Carte De Fidélité Decathlon

multiformats jouent la carte de la convergence entre enseignes. C’est la seule solution pour récupérer dans leurs supermarchés les déçus des hypers1 ». On voit aussi se développer, dans certains segments du commerce de détail (non alimentaire surtout), des modèles d’organisation recherchant à la fois des prix bas via l’intégration amont de la production et une différenciation sur l’image de marque importante (Ikéa par exemple). Le succès de ces « enseignes-filières » (Décathlon, Zara, H & M… ou encore

2500m2). 1980 : la nouvelle donne : des consommateurs exigeants et hédonistes On assiste à une concurrence accrue entre les supermarchés et les hypermarchés et également à une montée en puissance des grands spécialistes, les GSS (Darty, Décathlon, FNAC). Les années 1990 : La crise économique (Guerre du Golfe) révèle une modification profonde des comportements d’achat à laquelle la distribution doit s’ADAPTER. Il n’y a plus d’apparition quelconque de forme de magasin et le développement

permet à l'entreprise de mieux satisfaire le client individuellement. En plus, au fur et à mesure que cette relation s'intensifie, le client y trouve des avantages accrus et va se trouver en présence d'une barrière psychologique et pratique à la sortie, ce qui favorise la fidélité. Enjeux du commerce électronique 26 Enjeux du commerce électronique 3 - Les gains attendus d'une relation One to One : La pratique d'un Marketing One to One apporte plusieurs avantages, aussi bien pour le client que pour l'entreprise

des grands axes, zoning industriels,… elle est mesurée en nombre de minutes, par exemple jusqu'à 20 minute en voitures avec les infrastructure, feux rouges, passages a niveaux,… 5‐10 minutes a pied,… Et on regarde la densité de la demande sur cette carte, et logiciels aident à le faire. Par exemple Ikea ira entre de moyenne, plus qu’une pharmacie. Illustration: http://www.adhoocsolutions.com/ qui a développe des logiciels ou on voit des zones vertes, autoroutes, centres pôles,… Si j’ai une pharmacie

2500m2). 2 1980 : la nouvelle donne : des consommateurs exigeants et hédonistes On assiste à une concurrence accrue entre les supermarchés et les hypermarchés et également à une montée en puissance des grands spécialistes, les GSS (Darty, Décathlon, FNAC). Les années 1990 : La crise économique (Guerre du Golfe) révèle une modification profonde des comportements d’achat à laquelle la distribution doit s’ADAPTER. Il n’y a plus d’apparition quelconque de forme de magasin et le développement

capitalistique : coût pour produire, faire l’activité, les machines, les entrepôts. L’investissement de départ. Les coûts de transfert : le prix que doit payer le client s’il change de fournisseur ( exemple de la téléphonie mobile, des cartes de fidélité, carte miles and more, …) Des barrières commerciales : Le réseau de distribution La notoriété, la réputation. Surtout dans le domaine du luxe.Ex : Bic qui fait du parfum. Flop car manque de réputation Prolifération. Ex dans l’agro-alimentaire, un

apportent une récompense augmentent la probabilité de renouvellement du comportement. Les conséquences qui apportent une punition réduisent la probabilité de nouvelle occurrence du comportement. Les récompenses associés (réductions…) aux comportements de fidélité à la marque ont pour base ce schéma d’apprentissage. La publicité prend également pour base ces processus : ainsi c’est l’individu qui n’a pas loué sa voiture chez Hertz qui se retrouve seul en panne en plein désert. • L’apprentissage cognitif Les

tous les acteurs de la sphère de la consommation. Bien qu'il n'y ait à cet égard aucune vertu cardinale à la fidélité à l'égard des objets de consommation ou bien encore en ce qui concerne les marques, celle-ci doit se bâtir à partir des producteurs, des industriels, de ceux qui fabriquent et qui labellisent, alors qu'aujourd'hui on la recherche plutôt du côté des distributeurs. Cette fidélité passe par un contact permanent – les sites sur Internet peuvent y contribuer –, par une façon complète, soignée

mercatique relationnelle permet de mettre en avant le rôle des commerciaux et des personnels de contact ainsi que la diversité des supports sur lesquels elle repose : lettres commerciales ou pages d’accueil de sites Internet personnalisées, cartes de fidélité et clubs de clients, etc. Une des grandes richesses de la mercatique est de faire appel à des disciplines variées : psychologie, sociologie, informatique, économie, statistiques, gestion… La diversité et la complémentarité de ces disciplines sont

d’informer les personnes visées par les fichiers et de recevoir notamment leurs plaintes quant au contenu des fichiers (qui pourrait porter atteinte à leurs droits). Ainsi dans le cas de la carte « Plus » Animalis, le prospectus informe le titulaire de la carte de ses droits vis-à-vis de l’entreprise qui a établi la carte : voir le paragraphe relatif à la CNIL (mentionnée expressément avec la référence de la loi). 2. Le Conseil de la concurrence veille au respect d’une concurrence libre et loyale entre