Beccaria

peut pas attendre, il faut que ce soit la disposition des choses càd limiter le pouvoir actuel. Il y a le contre-pouvoir : limites pour protéger la sté, le pvr. Il faut porter aussi haut que possible la dimension impersonnelle du droit. Texte n°17 : Beccaria (noble élevé dans une sté d’AR où il a bcp de privilèges ; a passé sa vie à lutter contre ce régime). Il dit que le juge doit juger comme une machine à raisonner et non par son avis personnel. Il doit faire un syllogisme pour chq procès. Le juge

s’opposer à une loi perverse qui ordonne la mise à mort. Dans l’ensemble du texte, le ton est grave, impérieux, et, sous l’ironie, se fait sentir l’indignation. Conclusion : On insistera sur la qualité des arguments de Victor Hugo issus à la fois de Beccaria, homme des Lumières (1er et 3e arguments), et du courant progressiste chrétien (2e argument. développé) : cette même ligne sera reprise par Jean Jaurès au début du XXe siècle. On soulignera également l’efficacité de ce discours clair et convaincant

Melchor de Jovellanos | | |Ecosse : David Hume, Adam Smith | | |Italie : Cesare Beccaria, Ferdinando Galiani | | |Etats-Unis : Benjamin Franklin, Thomas Jefferson | |Principaux ouvrages

d’Alembert, J-J. Rousseau, Helvétius, Mercier, Naigeon (son éditeur), Marmontel, La Harpe, Marie-Thérèse Geoffrin, Louise d'Épinay, Sophie d'Houdetot et des étrangers tels Melchior Grimm, Adam Smith, David Hume, Laurence Sterne, Ferdinando Galiani, Cesare Beccaria, Joseph Priestley, Horace Walpole, Edward Gibbon, David Garrick (pour l’essentiel cités dans la rapide biographie du second éditeur du Système de la nature, édition publiée en 1820). Au cours des réceptions, des articles de l’Encyclopédie sont préparés

affirmation, la rédaction d’un code civil ne constitue pas la priorité de l’Assemblée constituante. Cette rédaction d’un code civil passe après l’établissement d’un code pénal. L’assemblée vote en 1791, un code pénal inspiré de Montesquieu et de Beccaria. Ce code institue le principe de la légalité des délits et des peines, c’est-à-dire qu’on ne peut pas être arrêté de manière arbitraire. Et il adopte un système de peines fixes. Ce système fait du magistrat, une simple machine à appliquer les lois

de chose » auraient été ses dernières paroles. Mis en cause dans cette affaire, Voltaire prend alors fait et cause pour le chevalier de La Barre et ses coaccusés. Il rédige la Relation de la mort du chevalier de La Barre à Monsieur le marquis de Beccaria et Le Cri d’un sang innocent pour lesquels il sera condamné sans que la sentence puisse être exécutée du fait de sa présence en Suisse. Du fait de son éloignement, c’est Diderot qui le tiendra au courant des évènements. Voltaire utilisera ses

Petite Roquette Conseillers pénitentiaires d’insertion et de probation 21ème promotion, promotion Simone Veil 20ème promotion, promotion Geneviève de Gaulle Anthonioz 19ème promotion, promotion Nelson Mandela 18ème promotion, promotion Cesare Beccaria 17ème promotion, promotion Jean Moulin 16ème promotion, promotion Marc Ancel 15ème promotion, promotion John Augustus Surveillants pénitentiaires 198ème promotion, promotion René Cassin 197ème promotion, promotion Albert Londres 196ème promotion

la séduction excessive du récit ne fasse passer la dimension argumentative en arrière-plan ou même l’occulte complètement. Par opposition, l’argumentation explicite, directe a le mérite d’être claire, de ne pas prêter au contresens. L’extrait de Beccaria provenant de son ouvrage Des délits et des peines et consacré à la dénonciation de la torture en est un bon exemple. Le lecteur apprécie l’efficacité et la concision du propos. Conclusion La littérature qui s’éloigne du réel et nous transporte

fortement le luxe ostentatoire de la cour • Il existe une crise économique causée par les taxes du mercantilisme imposés par la Grande-Bretagne • Il y a une grande influence de la part des philosophes des Lumières (Benjamin Franklin, Cesare Beccaria, Henry Home, etc...) • Le people cherche à avoir un contrat social du droit naturel • Ce fait a servi comme source d’inspiration pour d’autres sociétés occidentales et leur a donné l’envie de se battre pour leur liberté

conditions de détention (surpopulation, saleté, air « vicié » corrupteur des moeurs) et de jugement, on appelait une réforme de la justice dont les affaires Calas (1762), Sirven (1764) et La Barre (1766° paraissaient justifier l'urgence. « L'effet Beccaria ». Calas et Sirven sont condamnés à mort pour des parricides qu'ils n'avaient pas commis. Voltaire s'implique dans ces deux affaires. Le chevalier de la Barre âgé de dix-neuf ans est condamné à avoir le poing coupé, la langue arrachée et ) être brûlé