Beauté Physique Beauté Morale

pour cette rencontre : - personnification de la rue, - concordance entre « la rue », « assourdissante », « hurlait » (contraste)     - "avec sa jambe de statue" : la beauté intérieur (morale) se joint a la beauté extérieur - "en grand deuil" qui évoque la tristesse et le malheur : la tristesse accompagne la beauté II. Les réactions du poète - il ne peut qu’être voyeur et ne peut rien faire : "paralysé", "fasciné", "médusé", souligné part le terme "crispé" au vers 6 - La comparaison

« Il avait les larmes aux yeux […] adorait » : Rappeler que lorsque son père a frappé Julien, il lui a fait tomber des mains le livre qu'il lisait, qui a fini emporté par la rivière. Toujours le registre pathétique, la souffrance morale venant s'ajouter à la douleur physique, et la surpasser. Description donnant à Julien une dimension sensible (il pleure, il adorait son livre). Opposition avec le personnage du père décrit auparavant dans le roman comme un personnage rude ne s'intéressant qu'à

AUSPICES DE LA GRANDE LOGE de FRANCE ORDO AB CAHO FRANC MACONS de RITE ECOSSAIS ANCIEN et ACCEPTE Vénérable Maître, et vous tous mes frères en vos grades et qualités, LA BEAUTE EST PARTOUT Le thème de cette planche m’est apparu comme une évidence le Mardi 3 Septembre 2013, à SARLAT, où je passais une semaine de vacances avec mon épouse. J’assistais à un concert, en petite assistance (environ 50 personnes) : les sonates

la robe. La description suggère surtout la perfection physique : la silhouette est élancée (« longue, mince »). Elle est « en grand deuil », c’est à dire tout habillée de noir, mais l’expression connote aussi l’idée d’un vêtement somptueux. V. 3 :Le déterminant indéfini au vers 3 «une femme passa» joue ici bien son rôle : il désigne un être animé inconnu; il peut aussi retrouver sa valeur numérale : la jeune femme est unique dans la beauté qu’elle incarne. V 4 L’allitération en [L] associée

présenté visuelement “une beauté”.Procédé qui resume la jeune femme.Lecteur = a la place de la courL2. : CC “dans un lieu.. Personne” valeur de concession, la supériorité de la princesse, étonnement de la cour(beauté = norme pour eux), ajout du nom “parfaite”.L3. Princesse est déja riches, beauté = entrée

une phase d’égocentrisme et on voit les autres comme des silhouettes donc on choisit nos amis pour leur beauté et après on apprend à les connaitres. Tandis que Pascal, affirme que l’on ne peut pas aimer une personne pour son apparence. Pascal se défend bien en disant dans son ouvrage, Pensées : «Celui qui aime quelqu'un à cause de sa beauté l'aime-t-il ? Non, car la petite vérole qui tuera la beauté sans tuer la personne fera qu'il ne l'aimera plus. Et si on m'aime pour mon jugement, pour ma mémoire

être une œuvre d’art ? L’art ne doit-il pas représenter la beauté pour être réussi ? Pour répondre à ce questionnement, il faut en premier se demander qu’est-ce que la laideur ? Le laid est quelque chose dont l’aspect heurte le sens esthétique, l’idée que l’on a du beau comme par exemple, un objet laid. La laideur peut être dans un sens physique, mais aussi moral. Qui s’écarte des bienséances ou de ce qu’on pense être bien, moral, honnête : une histoire assez laide. Il faut noter que la représentation

moderne cultive excessivement son corps : quels sont les tenants et les aboutissants de ce phénomène ? Culte : vénération, adoration pour qql ou qqch. Now canon de beauté : femme jeune et filiforme Culte ou haine du corps ? Références à des œuvres littéraires % et chiffres Photos tableaux etc pr montrer evolution des criteres de beauté Oliviero Toscani avec sa pub contre anorexie Emissions miss swan On va parler essentiellement des femmes meme si c’est un phenomene qui tend de plus en plus à

personnalitésproches de Scudéry. Ainsi, le portrait de Cléomire, ici, représente en réalité Mme de Rambouillet. Découpagedu texte:1.Premier paragraphe (lignes 1 à 11): portrait physique2.2eme paragraphe (lignes 12/22): portrait moral/psychologique/ intellectuel.I.L’éloge physique de Mme de Rambouillet à travers le portrait de Cléomire..a)Quelques éléments généraux de description physique.Dès 1erelignes,utilisationvoclié ausens de la

– lecture analytique Corneille, homme de théâtre, a écrit en 1658 un poème afin d’établir un dialogue sentimental avec la jeune comédienne Thérèse Du Parc, surnommée Marquise, célèbre pour sa beauté et son talent de tragédienne. Une stance est un poème lyrique d’inspiration grave, religieuse ou morale, et c’est cette forme poétique qu’a choisi l’auteur du Cid pour exprimer ses sentiments personnels. Le lecteur s’attend donc à découvrir un texte solennel sur des thèmes majeurs, en somme une réflexion