Bissectrice

pratique aux Etats-Unis avec la politique du New Deal. De plus Keynes met en avant la nécéssité de l'Etat de palier à ce qu'il appelle une « sous consommation », c'est-à-dire une consommation inférieur à la demande. Dans ces recherches Keynes avec sa bissectrice montre jusqu'à quel niveau le revenu est dépensé en totalité. De plus le rôle de l'Etat est de favorisé la consommation au détriment de l'épargne sans la rendre nulle car l'épargne est un réservoir de consommation future mais incertaine. Quant à

points A et B. d) Soit I le milieu du segment [AB] et zI son affixe. Placer I sur la figure et prouver que zI = 2 + 2 + 2 i 4 4 2) a) Calculer la distance OI, et prouver que OI = 2 + 2. 2  b) Démontrer que la droite (OI) est la bissectrice de l'angle AOB . En déduire un argument de zI. c) Donner la forme trigonométrique de zI. 3) Montrer à l'aide des résultats obtenus aux questions précédentes que la valeur exacte de cos π est 8 2 + 2. 2 Consulter gratuitement les corrections

1), B(1 ; –1), C(2 ; 0) b. inscrit dans le triangle DEF : D(2 ; –1), E(–2 ; 2), F(16 ; 9.5). Rappel Le cercle circonscrit a pour centre l'intersection des médiatrices. Le cercle inscrit a pour centre l'intersection des bissectrices. Indication Pour trouver l'équation d'une bissectrice, pensez à la façon dont vous opérez avec un compas. Exercice 4.26 4.6. Trouvez les équations des droites passant par le point A(2 ; 3) et équidistantes des points B(10 ; 2) et C(0 ; –4). Ce qu'il faut absolument savoir

journalières"); qqnorm(logM, col="red", main="Log-rentabilités mensuelles"); Les nuages de points pour les log-rentabilité forment une courbe assez marquée qui ne correspond pas à une droite. De plus, les points ne sont pas équidistants le long de la 1e bissectrice. Ainsi, on en déduit que les log-rentabilités ne suivent pas une loi normale d’après le test visuel des « qqplot ». 7|20 Gestion de Portefeuilles 2010 1.3 Tester la normalité Nous souhaitons tester la normalité des log-rentabilités

donnent les valeurs suivantes : A partir des valeurs du tableau ci-dessus on trace la courbe d’étalonnage  Qv=f (Qv, rotamètre) suivante : On constate que la droite formée par les différents points peut être assimilé à une bissectrice (pente f(Qv) ≈ Qv,rotamètre) ce qui revient à dire que le changement de section du rotamètre n’influe pas énormément sur la valeur du débit.  Il est bien possible d’avoir le débit du système en utilisant un rotamètre. N.B : On n’a

2 1 OAI est équilatéral : A ; 13 . 2 2 1 13 . OBI est équilatéral : B ; – 2 2 13 ; – 1 . OCJ’ est équilatéral : C 2 2 D est le symétrique de C par rapport à (OJ) : 1 D – 13 ; – . 2 2 E est sur la bissectrice de hJOI’ : E – 12 ; 12 . 2 2 F est sur la bissectrice de hIOJ’ : F 12 ; – 12 . 2 2 c) Faux : a = π ; b = ΂ ΂ ΂ 6 ΃ ΃ ΃ ΃ ΂ ΃ ΂ a) Entrée Saisir x Traitement Tant que x > 2π x prend la valeur x – 2π Fin Tant que Sortie Afficher

cumulée. La distribution est d’autant plus égalitaire que la courbe de Lorentz est proche de la première bissectrice. Le graphique ci-après présente la courbe de Lorentz dans un cadre général. Graphique 5 : Courbe de Lorentz 12 Lamine Kazim b Coefficient de concentration de Gini C’est un indice G qui est égal au double de la surface (i) entre la courbe de concentration et la première bissectrice : ( )( )∑ + = −− +−−== 1 1 1112 k j jjjj qqFFiG . La distribution est d’autant plus égalitaire que

restent vont à l’épargne. C/R = Propension moyenne à consommer. « b » : niveau de consommation lorsque R=0 (précisons que revenu national, production, offre globale, signifient la même chose) c’est une consommation incompressible. La bissectrice (b) exprime la dépense totale du revenu. 1-a = S R  Propension marginale à épargner. Les deux droites de consommation et d’épargne sont parallèles uniquement lorsque a = 0,5 II – L’investissement : L’investissement est une donnée indépendante

même point. Ce point est le centre de gravité du triangle. Il est situé aux 2 à partir du sommet 3 1 ou au à partir de la base. 3 H Les trois hauteurs d’un triangle se coupent en un même point. Ce point est l’orthocentre du triangle. H Les trois bissectrices des angles d’un triangle se coupent en un même point. Ce point est le centre du cercle inscrit dans ce triangle. Si (xx ) est parallèle à (yy ), alors kzMx = jzNy . 15. Triangle rectangle H Si un triangle inscrit dans un cercle a pour côté

mesures principales de ,  ,  ;  MNP est un triangle équilatéral direct et I est le milieu de [MN]. Lire graphiquement les mesures principales de et . = = - 2 /3 (PI) est la médiane du triangle équilatéral MNP, donc c’est aussi la bissectrice de =  /6 IV- Trigonométrie 1) Cosinus et sinus d’un réel x Définition : Soit M l’image d’un réel x sur le cercle trigonométrique.  On appelle cosinus de x l’abscisse de M. On le note cos x.  On appelle sinus de x l’ordonnée