Carré Rouge Malevitch

Rousse puise son inspiration dans le ''Carré noir sur fond blanc'' peint par Kasimir Malevitch en 1915, et notamment à travers deux aspects de cette peinture : d'une part, une remise en cause ironique de la perspective, invention de la Renaissance que l'artiste considère alors comme dépassée. La perspective fut longtemps mise en valeur dans la peinture et enseignée par la réalisation de damiers en noir et blanc pour représenter le sol. Le tableau de Malevitch nous renvoie à la planéité de la peinture

Jaune-Rouge-Bleu Vassily Kandinsky,1925 Huile sur toile, 127 x 200 M. N. A. M., Paris http://www.ibiblio.org/wm/paint/auth/kandinsky/kandinsky.yellow-red-blue.jpg Souvent cité comme un tableau exemplaire de l'art abstrait, "Jaune-rouge-bleu" peint en 1925 marque un tournant décisif dans l'œuvre de Kandinsky. Quand le Bauhaus se transporte à Dessau, à l'été 1925, Kandinsky rédige un questionnaire pour ses étudiants où il leur demande d'assortir un cercle, un carré et un triangle à trois couleurs

sont désormais réservées aux laïcs)5 Moyen orient, techniques : arc boutant XVI renaissance artistique (+ litt, art, scientif) en europe de l'italie XIV (pas sur) privé (bourgeoisie) expo château d'ecouen : medieval : carré ; imposant, douves, tours rondes blois, chenonceau, en italie : florence, villa d'este -tivoli ref (humanisme) + science de pythagore, euclide, copernic, galilée puis de vinci (l'homme de vitruve- De architectura), + imprimerie redecouverte

fonctionnent comme deux polarités fondamentales, telles qu’il les décrira dans son traité Point et ligne sur plan. La forme circulaire dans le coin gauche, noire et silencieuse (selon Kandinsky, le noir est égal au silence), est réchauffée par le rouge qui l’entoure.  Les formes géométriques contrastées, les triangles qui expriment le mouvement et les cercles bien stables qui dominent, impriment à cette œuvre un effet statique ; tous les éléments s’en trouvent comme suspendus dans l’espace du tableau

certaines créatures fantastiques telles les vampires. Le sang rouge est d’autant plus mis en valeur sur leur peau claire. La pâleur fut longtemps symbole de beauté. Les femmes et même les hommes se poudraient beaucoup au XVIIIème siècle à l’aide de talc. Au japon, le maquillage traditionnel des geishas consiste à se farder le visage à l’aide de poudre de riz pour un rendu d’une pâleur parfaite. Les yeux maquillés de noir et la bouche rouge ressortent fortement. On peut aussi citer l’exemple du conte

rompre avec la tradition . Ces deux courants cherchent dans des voies parallèles la définition d'un art révolutionnaire et libéré des contraintes du réel. Pour le suprématisme de Malévitch l'art est une représentation spirituelle de la réalité qui dépasse le monde des apparences pour devenir purement symbolique. Son carré noir sur fond blanc est une bonne illustration de se en quoi cet art cherche à une représentation d'une réalité devenu pur et non figurative. La démarche suprématiste va progressivement

Pourquoi 3 aplats “monochromes” ou presque ? Parce que ce que le monochrome donne à voir nie tout ce que le concept d’art a pu traditionnellement contenir. Le monochrome n’est pas une imitation, une représentation, un système signifiant. Face à un Malevitch ou un Klein, se perd la frontière entre plastique et physique, entre art et technique. Entre plastique et physique en tant que le signifiant est pure matière. Entre art et technique dans la mesure où otés de leur cadre, soustraits à la toile, les

heurtée. La représentation sommaire suggère le drame par la déformation et l'agrandissement de certains éléments anatomiques. Les lignes brisée exacerbent l'émotion. Les tableaux présentent des accords colorés violents et  des tons salis, le noir et le rouge dominent. Les coups de pinceau laissent des traces vigoureusement empâtées et rugueuses. Ernst Ludwig KIRCHNER 1909-1910 "Quatre baigneuses"   Un grand maître: Pablo Picasso (1881-1973) fut l'un des premiers (tout comme Henri Matisse) à 'intéresser

de profondeur dans le tableau de clair/obscure, plus de jeux d’ombre. Cezanne travail en applat aussi, il veut arriver à rendre compte de l’épaisseur des choses, de ce qui apparaît devant moi. recherche a travers la construction (triangle, rond, carré) En 1907, grande exposition rétrospective de ces œuvres au grand palais à Paris simplification de l’espace Van Gogh construit l’espace pictural avec les couleurs. l’espace apparaît dans les tableaux de Van Gogh par la couleur. En 1905, grande

Vassily Kandinsky, Jaune-rouge-bleu, 1925 Huile sur toile, 128 x 201, 5 cm Donation Nina Kandinsky 1976 AM 1976-856 © Adagp, Paris 2007 Le retour à la ligne courbe et aux dégradés de couleurs Etabli à Weimar de 1922 à 1925, Kandinsky, sous l’invitation de l’architecte Walter Gropius, s’associe à l’équipe des professeurs du Bauhaus.[2] Sa peinture devient rigoureusement géométrique. En 1925 le Bauhaus quitte Weimar pour Dessau. La peinture de Kandinsky renoue alors avec la ligne courbe, les