Cithare

concours sportifs, des concours musicaux étaient organisés à Delphes. Il s’agissait de chants accompagnés à la cithare (sorte de lyre), de solos de flûte ou encore de chants accompagnés par la flûte. Musique et chant continuèrent d’être au programme même après l’intégration des concours sportifs. Il y avait même des concours de poésie et de théâtre. un JOueur de dOubLe fLûte / un JOueur de cIthAre © Le Musée Olympique, 2e édition 2007 11 Les Jeux Olympiques de l’Antiquité Les récompenses

chargé de donner la tonalité générale de la scène. Les mélodies évoquent ainsi la saison, le temps ou font référence à d'autres thèmes célèbres. Les instruments les plus utilisés pour ce faire sont des flûtes, en particulier le shakuhachi, le koto (cithare) et surtout une vaste gamme de percussions. Comment ça marche ? : Parlons du mécanisme des marionnettes ! Les marionnettes sont à la fois hautes et lourdes, elles mesures généralement de 1,20 m à 1,50 m ! La tête des marionnettes est vide

« Moussiqui » et ensuite « Moussiquiya »: « musique » - « tambour » du persan « tanbur » , de l arabe « tabl » (qui donne aussi « timbale ») - « guitare » de « qitar » voulant dire guitare, harpe, lyre, lui-même emprunté au grec « kithara », cithare. 6) Les vêtements - « jupe » de « jubba » qui signifie veste du dessous - « mousseline » de « al mawsil », venant de Mossoul - « mohair » de « muhyyar » signifiant choisi, selectionné - « gilet » du maghrebin «  jalika », du turc « yelek »

profita pour passer au moment où les rochers revenaient au repos. - Pendant le voyage de retour, l'Argo passa sans dommage entre le monstre à six têtes Scylla et le tourbillon Charybde. -Les sirènes envoûtantes vaincues grâce à Orphée et sa cithare, qui opposent un chant si beau que celui des dangereuses créatures reste sans effet. ----------------------- Sénèque : Médée LE VOYAGE DES ARGONAUTES

grave (dextra) et l'autre aigue (sarrana). Le ton des flûtes correspondait au rôle des acteurs. Au fil du temps, la musique croît en importance, de telle manière que sous l'Empire, de nouveaux instruments vont accompagner le théâtre : syrinx, lyre, cithare, trompette, orgue... Les pièces favorites des spectateurs du théâtre ne varient presque pas du IVème siècle avant J-C au IVème après J-C (fables mythologiques, danses...) Le spectateur veut du sensationnel : les techniques utilisées, comme la machinerie

en Colchide, sa toison d’or est clouée sur un arbre et sera le but de la quête de Jason et des argonautes. LE BELIER annonçait le printemps quand le soleil se levait devant lui il y 2000 ans.   LE DAUPHIN ARION célèbre chanteur et joueur de cithare revient à Corinthe après une tournée en Sicile ou il a été couvert d’or. Les marins du navire qui le ramène veulent s’emparer de cet or et le jette par-dessus bord. Il est sauvé par un DAUPHIN qui le dépose en Laconie au cap Ténare où peu après le

sentiments du locuteur mais cherchant à toucher l'autre, le lyrisme ne doit pas être dissocié complètement de la poésie engagée ou épique aux buts plus extérieurs. Lyrisme : expression poétique au-delà de l'expression de l'intime Muse accordant deux cithares. Coupe attique par le peintre d'Hésiode, vers 470-460 av. J.-C. Le lyrisme, plus large et plus profond, dépasse le sentimentalisme et l'effusion pour s'appliquer à une fonction plus fondamentale du poète, celle du maître du verbe. Le lyrisme serait

Demodocos -Un aède à Ithaque du nom de Phémios. Un aède est un chanteur et un poète qui composait et récitait des poèmes épiques en allant de ville en ville. Il chantait auprès des princes pendant cérémonie en s’accompagnant d’une cithare (Phorminx) ou la lyre. Homère aurait pu être le contemporain d’un autre poète du nom d’Hésiode, sur la fin de sa vie. Hésiode a imité l’œuvre d’Homère. La tradition représente Homère sous les traits d’un vieillard aveugle (cela signifie que le

Kâli décapitée : cette nouvelle est « orientale » étant donné que Kâli est une déesse indienne et car il y a la présence d’un sage. • La fin de Marko Kraliévitch : est « orientale » car elle provient d’une ballade serbe et il est évoqué « le cithare », « les Turcs », « la ville blanche aux courettes étroites », … • La tristesse de Cornélius Berg : n’est pas orientale sauf pour les deux brèves allusions à l’Asie. c) L’ensemble du recueil donne une image positive de l’Orient, il montre

ami du marié. La fiancée portait un gril et un tamis, symboles de sa prochaine activité domestique. Le char avançait lentement, et parents et amis le suivaient à pied, à la lueur des flambeaux, aux accents du chant d'hyménée, avec accompagnement de cithare et de hautbois; la mère de la fiancée tenait elle-même une torche. A l'entrée de la maison du mari se trouvaient son père et sa mère, celui-là couronné de myrte, celle-ci tenant une torche. On répandait sur la fiancée des noix et des figues sèches