Chateaubriand Le Génie De Christianisme

double culture (père païen / mère convertie au christianisme) les parents l’envoie à Rome puis à Milan promis à une riche carrière / il embrasse le scepticisme 32 ans choc philosophique et émotionnel => devient chrétien=>LA VÉRITÉ DU MOI la cité de Dieu 14 ans après le traité • Il y a une chose sur laquelle je ne peux pas me tromper c’est que je suis (contexte: Rome était presque submerger par les attaques et beaucoup dénonce le christianisme comme la cause ) • À travers son livre il défend

Séville, Le Mariage de Figaro Influence européenne  (britannique/allemande) importance de la Révolution, l’artiste change (mission sociale d’éduquer le peuple) Autobiographie : Châteaubriand, figure de proue de la littérature, René (1er personnage romantique français), Le Génie du christianisme, (défend le christianisme) Romantisme  prône liberté, la métaphysique (spiritualité, rêves, idées, au-delà de la physique), beaucoup de lyrisme (sentiment + poésie) et implication politique Thèmes (MERCII) :

conditionnée par ses expériences de pensionnat. Mais il faudrait ajouter que ces expériences ont elles mêmes un retentissement très personnel sur cet esprit mystique du fait des origines de l’enfant. Cette jeune paysanne qui lit Le Génie du Christianisme de Chateaubriand et y découvre le sentiment romantique de la nature, ne peut idéaliser ce qu’elle connaît fort bien : la campagne, aussi reportera-t-elle son lyrisme sur des paysages inconnus : la mer tempétueuse ou les ruines. Ainsi Flaubert veut-il

sous le nom de Les nuits ). Texte sur papier. Première parution 1742 cette œuvre est une attaque contre le rationalisme et le scepticisme qui caractérise les philosophes du 18eme et c’est une défense de la religion chrétienne ( en particulier du christianisme) son œuvre développe ses idées, les pensée nocturnes sont dans un cadre particulier : la nuit, la lune et aussi le tombeau de sa fille. Si bien que c’est lui qui inaugure toute la littérature, cette forme de méditation dans un cimetière sous la

restaurations offrent de très riche flux de mémoire collective et il va dire « Chateaubriand, mieux que quiconque, a su décrire, un brin amer, une Restauration nécrophile, inlassable ordonnatrice d’exhumation et de pompe funèbres ». Le 9 janvier 1816, la chambre des pairs se réunit et Chateaubriand va se prononcer sur l’opinion de la résolution de la chambre des députés relative au deuil général du 21 janvier. Chateaubriand a vécu 1768 à 1848 et c’est un vicomte. Sa place sociale lui permet de

Arabes 418-7813, édité aux éditions Ehess en 1979, Les Origines du christianisme, 30-451 (Hachette, 2007), Fulbert, précurseur de l’Europe médiévale ? (éd. P.U.P.S, 2008), Les Empires universels (1998), Les Racines de l'Europe (2003), Les Origines du christianisme (2007). Récipiendaire de plusieurs prix comme le Premier Grand Prix Gobert d'histoire de l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres en 1980 ainsi que le Grand Prix Chateaubriand pour son ouvrage sur Clovis. A noter notamment que Michel Rouche

prendrons pour appui le texte de Châteaubriand avec Mémoires d’outre-tombe : dans ses mémoires, Châteaubriand met en avant sa vie dans le futur, ses mémoires servent à le glorifier : d’abord l’allusion à Horatius le range dans la catégorie des héros romains, et avec Gesril le texte présente une parodie épique de Roland et Olivier dans la chanson de Roland ; puis le déguisement en évêque indique que Châteaubriand jouera un rôle religieux avec le Génie du Christianisme, et enfin «dans son éclat et dans

républicains et les prêtres ne sont plus élus par le peuple mais désignés par le gouvernement et approuvés par le Pape. Cette période est marquée par le retour du sentiment catholique dans la population, aidé par Du génie du christianisme, de Chateaubriand, qui fait l‘éloge du christianisme. Le retour de la religion est encore confirmé à l’occasion du couronnement de Napoléon. Bien que le Pape Pie VII ne fasse que donner sa bénédiction à l’empereur, il reçoit un accueil triomphal à son arrivée à Paris

qui reste du mythe romantique est le désillusionnement causé par l’impossibilité de faire coexister un élan irrépressible vers l’absolu et une réalité qui est forcément limitée. Chateaubriand, représentant majeur de son époque, avait déjà pris conscience de l’impossibilité de cette ambition dans Le génie du Christianisme (1802), là où il décrit le vague des passions : Il reste à parler d’un état d’âme, qui, ce nous semble, n’a pas encore été bien observé ; c’est celui qui précède le développement

et religieuses après avoir été élu à l’Académie française en 1829[4]. En 1830, il entre en politique et se rallie à la Monarchie de juillet mais échoue à la députation. Il voyage alors en Orient visite la Grèce, le Liban et les lieux saints du christianisme. En 1833, il est élu député et le restera jusqu'en 1851 : il évolue du royalisme au républicanisme et prononce des discours remarqués et joue un rôle important au moment de la Révolution de 1848 mais il se retire de la politique après sa lourde