufs Muses La trompette de Calliope fait allusion à la renommée des poètes tandis que la cithare suggère par ses sept cordes l'harmonie des planètes Par le nombre parfait de dix qu'ellles forment avec Apollon, les Muses expriment aussi l'harmonie universelle telle que l'a découverte Pythagore LES VERTUS COURAGE - PRUDENCE – TEMPERANCE

école publique n'existait de son temps), où il apprit à lire, écrire et calculer poésie grecque par coeur, surtout les oeuvres d'Homère, considéré par les Grecs comme l'éducateur par excellence apprit aussi à chanter et à jouer de la cithare fréquentait aussi le gymnase pour des exercices physiques rencontre avec Socrate. À l'âge de vingt ans, le jeune et riche aristocrate devint le disciple le plus fidèle de Socrate, fils d'un tailleur de pierre et d'une sage-femme condamné

d’obtenir la santé. La promenade est ici un moyen en vue d’une fin, la santé. Or l'art n'est pas un moyen. Il n'a de finalité ni utilitaire, ni morale. L'art est une fin en soi, qui se suffit à elle-même : on ne joue pas de la cithare pour une autre fin que de jouer de la cithare. La beauté est seulement belle et non bonne à quelque chose.

Cf. Aristote Quel est le vrai bien ? La satisfaction de soi même. Aristote va chercher ce qui est le propre de l’homme pour essayer de trouver une définition universelle du bonheur. Ex. du cithariste •sa fonction propre est de jouer de la cithare •son bonheur est de bien jouer Pour être heureux il faut savoir reconnaitre la qualité de notre action. Pour Aristote : vie raisonnable (= être satisfait de soi même en permanence) et vertueuse (fuir des choses de la manière la plus moral qu’il

délices. La nature n'en demande pas davantage : s'il n'y a point dans nos demeures des statues d'or, éphèbes tenant dans leur main droite des flambeaux allumés pour l'orgie nocturne ; si notre maison ne brille pas d'argent et n'éclate pas d'or; si les cithares ne résonnent pas entre les lambris dorés des grandes salles, du moins nous suffit-il, amis étendus sur un tendre gazon, au bord d'une eau courante, à l'ombre d'un grand arbre, de pouvoir à peu de frais réjouir notre corps surtout quand le temps sourit

qu'est-ce que l'imitation selon Aristote? Maman : Si je me souviens bien selon Aristote tous les arts sont des imitations. Par exemple, à cette époque, on parlait de poésie tragique, de comédie, d'épopée, de dithyrambe, du jeu la flûte et de la cithare. Papa : Si je me souviens bien on pouvait les distinguer de trois manières différentes : ce qui est imité, avec quoi on imitait et la manière dont on imitait. Maxime : Ah! C'est ça "l'objet", "le moyen" et "la manière"! Je me souviens aussi que