Cas Pratique Les Déficits Des Finances Publiques

« Quelques chiffres : FRANCE  PIB : 2000 milliards € en 2009 Croissance : - 2,7% (récession) Déficit budgétaire France : 100 milliards € Traité de Maastricht => traité d’Amsterdam : il ne faut pas dépasser 3% du PIB en déficit budgétaire. Dette de l’état français (ne doit pas dépasser 60% du PIB) : 1300 milliards € Les emprunts se font auprès de la population ou des pays étrangers (Chine). Déficit commercial français qui se creuse depuis 2004 : 50 milliards € Le montant des intérêts pour les

loi de finances fait l’objet d’une préparation, d’une exécution et d’un contrôle au titre de chaque exercice budgétaire. L’exécution du budget de l’ Etat nécessite un acte d’autorisation et un acte de prévision préalable. En effet, toute exécution budgétaire doit être prévue et autorisée en vertu de la loi de finances de l’année budgétaire. Le budget de l’Etat se décompose en recettes publiques et en dépenses publiques tant en respectant le principe de l’équilibre général de la loi de finances. Les

de l'exposé Introduction I- Des théories dépassées … A- Une finance théoriquement vertueuse : la thèse libérale … B- … mais une intervention extérieure semble nécessaire II- … face à la globalisation financière A- Des acteurs nombreux aux intérêts divergents B- Le manque de contrôle extérieur Conclusion Notes et références Bibliographie {text:soft-page-break} Sujet : « Peut-on réguler la finance mondiale ? » Comme l'affirme Fréderic Lordon, directeur de recherche

Finances publiques : Introduction Chapitre 1 Section 1 : La question de la dette et du déficit : nos finances publiques face à la crise I - Quelle est la situation de nos finances publiques avant la crise (en 2008) ? A) Le déficit public En 2008, notre situation est relativement dégradée. Notre déficit (solde budgétaire = recettes – dépenses, qui peut être positif, égal à zéro ou négatif) est d’environ 66 milliards, soit 3,4 % du PIB. Il est causé par deux facteurs : Les dépenses

Les entreprises licencient 2 L’accroissement de la dette publique Déficit public : situation dans laquelle les dépenses engagées par l’ensemble des pouvoirs publics sont supérieurs à leurs recettes. Déficit public = Recette – Dépenses de l’Etat Dépenses ≥ Recettes dons le solde est négatif. Dette publique : montant des sommes empruntées qui doivent être remboursées Déficit public L’écart entre dépenses et recettes peut se financer de 2 façons Emprunt

emplois-ressources, Etat, les fonctions économiques de l’Etat (fonction d’allocation, fonction de répartition, fonction de stabilisation budget de l’Etat), coûts de production, productivité, prélèvements obligatoires, dépenses publiques, déficit public, dette publique, incidence fiscale, pouvoir d’achat, Objectifs : - être capable de définir : Demande globale, inflation, (instrument de mesure et différentes formes d’inflation), chômage (BIT et pôle emploi), taux de chômage, déséquilibre extérieur

politiques visant à renforcer ou à sauvegarder la concurrence ;les politiques visant à modifier les règles du jeu sur les marchés des facteurs de production : marché du travail, marché financier ;les politiques visant à la création d'infrastructures publiques ;les politiques destinées à dynamiser la recherche. Les détails de la réforme de la Caisse de Compensation CHERTÉ. Un projet de réforme de la Caisse de Compensation a été finalisé par les départements ministériels concernés par la question

documents du manuel 1. Capacité et besoin de financement A. Des exemples de financement des ménages Cas pratiques et document 1 (p. 23) 1. Cas n° 1 : pourquoi peut-on dire que, pour acheter son appartement, Aurélie aura un besoin de financement ? L’appartement coûte 100 000 euros et Aurélie dispose d’une épargne de 10 000 euros. Elle aura donc besoin d’un financement de 90 000 euros. 2. Cas n° 2 : pourquoi peut-on affirmer que M. et Mme Le Calvé ont une capacité de financement ? Les salaires

macroéconomiques Chapitre 8 : Le rôle économique des pouvoirs publics. Notions : équilibres macroéconomiques et déséquilibres, fonctions économiques de l'État (allocation, répartition, stabilisation), prélèvements obligatoires, dépenses publiques, déficit public et dettes publiques. équilibre emplois/ressources, demande globale, inflation, chômage, déséquilibre extérieur, politiques budgétaire, politique monétaire . Ce que dit le programme en fonction du plan choisi : I -A Indications complémentaires :

moyenne de revenus) et non sur un revenu transitoire, éventuellement augmenté par l’action des pouvoirs publics. Les politiques de stimulation de l’investissement, elles, génèrent l’inflation . Pour LAFFER, le revers des politiques de dépenses publiques est l’augmentation des impôts, ce qui a trois conséquences : • Soit elle dissuade l’activité économique (à quoi sert de travailler si les impôts imputent trop les revenus ?) • Soit elle provoque des départs vers des régions plus avantageuses