Calvinisme

intéressé au luthéranisme puis a fuis la France dès le début de la répression en 1534. Il s’installe alors à Genève et propose une réforme protestante qui va s’étendre à Genève puis qui va s’étendre par la suite en France : c’est la naissance du calvinisme, une branche de la religion protestante. Ensuite “répandue si universellement dans toute les contrés de ce royaume n’ayant pu s’y introduire” l.4 démontre que la religion protestante, s’est considérablement développé au XVIème siècle avec comme

 tous  livres  contenant  les  prières  autres  que  le  Prayer  book.    En  1552,  Les  Quarante-deux  Articles  de  la  Religion  (Forty‐two  Articles  of  Religion)sont  publiés  et  font  état  de  l’adoption   des  principes  essentiels  du  calvinisme  :  ainsi  les  sacrements  du  baptême  et  de  la  communion  subsistent,  la  transsubstantiation  est  condamnée  et  la  prédestination  des  âmes  devient  un  dogme  officiel.   A  la  suite  de  tous  ces  remaniements  religieux,  beaucoup

relativise fortement la tradition et ce qu’en ont dit les pères de l’Eglise ; la Bible est seule source du salut. Luther est excommunié par Rome mais protégé par des princes allemands. Il donne ensuite lieu à différentes branches : le luthérianisme, le calvinisme et l’anglicanisme. Mise en œuvre de Rome de la Contre Réforme, avec le Concile de Trente (1545) où est affirmée la doctrine catholique avec la création de séminaires et condamné le protestantisme. Création de l’ordre des jésuites ou Compagnie de

économiques et politiques, Anvers supplante Bruges en tant que principal port de transit d'Europe occidentale. Anvers devient alors la capitale économique et financière de l'Europe. Les Temps modernes Sous Philippe II, les Pays-Bas actuels, passés au calvinisme, se révoltent et obtiennent finalement leur indépendance, sous le nom de Provinces-Unies. La Belgique actuelle et certain provinces du sud du Pays-Bas actuelle reste possession espagnole, sous le nom de Pays-Bas espagnols. Les troubles privent Anvers

réformées de l'Eglise catholique. Le but premier de cette réforme est de restaurer la foi chrétienne tout en gardant certains principes du catholicisme.Différentes confessions émergent, dont les principales sont le luthéranisme (ou évangélisme), le calvinisme, le baptisme et l'anglicanisme. Elles ont chacune leurs spécificités mais elles rejettent toutes l'autorité du pape en faveur de l'autorité de la Bible elle-même et de l'importance de la foi individuelle. L’édit de Nantes est un édit de

d’Anbsbourg qui fixe sa doctrineExemple :- pas de culte des saints, seule la foi compte- Cérémonies simple- 2 sacrements (baptême et communion)2 autres mouvements protestants se foment :- Jean Calvin, plus radical avec la doctrine de prédestination⇒ Calvinisme- Anglicanisme :Henri VIII est excommunié car il veut changer de femmeBilan :Bouleversement religieuxB) Réaction de l’Église catholique :Questions 1 et 2 p1451) Les trois réactions du pape et de l’Église catholique sont la réformation de l’Église

Il remarque en même temps que ce sont les entrepreneurs calvinistes qui sont les plus actifs. Le protestantisme puritain que développe Calvin (le réformateur de la religion protestante) → un comportement économique particulier. (C'est dans le calvinisme que le capitalisme trouve sa véritable source ) Selon cette confession, la profession est un devoir, une épreuve de la foi. Les comportements calvinistes sont marqués par un ensemble de valeurs : le goût de l’épargne le refus du luxe

Territoires catholiques avec des zones protestantes. Territoires devenus protestants. Centres de diffusion des réformes : Lutherianisme. Anglicanisme. Projection horizontale équivalente. Contre-Réforme catholique. (Carte p 168) Protestants Calvinisme. d) La Contre-Réforme catholique. Le pape ne voit pas d'un bon oeil la division de la chrétienté et les pertes de territoires (donc, de pouvoir) pour l'Eglise catholique. Il met en place des mesures afin de freiner le protestantisme : Source

définit plus précisément que par la simple recherche du profit. Pour Weber, le capitalisme est la recherche systématisée et rationalisée du profit. Weber est conscient qu’à l’époque les entreprises se bureaucratisent. Il part du calvinisme et dans la doctrine du calvinisme il y a la thèse de la « prédestination ». L’individu ne sait pas s’il sera sauvé ou damné. Dans cette situation inconfortable, on va chercher dans la sphère la plus matérielle les signes d’une élection (qu’il ne peut obtenir autrement)

XVIe siècle dans les milieux de confession protestante. Le système de valeurs catholiques qui forge la mentalité de l'occident chrétien est un obstacle au capitalisme (valorisation de la pauvreté, de la charité, critique du prêt à intérêt...). Le calvinisme, au contraire encourage un comportement congruent avec le capitalisme (valorisation du travail, notion de prédestination...) : le croyant doit donc se comporter comme un moine chez qui le travail et l'entreprise remplace la prière et la contemplation