Cas Vivendi Universal

UNE INTRODUCTION DE SENSIBILISATION : NOTAMMENT LE DROIT FISCAL, LE DROIT INTERNATIONAL DES AFFAIRES, LE DROIT DE LA PROPRIETE INTELLECTUELLE, LE DROIT DES NOUVELLES TECHNOLOGIES ET LE DROIT PENAL DES AFFAIRES, AUXQUELS LES ETUDIANTS SE REFERERONT EN CAS DE VOLONTE D’APPROFONDISSEMENT (CES MATIERES SERONT ABORDEES DU SEMESTRE SIX AU SEMESTRE NEUF). DE MEME, L’INCLUSION DE LA FRANCE DANS L’UNION EUROPEENNE, IMPLIQUE QUE SOIT CONSTAMMENT CONSIDERE LE DOMAINE NAISSANT DU CORPUS JURIS COMMUNAUTAIRE (ABORDE

fur et à mesure qu’ils la connaissent mieux et l’apprécient plus. C‘est ainsi que les clients des sociétés d’assurance peuvent souvent être amenés, dans les années qui suivent la souscription de leur premier contrat, à en souscrire d’autres. Dans les cas de ce genre, la rentabilité des clients fidèles s’accroît au fil du temps. - les clients fidèles d’une banque sont pour elle un gage de stabilité, en ce sens que le chiffre d’affaires qu’ils génèrent est moins fluctuant que celui provenant des

Equilibre_________________________________________________ B. Prévisions de trésorerie_____________________________________ 14 14 16 Section 2 Organisation comptable de la trésorerie (cas de l’ ONCF) _______________ 19 Paragraphe 1/ Principe de comptabilisation des opérations de trésorerie____ A. Cas des retraits____________________________________________ B. Cas des dépôts____________________________________________ Paragraphe 2/ Journaux auxiliaires___________________________________ A. Tenue des journaux auxiliaires_______________________________

Equilibre_________________________________________________ 14 B. Prévisions de trésorerie_____________________________________ 16 Section 2 Organisation comptable de la trésorerie (cas de l’ ONCF) _______________ 19 Paragraphe 1/ Principe de comptabilisation des opérations de trésorerie____ 19 A. Cas des retraits____________________________________________ 19 B. Cas des dépôts____________________________________________ 19 Paragraphe 2/ Journaux auxiliaires___________________________________ 19 A. Tenue

fidélisation « négative »…………………………………………………………………………………………….11 1.2.2.1 La clause de non-concurrence…………………………………………………………………………………….12 1.2.2.2 Les clauses défensives………………………………………………………………………………………………..12 1.2.2.3 Les clauses de stabilité d’emploi12 1.3 Cas de Yahoo………………………………………………………………………………………………………………………12 1.4 La politique de fidélisation………………………………………………………………………………………………….13 1.4.1 Présentation de SFS………………………………………………………………………………………………………….13 1.4.2 Indicateurs………………………………………………………………………………………………………………………

l'admission se fait comme pour Admission en M2. La durée du programme est de 1 an. Admission en M1. La durée du programme est de 2 ans. les Bac+4/5, directement en MBA 2e année. • Pour les assimilés cadres, l'admission se fait soit Dans ces 2 cas, les programmes sont dispensés en alternance école entreprises. Les périodes de cours et celles en entreprise sont précisées pour chaque MBA. Les sessions commencent, selon la spécialisation, en octobre/novembre ou en janvier/février. Pour certains

Le besoin de financement d’exploitation 232 2 Estimation bilantielle 233 3 Caractéristiques du BFE 235 Dynamisation de l’analyse du BFE 246 1 Homogénéisation des flux 247 2 Tableau synthétique 248 3 Cas limite d’une ressource de financement 252 L’équilibre financier fonctionnel et la trésorerie Section 1 VI 216 La dynamique du cycle d’exploitation Section 1 7 Rentabilité financière et levier financier La relation fondamentale

soutenir et financer l'effort de modernisation. L'argument qui vaut pour les houillères, dispersées et vétustes, s'étend aux secteurs de pointe comme l'aéronautique pour laquelle l'ampleur des investissements dépasserait les moyens du privé. Dans le cas de l'électricité, où la concentration était déjà bien entamée avant 1939, on insiste sur l'indispensable harmonisation du réseau, la nécessité de lancer un vaste programme hydroélectrique et l'idée que l'organisation du secteur débouchera sur un monopole

concentrés, seuls les dirigeants pouvaient voir venir les crises. Dans les années 1980, en Angleterre, le groupe Maxwell, endetté vivant sur les sommes qu’il devait verser sur les retraites et les salaires s’est écroulé. Dans les 2000, les crises Vivendi Universal, Enron, Wordcom, et la crise des supprimes a mis en cause le système des contres pouvoirs prévu par la loi de 1966. Le contrôle effectif exercé est apparu insatisfaisant tant au regard la prévention interne (1). La théorie moderne du gouvernement

surveille les assureurs, la dernière surveille les marchés depuis Paris. Ces autorités ont tout d’abord un rôle de proposition concernant des normes techniques européennes, elles assurent ensuite une médiation entre les régulateurs nationaux en cas de désaccord, en cas d’échec de la médiation ce sont elles qui tranchent. Elles peuvent enfin interdire temporairement les activités à risques. La dérèglementation : source de la crise actuelle Avant 1985, toute l’activité financière paraissait un peu sclérosée