Behavioriste

règles et des normes Fonction en contexte de stabilité Processus décisionnel ralenti Structure organisationnelle rigide Gestion autoritaire et pouvoir concentré au sommet Incompatible avec la créativité et l’innovation 1.5 – Le courant de pensée behavioriste Né en réaction au courant rationnel. 1.5.1 – Le mouvement des relations humaines Vise à humaniser la condition ouvrière. Le behaviorisme étudie les groupes de travail et la personne au travail comme être affectif. 1.5.1.1 – Les expériences d’Hawthorne

l’un des scientifiques américain le plus important du XXème siècle. NAISSANCE DU BEHAVIORISME Le terme de behaviorisme a été inventé par John Broadus Watson, en 1913. Cette même année, il publie un article intitulé La psychologie telle que le béhavioriste la voit, dans lequel il établit les principes de base de son idéologie. Le béhaviorisme défend l’idée que la psychologie en tant que science naturelle doit être analysée uniquement sur des événements observables et mesurables et en se débarrassant

précises sur leur comportement) ne permettent plus d'acquérir suffisamment de données sur la relation entre les aires cérébrales et les fonctions mentales. En particulier il manquerait à ce type d'observations un aspect quantitatif. Les psychologues béhavioristes, forts de leur méthodologie, fournissent un moyen d'investigation beaucoup plus fiable et plus puissant en développant un certain nombre de tests précis permettant les études de groupes. Ce développement a notamment profité de l'inflation du nombre

HUMAINS RAPPORT BELMONT : PRINCIPES ETHIQUES ET DIRECTIVES CONCERNANT LA PROTECTION DES SUJETS HUMAINS DANS LE CADRE DE LA RECHERCHE Rapport de la Commission nationale pour la Protection des sujets humains dans le cadre de la recherche biomédicale et béhavioriste Table des matières Récapitulatif Membres de la Commission Le rapport Belmont : Une introduction Frontières entre l’exercice de la médecine et la recherche Principes éthiques fondamentaux Respect de la personne Bienfaisance Justice Applications

s’introduisent dans la science politique. Cette politique est appelée le political behaviour. 2- Le behaviorisme: Il s’agit d’observer les comportements. Il faut que les comportements soient observables pour être observés. Ce mouvement behavioriste apparaît dans les années 20 et va se développer dans les années 30 et va connaître son apogée dans les années 50. L’un des chefs de file du behaviorisme est Charles MERRIAM. Il publie en 1925 New aspect of politics ; cet ouvrage est l’un des ouvrages

naturelles puisque l’enfant qui arrive à l’école vers 5 ans ne maîtrise pas totalement sa langue maternelle. Dans le processus d’apprentissage d’une L2, il est question tout d’abord de la théorie de l’interférence. Celle-ci fait référence à la théorie béhavioriste comme quoi il y a un transfert négatif. Ce transfert est dû à l’apprenant qui transfert dans la L2 les caractéristiques de la L1 et ce qui est semblable est automatiquement transféré. C’est à ce moment qu’ils voulaient élaborer des exercices de

l’apprentissage : Les théories behavioristes Les théories d’apprentissage social La théorie du rôle 2) Les théories behavioristes : Les théories behavioristes : approche psychologique qui met en avant l’étude du comportement objectivement observable et du rôle de l’environnement comme facteur déterminant du comportement humain et animal. Elle met en évidence les processus de conditionnement dans l’évolution de la personnalité. Le conditionnement classique : cette théorie behavioriste décrit le processus

la critique d’un livre de Berman, The Religion Called Behaviorism [Cette religion appelée behaviorisme]. Le Saturday Review of Literature refusa l’article «... mais pour la première fois, en l’écrivant, je me définissais plus ou moins comme un behavioriste » (ibid., p. 299). Après plusieurs conversations avec des condisciples de Hamilton, il demanda à être admis à l’Université de Harvard pour y préparer un doctorat et y fut accepté à l’automne 1928. Ce changement de cap brutal qui lui fit abandonner

attentes, l’instrumentalité et la valence déterminent la stratégie comportementale qui sera adopté par chaque individu. * Modèle behavioriste Selon cette théorie, l’individu adopte automatiquement les comportements qui vont entrainer des conséquences heureuses dans le passé et évite les comportements dont ont découlés des conséquences désagréables. Le modèle behavioriste offre un ensemble de technique servant à modifier le comportement des individus : * Le renforcement positif ; * Le renforcement

à nouveau de l’homme et des animaux. Il n’existe aucunes causes mentales pour le comportement. Si nous analysons le comportement, ce n’est pas la cause mental qui est analysée car nous sommes dans ce qui est appelé « la boite noire ». Pour les behavioristes, le comportement est comme un ensemble de réactions à des stimulus. Suite à cela, nous trouvons des lois qui déterminent la relation entre stimulus et réaction. Psychologie de l’homme normal Pour ce deuxième courant, nous sortons de l’idée qu’il