Canal De Distribution Conforama

présentation BRIEFING média BUS MAILING BUSINESS TO BUSINESS BUZZ GROUP BVP C CA CADEAUX CADENCIER CAHIER DES CHARGES CALL CENTER CANAL de distribution CAP (argument) CARGO CARTE de fidélité CARTE perceptuelle CARTE PRIVATIVE CASH & CARRY CATEGORY killer CCI CCIFE CDEC CEN CENTRALE D’ACHATS (d’espaces publicitaires) CENTRALE D’ACHATS (distribution) CENTRE D'APPEL (téléphoniques) CENTRES commerciaux CENTRES de gros, de magasins d'usine CERTIFICATION CERTIFICATS de conformité

.... 17 1.3.B. La riposte des compagnies historiques ................................................................. 22 Chapitre 2 Les nouvelles frontières du «low cost» ........................................ 29 2.1. Le «low cost» dans la distribution.............................................................................. 29 2.1.A. Le cas du «hard discount» alimentaire.................................................................. 30 2.1.B. Le cas du commerce en ligne .............

et clients sur un site – jusqu’à l’achat de mots clés, la mise en place de partenariats, la location d’adresses e-mail…, comment combiner les différents canaux d’acquisition à la disposition de l’entreprise ? Comment trouver le juste équilibre entre recrutement de prospects et fidélisation des clients ? Quelles méthodes de la grande distribution et du marketing direct adopter pour développer son site ? Dirigeant de PME, responsable marketing, chef de produit, chef de projet Web, cybermarchand…, cet

cette évolution a permis de modérer les coût de développement et de les rendre accessibles à un grand public. Le marketing y est relativement souple, ouvert et efficace. Internet est donc devenu une des premières plate-forme de communication et de distribution dans notre économie. Et l’arrivée d’internet sur les téléphones et les tablettes augmente encore le taux de pénétration et le temps passé sur internet par les Français. 2.2.2. L’évolution du marché Le marché est en constante évolution et en

s#ONSOLEDEJEUXCONNECTÏEÌ)NTERNET s%QUIPÏSTABLETTETACTILE 26 988 13 425 13 563 26 247 21 470 4 310 2 196 4 008 13 178 13 889 9 499 12 300 4 722 3 871 98,3% 48,9% 49,4% 95,6% 78,2% 15,7% 8,0% 14,6% 48,0% 50,6% 34,6% 44,8% 17,2% 14,1% s46PAYANTE - Canal + - CanalSat - TNT payante - Câble numérique s46!$3,&IBRE 9 315 4 942 3 771 933 1 373 10 021 33,9% 18,0% 13,7% 3,4% 5,0% 36,5% Equipement informatique s%QUIPÏSMICRO ORDINATEUR - Mono-équipés micro - Multi-équipés micro s%QUIPÏSMICRO ORDINATEURPORTABLE

; Les cibles de consommateurs visées ; Les gammes de produits et services impliqués pour la nouvelle marque ; La politique de prix publics recommandée pour la nouvelle marque ; Page 2 Cas de marketing-communication Le choix des réseaux de distribution envisagés pour la nouvelle marque et la cohabitation avec la marque historique ; Le formatage d’une force de vente et les méthodes de vente préconisées ; Les politiques de prix de vente aux réseaux et sur internet (CGV de la nouvelle gamme en euros

expérience dans le marché dans lequel elle s'immisce. La diversification horizontale assure une certaine sécurité { l’entreprise. En effet, ayant déjà une certaine connaissance, voir maîtrise de son marché et de sa clientèle, elle assure une meilleure distribution des risques. Par exemple, Ducros a tout d’abord commencé son activité par la commercialisation d’herbes de Provence. L’entreprise proposa alors par la suite épices et arômes, répartissant ainsi ses revenus sur plusieurs produits. Les mauvais résultats

Jeux et jouets (distribution) Jeux et jouets (distribution) Juillet 2010 Activité du commerce spécialisé en jeux et jouets unité : % des variations annuelles en volume / Prévisions Xerfi (source historique INSEE) 8% 6,2% 6% 5,0% 3,6% 1,8% 0,6% 0,0% 2006 2007 2008 2009 5,0% Prévisions 2011 CA du commerce spécialisé en jeux et jouets (valeur) Taux de marge commerciale +2,0% 4% 2% 2,0% 25,2% 0% 2004 2005 2010p 2011p Prévisions 2010 CA du commerce spé

c’est­à­dire ne pouvant faire l’objet d’arbitrages. Citons ainsi les dépenses en loyers et en remboursements d’emprunts pour les ménages accédants, les dépenses en énergie (électricité, gaz et autres combustibles) et les autres charges courantes (distribution d’eau, enlèvement des ordures ménagères, etc.). Certaines dépenses liées au logement peuvent, en revanche, faire l’objet d’arbitrages. C’est notam­ ment le cas des dépenses en ameublement et électroménager et des dépenses pour l’entretien courant

des particuliers et des entreprises. S’appuyant sur une méthodologie rigoureuse Social CRM : Toutes les entreprises doivent aujourd’hui assurer leur présence dans les réseaux sociaux (social engagement) et veiller à leur e-réputation. Ces nouveaux canaux de communication sont aussi de puissants supports pour développer les marques, évaluer leur rayonnement et prolonger l’expérience utilisateur. Support technique : Intelcia Group vous propose plusieurs niveaux d’expertise en matière d’assistance technique