Belle Representation Chose

réfléchissant dont l'universalité réside dans l'accord des sujets ; c'est pourquoi le beau est défini comme « ce qui plaît universellement sans concept » ; « la beauté est la forme de la finalité d'un objet en tant qu'elle est perçue en lui sans représentation d'une fin. » En ce qui concerne l'agréable, chacun consent à ce que son jugement... soit restreint à sa seule personne. Il admet donc quand il dit : ... qu'un autre corrige l'expression et lui rappelle qu'il doit dire : Il m'est agréable; il

la nature ; dans tous les cas, l’imitation ne peut produire que des chefs-d’œuvre de la technique, jamais des œuvres d’art »  L’art n’est donc ni imitation de la réalité, ni reflet du réel, ni assujetti au désir. En effet, pour Hegel, si la représentation d’un nu, par exemple, éveille en moi quelque désir sexuel, c’est que je ne perçois pas l’œuvre dans sa dimension esthétique. Le Beau ne se résume donc pas à ce que je désire et souhaite posséder, concrètement. Il ne concerne que le côté théorique

seule forme de l’objet. 2) Interne à l’art Étude du 4ème moment : du point de vue de la modalité Régime de la satisfaction : plaisir nécessaire. Dans les modalités, il existe 3 modes : - La contingence :est le mot quand on qualifie quelque chose « aurait pu ne pas être, elle pourra ne plus l’être ; - La possibilité : soit serra soit ne sera pas - La nécessité : qui ne pouvait pas ne pas être, et ne pourra pas ne pas être ; Définition : est beau ce qui est reconnu sans concept comme objet

Le sujet : Objet d'étude Le théâtre : texte et représentation Le sujet comprend : Texte A - Molière, La Critique de L’Ecole des femmes (1663), scène 5 Texte B - Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac (1897), acte I, scène 3 Texte C - Paul Claudel, Le Soulier de satin (1929), Première journée, scène 1 Texte D - Jean Anouilh, Antigone (1944), Prologue TEXTE A – Molière, La Critique de L’Ecole des femmes La Critique de L’Ecole des femmes met en scène un débat entre des personnages adversaires

Pourtant il fait se souvenir de notre passer qui nous donne une conscience collective et il faut s’opposer farouchement au révisionnisme (personne niant l’histoire) Pierre Vidal Naquet : les révisionnistes sont « les assistons de la mémoire » une belle attitude moralement pernicieuse et politiquement dangereuse constitue une variation de l’histoire. L’art L’art et l’artisan. L’art à d’abord désigner une technique, un savoir faire : celui de l’artisan

elle est forme et elle est contenu ». Focillon dans cette phrase visé à définir ce qu’est une œuvre d’art, il y a 2 composants : la matière et la forme. « Matière » et «Forme » : La dimension matérielle de l’œuvre d’art. Une œuvre d’art est une chose, une matière, un matériau que l’artiste a transformé (mis en forme). La première rencontre avec une œuvre d’art passe par nos sens, à nous spectateur. Une œuvre d’art a une dimension sensible (qui se donne au sens). Si une œuvre d’art est un bien

nature, nous allons nous demander ce que l'homme recherche dans son imitation. Tout d'abord, comme le dit Aristote dans son recueil poétique "l'homme a une tendance à trouver plaisir aux imitations". Et cela est tout à fait vrai. Par exemple, une chose que l'on trouverai totalement abominable dans la nature, tel des cadavres ou des animaux en décomposition, seraient tout à fait appréciable, voir agréable, dans le cadre d'une œuvre d'art (exemple avec Cromwell devant le cadavre de Charles Ier de Paul

fille du riche Bourgeois, accepte de renoncer à cette union pour 30 000 livres, et se résout même à introduire son « ami » dans le salon de Célimène, au risque d’y perdre sa réputation de galant homme. Mais à trompeur, trompeur et demi ? C « Belle Marquise, vos beaux yeux me font mourir d’amour », soupire Monsieur Jourdain. Célimène a certes de beaux yeux mais surtout une langue de vipère. Malheur à ceux qu’elle épingle par des formules brillantes et assassines, telle l’héroïne du Misanthrope

vision différente des pièces qu’ils abordaient. Avec Six personnages en quête d’auteur (1921) - dont la représentation fut d’abord un échec à Rome, puis un succès à Milan -, Pirandello entama une trilogie sur le «théâtre dans le théâtre» qui comprend également Comme ci (ou comme ça) (1924) ainsi que Ce soir, on improvise (1930). Son théâtre est régulièrement axé sur l’impossibilité d’une représentation ou d’une création théâtrale. D’ailleurs, le véritable drame de Six personnages en quête d’auteur n’est

évènements ne sont pas intemporels en eux-mêmes, bien au contraire ; mais justement leur représentation artistique leur confère cette durée et cette immortalité ou les gravant dans la mémoire humaine, de façon sensible et esthétique (belle) pour qu'ils demeurent plus longtemps (le simple récit objectif d'un événement ne suffit pas : il faut le dramatiser). D'autre part seule la représentation abstraite d'une chose permet d"établir des relations intelligentes avec d'autres réalités, naturelles ou historiques