Cantatrice Chauve Les Effet Comiques

Dans le théâtre, il y a souvent des scènes d’affrontement qui illustrent un conflit. Ionesco, auteur de « La Cantatrice chauve » dit que sans conflits «  il n’y aurait pas de théâtre. On peut alors se demander si le théâtre est le lieu par excellence du conflit et de l’affrontement. Pour disserter sur ce sujet  nous verrons dans un premier temps que le conflit est indispensable au théâtre, nous allons ensuite montrer comment il est mis en scène. Et enfin, nous montrerons quel est son but au théâtre

RHINOCEROS Né le 26 mars 1909 à Slatina en Roumanie Décès : 28 mars 1994 à Paris. Mouvement littéraire : dramatique, théâtre de l’absurde. ŒUVRES MAJEURES  - 1950 : La Cantatrice chauve - 1957 : Rhinocéros - 1962 : Le roi se meurt - 1962 : Notes et contre-notes - 1964 : La soif et la fin - 1970 : Jeux de massacre - 1972 : Macbett - 1973 : Ce formidable bordel ! 3. RESUME  Acte I : Les gens sont surpris et choqué d’apercevoir des rhinocéros en ville. Certains personnages

tant qu’hommes, oui. » Pensez vous que ce propos puisse s’appliquer particulièrement aux écrivains ? Bien souvent, la question de l’homme dans les genres du XVIème siècle à nos jours nous renvoie au mouvement littéraire ; l’humanisme. En effet, la littérature n'a cessé de s'interroger sur l’Homme du XVIe à nos jours. « En tant qu’artistes, nous n’avons peut-être pas besoin d’intervenir dans les affaires du siècle. Mais en tant qu’hommes, oui. » a dit Albert Camus, philosophe, romancier,

nous fêtions la libération du camps d'extermination et de concentration d'Auschwitz-Birkenau, en Pologne. En effet il y a 70 ans de cela, les troupes soviétiques atteignaient le camps, libérant quelques 7000 détenus qui y avait survécus. A l'occasion de cet événement, nous traiterons la question de l'art pendant la guerre, et de l'apparition de nouveau genre qui ont suivi. Car en effet ce conflit majeur du XX° siècle a bouleversé l’éthique de l'époque. La fin de la guerre fait prendre conscience

règles classiques. Et nous verrons dans un second temps que, malgré cela, ces règles ont été remises en cause. Dans un premier lieu, nous pouvons remarquer que certaines œuvres qui ont suivi les règles classiques ont connu le succès. En effet, au XVIIème siècle, le classicisme est le mouvement dominant. Il faut donc, pour les auteurs, respecter ces codes afin de connaître le succès. La règle des trois unités est suivie par de grands dramaturges comme Corneille et sa pièce Horace, ou Racine

« Castigat Ridendo Mores » - en riant elle châtie les mœurs - déclarait le dramaturge et acteur Molière au sujet de la comédie au 17e siècle. En effet depuis sa création au sixième siècle avant Jésus Christ par Aristophane la comédie s’est toujours montrée sous deux visages, l’un étant plus subtil que l’autre car à première vue seule la volonté de faire rire prédomine. A partir de cette idée nous allons chercher à savoir si la seule fonction de la comédie est de faire rire. Nous allons d’abord parler

grossissement des effets, acquis en atteignant les extrêmes, que ce soit dans le comique ou dans le dramatique. Ces principes, l’auteur les applique lui-même, notamment à travers son œuvre théâtrale Rhinocéros, qui retrace l’histoire d’une ville, dont les habitants deviennent tour à tour des rhinocéros. En réalité, cette image de métamorphose en animal est utilisée pour dénoncer l’emprise des dictatures sur les esprits. Le thème de la pièce est donc déjà un grossissement des effets, une sorte de métaphore

comédie est de corriger les hommes, je ne vois pas pour quelle raison il y en aura de de privilégiés. ….Nous avo vu que le théâtre a une grande vertu pour la correction… .​ »​L’auteur développe alors les vertus des registres comique et satirique » pour faire progresser les hommes en réponse à ses détracteurs q avaient provoqué la censure du ​Tartuffe « N’étant autre chose qu’un poème ingénieux qui, par des leçons agréables,​ ​reprend les défauts des hommes

1938, il s’installe en France où il prépare une thèse et fréquente la revue « Esprit ». Il commence sa carrière d’auteur dramatique en 1950 avec « La Cantatrice chauve ». Il signe aussi « La Leçon », « Jacques ou la soumission », « Rhinocéros » et « Le Roi se meurt » entre autres. Dès ses premières oeuvres, sous-titrées « anti-pièce », « drame comique » ou encore « farce tragique », on trouve la contradiction, l’identité abusive, la répétition, l’à-peu-près et les mots déformés. Avec Beckett et Adamov

et ainsi faire passer un message, puis dans un second temps, qu’il peut être également un moyen de détente et de plaisir. Tout comme Michel Azama, je pense que le théâtre est un excellent outil pour faire passer un message aux spectateurs. En effet, tel il le dit dans l’introduction de son ouvrage Iphigénie ou le Péché des Dieux (1991), le théâtre peut « interroger quelques consciences ». Ainsi, il serait un moyen de convaincre, c’est-à-dire par la raison, et de persuader par les sentiments cette