Cas Pratique Concubinage Pacs

contient : Le droit patrimonial de la famille : règles relatives aux bien droit des régimes matrimoniaux, des successions, des libéralités Le droit extrapatrimonial : constitution des liens familiaux, exercice de ceux-ci et distribution de ces liens le cas échéant. A- Sources du droit de la famille 1- Sources législatives Article 34 de la Constitution : le droit de la famille relève de la compétence législative  Seul le Parlement est habilité à modifier le droit de la famille, ou il peut parfois

directe. On trouve l’obligation d’exercer l’autorité parentale sur les enfants. L’alliance. L’alliance est un lien qui s’oppose au lien de parenté, il y a un lien d’alliance entre des individus dès lors qu’ils ont conclus un mariage ou un PACS. Le lien d’alliance a un effet très inférieur au lien de parenté, car la possibilité d’hériter de l’autre personne, l’époux ou le partenaire pacsé décède ont une vocation très largement inférieure que celle des enfants. En revanche l’obligation alimentaire

légale depuis les lois bioéthique du 29 juillet 94 qui régissent l'assistance médicale à la procréation. Loi du 15 nov 99: PACS (art 515-8 du Cc). Cette loi a introduit en droit français un polymorphisme de la vie de couple. Le couple peut prendre en droit plusieurs formes depuis. Antérieurement à cette loi, le mariage constituait la seule forme d'union légale et le concubinage (qui est une union de fait était essentiellement défini par rapport au mariage.) Le mariage se définit comme un acte juridique

procréation hors mariage. Cette définition repose sur des faits biologiques, il n’y a pas de lien de droit. Ces faits sont parfois accompagnés d’une communauté de vie. Cette communauté de vie n’est pas un élément nécessaire à la définition contrairement au pacs. - La famille monoparentale Cette famille se définit comme celle dans laquelle l’enfant vie avec un seul de ses parents Ici encore il s’agit d’un phénomène sociologique dont l’importance grandit. Ce type de famille n’est pas un type à

droit extrêmement mouvant, et par conséquent très vivant. Le droit de la famille est au cœur des débats qui traversent la société. L’homosexualité oblige à repenser politiquement le droit de la famille. Cela à des implications sur le mariage, le Pacs, la filiation, autorité parentale… Il est important de partir du fait social pour les qualifier juridiquement. Il y a des faits que le droit ne peut ignorer. Le droit peut-il faire abstraction de la situation de fait ? Le droit doit-il se plier

Or, cette corrélation est peut être mise à mal, en tout cas mise à l’épreuve par un fait important, vie en couple. Cette vie en couple doit elle conduire à adopter d’autres réponses à la question de l’avoir, du pouvoir ou du devoir. S’agissant de la propriété, on peut se poser la question de savoir si les biens qui appartiennent à l’un ou l’autre des membres du couple ne doivent pas appartenir, à compter de l’entrée en concubinage, PACS ou mariage, être considéré comme appartenant à l’un et l’autre

motif légitime. Mais la rupture peut être justifié par un motif légitime, dans ce cas-là, c’est au fiancé qui a rompu les fiançailles de se justifier, c’est ce qu’on appelle le renversement de la charge de la preuve. 3) La victime doit justifier d’un préjudice pour bénéficier de dommages et intérêts. Le préjudice peut être économique ou moral. Section 2 : La restitution des cadeaux Le sort des cadeaux en cas de rupture dépend de leurs natures. Le cadeau peut s’analyser comme une libéralité

beaucoup plus importante a la volonté individuelle qu’a l’ époque. Traditionnellement on ne choisissait pas sa famille sauf maintenant de plus en plus on choisit par exemple le choix de l’alliance manière dont on souhaite vivre en famille avec pacs mariage concubinage, la famille contemporaine est élective IE choisie mais aussi moins stable car on peut se séparer, venue transformer famille imposée et stable maintenant famille élective et instable. En 1972, 416000 mariages en France En 1992, 279000 mariages

par un noyau dur concentré autour des parents et des enfants. A partir de la fin des années 60, la nécessité d’un acte juridique pour fonder une famille commence à décliner, à s’effacer et on voit apparaître une nouvelle forme de d’union : le concubinage ou union libre. La famille a évoluée également sous l’influence de deux grandes idées, l’idée de liberté et l’idée d’égalité. En effet, ces deux idées ont progressivement remis en cause les fondements traditionnels de la famille. En se qui concerne

rapports parents/enfants Si on s’intéresse au couple, l’évolution est flagrante. Le couple aujourd’hui n’est plus exclusivement fondé sur le mariage. On assiste à une baisse constante des mariages. En parallèle on a une augmentation du PACS (60 000 PACS en 2005) et du concubinage. Les relations parents/enfants : apparition des familles recomposées, familles monoparentales. Cette réalité sociale ne peut pas être ignorée par le droit puisque la famille n’est pas seulement un groupement naturel et spontané