Beauté Physique Beauté Morale

français. Chateaubriand fait un long portrait de Mirabeau qu'il à rencontrer deux fois en séjournant dans la capitale. Il fait à la fois un portrait positif et un portrait péjoratif de Mirabeau. On distingue deux types de portraits : Le portrait moral : Chateaubriand nous apprend qu'il considère Mirabeau comme « une homme extraordinaire ». Cependant, il nous annonce que Mirabeau peine a s'exprimer lors de ses discours et qu'il parle surtout de lui, on peut donc penser que Mirabeau est vaniteux.

Isaure RaissonLa beauté est-elle naturelle ? A travers les siècles, le sujet de la beauté a souvent été abordé par les philosophes et les artistes. La beauté, du latin « bellus », est de manière générale, le fait d’éprouver une émotion esthétique et subjective que l’on pense partageable et universelle ; elle est permanente. Le beau est le concept fondamental de l’esthétique qui émet un jugement sur l’art et les choses. La question est donc de savoir ce qui caractérise cette beauté. Nous avons tendance

significatif car il renvoi au féminin (cf autres titres délaissés), à l'origine de Mal et de la Création.De plus l'antithèse de ce titre renvoie à l'opposition qui édifie la poésie et évoque une beauté bizarre, une alchimie capable de transformer la boue en or.En effet le mot « fleurs » renvoie au féminin, à la beauté et à l'alchimie (=connotation positive)Tandis que le mot « mal » représente le malheur et la misère ( cf spleen) mais c'est aussi une manifestation de la poésie nouvelle (qui se nourrit de

De « Il parut alors une beauté à la Cour, ... » à « … pleins de grâce et de charmes. » •Introduction: On est dans le début du roman. On est à la Cour d'Henri II. On y voit les côtés de la galanterie, … Le texte porte sur le portrait de mademoiselle de Chartres. On a l'impression d'avoir un personnage parfait dans un monde parfait. •Problématique: Cette apparence parfaite ne conforte-t-elle pas des failles ? I- Le portrait de l'héroïne avoisine la perfection A) La 1ère perfection énoncée

éducation originale pour l’époque, dans ce monde de galanterie et d’intrigues de la Cour de France ? Après avoir examiné l’effet que produit cette beauté sur la Cour, où le paraître est essentiel, on montrera que le cœur du texte concerne l’être et la vertu comme bouclier contre les dangers de la galanterie qui caractérisent la Cour. I) Une beauté incomparable, en péril à la COUR où règnent l’intrigue et la galanterie A) Un portrait canonique idéalisé - L’apparition à la COUR de Mademoiselle

ans, et une de ces innocences invraisemblables qui devraient être une anomalie dans le pays de feu3. » La peinture de ce portrait féminin est un composé des canons de la beauté dans leur pluralité. Tout d’abord le topos culturel de la beauté espagnole consacrée par les Lumières imprime au personnage le cachet de la fameuse beauté méditerranéenne. Or, ce trait culturel est défini à partir de plusieurs paramètres. L’espace où est née Pepita est un espace sacralisé au sens anthropologique du terme. Il

etc… » - « les belles ont droit de nous charmer »  Il se dit victime - « Justes prétentions »  il prétend respecter les vraies valeurs de la nature à l’inverse des fausses valeurs de la morale d’où le terme « faux honneur d’être fidèle ». - Morale religieuse : il rejette valeur spirituelle au profit d’une morale matérielle (philosophie épicurienne) - « Douce violence » : oxymore qui sert au lexique valorisant - Métaphore filée militaire : registre épique et conquête amoureuse explicitement

I. Tentative de séduction 1. Un portrait flatteur - Clindor fait un éloge de la beauté de Lyse, reprend les paroles de Lyse en chiasme, allusion, oppositions par les sonorités [f], [a]. Polysémie du mot « dangereux ». - Eloge conventionnel : son visage est unique, préciosité, propre aux séducteurs, accumulation d’expressions laudatives. - Distinction entre « les fous » (= Matamore) et les « plus sages » (= Clindor). Vers importants, créent une parole enjôleuse. - Gradation, on passe de «

inutile, socialement exclue. - l'oraison funèbre : éloge à la mémoire d'une personne disparue. - blason : genre poétique, c'est l'éloge de la beauté corporelle et physique. L'éloge repose toujours sur un système de valeurs : - des valeurs morales (ex : honnêteté) - des valeurs esthétiques (ex : beauté) - des valeurs pratiques (ex : utilité) Cependant, ces valeurs sont nécessairement relatives et subjectives : elles dépendent des normes d'une époque, varient selon

hyperbolique -procédé hyperbolique très présent (l.2 ; 4-5 ; 24 ; 25 ; 26 ; 28 ; 29-30) Cette beauté et cette perfect° provoque la surprise chez celui qui la regarde (le Vidame). Il atteste de sa beauté. B- Un portrait néanmoins classique Mlle de C. → inscrite sous le signe de la vertu Sa beauté → suggérée avec insistance plus qu'elle n'est détaillée Peu d'élément sur son physique bien que « beauté » soit répété 5 fois ds le texte. -indices sur sa catégorie sociale (29-30) → fait partie de