Chateau Du Diable

pièce présentée à la Comédie-Française connaît un énorme succès. Il signe des grandes fresques historiques telles Les Trois Mousquetaires ou Le Comte de Monte-Cristo en 1844. La même année, Dumas achète un terrain à Port-Marly et fait bâtir le « château de Monte-Cristo », une bâtisse de style composite, à la fois Renaissance, baroque et gothique. En 1846, il fait construire son propre théâtre à Paris, boulevard du Temple, qu'il nomme « Théâtre-Historique ». Le théâtre est inauguré en 1847 et accueille

JULES VERNE Château des Carpathes Publié trente ans environ après son premier roman, Jules Verne nous offre dans le cadre du Château des Carpathes un nouveau type de récit, alliant encore une fois science et fantastique. Renouvelant le genre du roman gothique traditionnel (datant de la fin du XVIII° siècle), il nous offre un récit reposant avant tout sur la dialectique du développement des progrès scientifique et technique face à la survivance de nombreuses croyances et mythes issus du fond des

du monde terrestre par le Diable. Seuls pour eux était valable le Nouveau Testament qui annonçait le « Royaume de Dieu » par la voix de Jésus-Christ. Cependant, le Christ pour eux, n’était pas Dieu fait homme ni même n’avait de nature humaine, cette nature étant mauvaise. De même, ils pensaient que s’il était Dieu, Jésus-Christ n’aurait pu être crucifié. Jésus-Christ était donc pour eux comme une sorte d’ange sans aspect humain, c’étaient les hommes qui étaient des diables dans une enveloppe charnelle

terrifiant que les diables, m’a-t-elle dit pour se garder d’eux il faut bien vite sur soi faire le signe de la croix. Me voilà averti, mais je n’entends pas de cette oreille ; se signe qui voudra ; moi je vais choisir le plus fort d’entre eux et le férir (frapper) d’un de mes javelots. »[3]. Les gens qu’il rencontre sont des chevaliers. Quand il voit ces chevaliers il s’écrie « Ah, Sire Dieu pardon : ce sont des anges que je vois là. Quel péché est le mien ! Moi qui les ai appelés des diables » [4] Le

qu'ils le disent, ne serait-il pas venu dans la tête des princes d'Europe, qui font entre eux tant de conventions inutiles, d'en faire une générale en faveur de la miséricorde et de la pitié. Candide , incipit : Il y avait en Westphalie, dans le château de M. le baron de Thunder-ten-tronckh, un jeune garçon à qui la nature avait donné les mœurs les plus douces. Sa physionomie annonçait son âme. Il avait le jugement assez droit, avec l'esprit le plus simple ; c'est, je crois, pour cette raison qu'on

auteur français. De nombreux films et pièces de théâtre on étaient réalisés à partir de cette oeuvre qui était publiée en1908. 2) Résumé du récit M et Mlle.Strangerson sont dʼorigine américaine à Philadelphie. Ils déménagent en France et habitent le château du glandier. Le 23 Octobre ils se rendent à lʼÉlysée en lʼhonneur de la réception des délégués de lʼacadémie des sciences de Philadelphie et aussi car le professeur strangerson avait fait la découverte dʼune extraordinaire théorie : la dissociation

né le 5 août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques et mort le 6 juillet 1893 à Paris. Wikipedia Naissance : 5 août 1850, DieppeDécès : 6 juillet 1893, PassyLivre : Bel-AmiFilms : Bel-Ami, Masculin féminin, Une femme coquette, Bel Ami, Trois femmesParents : Laure Le Poittevin, Gustave de MaupassantFrères et sœurs : Hervé de Maupassant | Henry-René-Albert-Guy de Maupassant (prononcé [gi d(ə) mo.pa.ˈsɑ̃]), est un écrivain français né le5 août 1850 au château de Miromesnil à Tourville-sur-Arques1 (Seine-Inférieure)

Le roi Mystère, 1908 Le fauteuil hanté, 1910 Le Fantome de l'Opéra, 1910 La reine de Sabbat, 1910 Chéri-bibi, 1911 Balaoo, 1912 Rouletabille chez le Tsar, 1912 Les cages flottantes (Chéri-bibi), 1913 Chéri-bibi et Cécily, 1913 Le château noir, 1913 Les merveilleuses aventures de Carolus Herbert, 1914 L'épouse du soleil, 1915 Rouletabille à la guerre, 1916 L'homme qui revient de loin, 1917 Les étranges noces de Rouletabille, 1918 Rouletabille chez Krupp, 1920 Aventures

difficilement en bégayant, « Il semblait stupide  parlait en bégayant »(l.37). Quant à son physique, il n'est pas plus avantageux. C'est un grand maigrelet, crasseux, doté de surcroît d'une chevelure rousse qui est la couleur du feu, symbole du diable dans la littérature du 19ème siècle. Zidore est donc considéré par un champ lexical de la stupidité et de la laideur. La figure de style ici employée « C'était un maigre enfant, haut sur jambes, très sale, coiffé de cheveux roux, épais, durs et hérissés

qu’elle était décédée depuis deux ans, après un bal. Théodore comprit alors qu’il ne rencontrerait plus jamais le bonheur sur terre. Le portrait ovale : C’est l'histoire d'un homme blessé et de son domestique qui s'installent pour une nuit dans un château étrange et abandonné. La nuit, alors que le maitre ne trouve pas le sommeil, il contemple les tableaux exposés dans sa chambre. Un surtout l'intrigue : le portrait d'une jeune femme. Elle paraît vivante. L'homme lit l'analyse de ce portrait dans un