Carre Noir Malevitch

cadence heurtée. La représentation sommaire suggère le drame par la déformation et l'agrandissement de certains éléments anatomiques. Les lignes brisée exacerbent l'émotion. Les tableaux présentent des accords colorés violents et  des tons salis, le noir et le rouge dominent. Les coups de pinceau laissent des traces vigoureusement empâtées et rugueuses. Ernst Ludwig KIRCHNER 1909-1910 "Quatre baigneuses"   Un grand maître: Pablo Picasso (1881-1973) fut l'un des premiers (tout comme Henri Matisse)

L’œuvre Kazimir Malévitch, Carré blanc sur fond blanc, 1918 Huile sur toile, 79,4 x 79,4 cm Exposé au Museum of Modern Art, à New York Contexte de l’œuvre Cette œuvre est réalisée à la fin du Régime Tsariste de Russie, après la Révolution d'Octobre de 1917, ce qui constitua un grand changement dans l'Histoire et marqua les mentalités. Description de l’œuvre «  Le Carré blanc sur fond blanc » est une huile sur toile peinte par

couleurs primaires et leur variation et continue jusqu’en 1944 de cette manière avec certaines nuances. - Il va simplifier ses tableaux pour avoir un effet plus pur. Il se limite à la verticale et à l’horizontale. Système binaire. - Delonnay, Malevitch Le dadaïsme L’objet réel 1912 : collage, on intègre l’objet et des matériaux à la toile, dans le tableau. Dans son collage, Picasso intègre d’autres matériaux tels que de la corde ou de l’osier,… Quand l’artiste intègre des objets à ses œuvres

sont désormais réservées aux laïcs)5 Moyen orient, techniques : arc boutant XVI renaissance artistique (+ litt, art, scientif) en europe de l'italie XIV (pas sur) privé (bourgeoisie) expo château d'ecouen : medieval : carré ; imposant, douves, tours rondes blois, chenonceau, en italie : florence, villa d'este -tivoli ref (humanisme) + science de pythagore, euclide, copernic, galilée puis de vinci (l'homme de vitruve- De architectura), + imprimerie redecouverte

rompre avec la tradition . Ces deux courants cherchent dans des voies parallèles la définition d'un art révolutionnaire et libéré des contraintes du réel. Pour le suprématisme de Malévitch l'art est une représentation spirituelle de la réalité qui dépasse le monde des apparences pour devenir purement symbolique. Son carré noir sur fond blanc est une bonne illustration de se en quoi cet art cherche à une représentation d'une réalité devenu pur et non figurative. La démarche suprématiste va progressivement

au portrait de J. Gris. Picasso, Portrait de Dora Maar, 1937. Musée Picasso,Paris (à gauche, autoportrait photographique de Dora Maar, 1935) Kasimir Malevitch, Carré noir sur fond blanc, 1913 (Saint Petresbourg) Kasimir Malevitch, Carré blanc sur fond blanc, 1918. Musée d'art moderne, New York. Créateur du « suprématisme », Malevitch s’est engagé dans le rejet de la représentation vers un monde sans objets où ne subsistent plus que des formes pures et des couleurs pures. Le tableau ne renvoie

nts gardes, malevitch«Une nouvelle vision artistique. Une œuvre avant-gardiste. Une œuvre révolutionnaire. Une nouvelle approche conceptuelle. Une œuvre interactive. Une œuvre idéologique....» Extrait du document : «El Lissitzky est né en 1890 et est mort en 1941. C'est un peintre avant-gardiste russe, également designer, photographe, typographe et architecte. C'est important de replacer son travail artistique dans son contexte pour en comprendre la portée....» « Cette œuvre est donc le plan de

de profondeur dans le tableau de clair/obscure, plus de jeux d’ombre. Cezanne travail en applat aussi, il veut arriver à rendre compte de l’épaisseur des choses, de ce qui apparaît devant moi. recherche a travers la construction (triangle, rond, carré) En 1907, grande exposition rétrospective de ces œuvres au grand palais à Paris simplification de l’espace Van Gogh construit l’espace pictural avec les couleurs. l’espace apparaît dans les tableaux de Van Gogh par la couleur. En 1905, grande

« le XXI° Salon des indépendants est unanimement, un vaste hommage à Cézanne ». Picasso voit la toile de Braque au salon des indépendants et le NU BLEU DE MATISSE A BALTIMORE : On a ici une pose outrée, presque primitive, le corps est cerné de noir, la pose est désarticulée, on a des ombres frappantes de couleurs vives. Cette toile fait scandale car on donne au corps féminin une pose outrancière qui provoquait le spectateur. Il Remet lui-même en cause le Bonheur de vivre. Il est plus rudimentaire

de votre palette… et cette ombre, plutôt bleue, ne craignez pas de la peindre aussi bleue que possible ». Il lui dit d’assumer son regard sur les choses. C’est le passage au fauvisme. L’ombre : dans la peinture académique du XIXe est créée avec le noir, le gris, la terre d’ombre, elle fonce la couleur. Ici l’ombre est colorée. Maurice DENIS voit le tableau et dit : « se rappeler qu’un tableau, avant que d’être un cheval de bataille, une femme nue ou quelconque anecdote, est essentiellement une surface