Belle Representation Chose

leurs liens. Avili, honteux de ses désirs, succombant sous les accusations de sa belle-fille, le père décida alors d'accueillir la famille chez lui où il vivait seul avec son fils légitime. Le directeur, fasciné par cette histoire, décide de la faire vivre. Il se retire avec le père pour écrire un « bref scénario ». Devrait être jouée d’abord la scène essentielle de la maison de rendez-vous. Mais le père et la belle-fille ne cessent de contester les décisions que prend le directeur. Le père, se faisant

leurs liens. Avili, honteux de ses désirs, succombant sous les accusations de sa belle-fille, le père décida alors d'accueillir la famille chez lui où il vivait seul avec son fils légitime. Le directeur, fasciné par cette histoire, décide de la faire vivre. Il se retire avec le père pour écrire un « bref scénario ». Devrait être jouée d’abord la scène essentielle de la maison de rendez-vous. Mais le père et la belle-fille ne cessent de contester les décisions que prend le directeur. Le père, se faisant

UNE ŒUVRE D’ART PEUT-ELLE NE PAS ETRE BELLE ? Introduction : L'art, appartenant au domaine de la culture, est une activité qui est présente partout autour de nous et l'importance qu'on y accorde est haute. L'art est de façon évidente lié au concept de la beauté. En effet il est courant d’éprouver de l’admiration devant la beauté d’une œuvre d’art, puis ce que celle-ci est souvent qualifiée de « belle ». Mais alors plusieurs questions peuvent se poser. Comment ce définit

2« Trop beau pour être vrai» ; cette expression français très communément utilisé par tous indique que lorsqu’une chose serait belle, elle ne pourrait pas être vrai. Cette expression est utilisé lors d’une déception ou bien d’une désillusion. Lorsque nous nous rendons compte de la vérité d’une chose, nous en sommes déçu. Nous associons alors le fait que cette chose était belle car elle n’était pas réelle ou que son caractère n’était pas totalement juste. Cela peut nous amener à nous interrogé

l’imitation. L’imitation de la nature est un thème qui sera abordé à partir du 17e siècle. Chapelain (critique & poète français du 17e siècle) souhaite qu’il n’y ai aucune différence dans le jeu de l’imitateur & de l’imité, c'est-à-dire dans leur représentation. Mais c’est un changement brutal aux mesures très rigoureuses qui risque de ne pas marcher dans le monde du théâtre & ses traditions. Car ces derniers sont plus portés sur Corneille & ses trois discours sur le poème dramatique que sur le jeu

1. La Belle âme de Hegel : « La belle âme est celle qui vit dans l’angoisse de souiller la splendeur de son intériorité. Il lui manque la force de s’extérioriser et de se faire soit même une chose […] elle se dissout comme un souffle inconsistant.» Tiré de la phénoménologie de l’esprit. La Belle âme représente la conscience selon Hegel et cette conscience se perd dans le monde : c’est une mauvaise extériorisation. Cette belle âme vit donc dans une fausse splendeur d’après Hegel, car elle vit dans

quelque chose. L'ébéniste lorsqu'il fabrique a meuble baroque, il crée tout autant une oeuvre ornementale qu'un objet utilitaire. Aussi, l'objet artisanale porte t-il la marque du génie du talent. Toutefois l'oeuvre artisanale n'a pas pour fonction première de procurer un plaisir esthétique ni même d'exprimer la personnalité d'un artiste II- L'ART EST IL IMITATION DE LA NATURE? Dans ses travaux sur l'art Kant déduit que "l'art n'est pas la représentation d'une belle chose mais la belle représentation

imitative dérisoire : la musique n’est pas l’imitation des sons de la nature, et personne n’est ému lorsqu’un imitateur imite un oiseau. Plus grave : une œuvre d’art peut être belle même si son modèle ne l’est pas. L’art n’est donc pas, comme le dit Kant, « la représentation d’une belle chose, mais la belles représentation d’une chose ». Même une photo n’est pas une imitation, il s’agit de parvenir, dans un instantané, avec une certaine lumière, à obtenir un effet auquel le photographe à penser, c’est

l’art et son histoire, c’est interroger ses fonctions successives ; a-t-il toujours été l’expression d’une subjectivité ? quel est son rapport à la réalité ? c’est s’interroger par là sur le statut de l’image, car l’art est de l’ordre de la représentation, de l’ordre du sensible. Il se donne à entendre, à voir… I- De l’art religieux à la religion de l’art ou de l’artiste… II- L’histoire de l’art selon Hegel Puis nous partirons de l’art contemporain, qui met en question le statut de l’art

Dans quelle mesure le spectateur est-il partie prenante de la représentation théâtrale ? Vous répondrez en faisant référence aux textes du corpus, aux œuvres étudiées en classe et à celles que vous avez vues ou lues. Les textes du corpus sont reproduits dans le sujet n ° 21. LES CLÉS DU SUJET ■ Comprendre le sujet • Le sujet comporte une question, claire. – Objet d’étude : « spectateur », « représentation théâtrale » → le théâtre. – Thème précis autour duquel tournera la réflexion : « le spectateur