Beauté Physique Beauté Morale

éternel. Le texte s’ordonne en deux parties. Pascal précise d’abord qu’aimer le « moi » pour sa beauté n’est pas l’aimer tout entier, il utilise l’exemple de la petit vérole pour montrer la destruction de la beauté et ainsi celle de l’amour du « moi » Il se penche alors sur la recherche du « moi » : où est-il réellement ? En effet, l’amour du « moi » s’arrête quand ses qualités telles que la beauté, la mémoire ou le jugement meurent alors que le « moi » est éternel. Aimons-nous vraiment le « moi » 

LECTURE SUIVIE / ACCOMPAGNEE PARTIE IPagesEpisodeAnalyses – questions- remarques en lien avec individu/morale/société15-22Présentation de la Cour et de ses personnages« Tous les plaisirs étaient à la Cour », « Jamais cour n'a eu tant de belles personnes » → une société de luxe, de plaisir et de distinction !Quelle est la 1ère image que l'on a de M. de Clèves ? (Citations)Quelle est la 1ère image que l'on a de M. de Nemours ? (Citations)(Il lui dit qu’il n’y avait rien que monsieur de Nemours ne pût

deuxième quatrain et surtout élargit le portrait en apportant des éléments d'ordre moral. Ici, la beauté morale se joint à la grâce du corps et aboutit à l'idéalisation de la beauté dans l'expression "avec sa jambe de statue". Dans le 1er quatrain, il faut aussi retenir l'expression "en grand deuil" qui évoque la tristesse et le malheur. Baudelaire a expliqué que la notion de tristesse accompagne pour lui celle de beauté. II. Les réactions du poète         Le narrateur, face à cette apparition, ne

deuxième quatrain et surtout élargit le portrait en apportant des éléments d'ordre moral. Ici, la beauté morale se joint à la grâce du corps et aboutit à l'idéalisation de la beauté dans l'expression "avec sa jambe de statue". Dans le 1er quatrain, il faut aussi retenir l'expression "en grand deuil" qui évoque la tristesse et le malheur. Baudelaire a expliqué que la notion de tristesse accompagne pour lui celle de beauté. II. Les réactions du poète         Le narrateur, face à cette apparition, ne peut

integré à un épisode narratif --> apporte du dynamisme - Debut du roman avec un narrateur omniscient --> connait le passé, les pensées du personnage 1. Portrait physique La beauté du personnage est une beauté irrégulière. Elle n'appartient pas la perfection de l'esthétique classique. 2. Portrait moral - être sensible, il pleurt "larmes aux yeux", "tristement", "il tremblait", "il avait les joues pourpres, les yeux baissés" --> personnage romantique -->

heur, malheur. l’être aimé masculin en est la cause. 7. Impossible maîtrise de soi mais pas d’idéalisation de la femme, ni de trace de féminité du destinataire. II. L’amour physique prend le dessus 1. Les sensations sont au rendez-vous: se brûler, le froid, sécher, verdoyer, rire, larmoyer, la douleur: tout est physique. 2. Le rythme démontre l’instabilité émotionnelle du poète. 3. Utilisation de rimes embrassées qui démontre la volonté de sensualité. 4. Premier vers du premier tercet explique:

: la beauté. Cette beauté est-elle dans la chose-même, ce qui supposerait qu’il y a des choses belles et des choses laides en elles-mêmes ou dans notre façon de voir et de représenter les choses alors n’importe quoi peut devenir beau ou laid, selon notre sentiment ou selon la manière de présenter les choses ? Nous verrons que ; Le beau est apprécié selon les différentes conceptions de l’homme ? Dans un premier lieu nous verrons les différentes conceptions que l’homme a de la beauté. Ensuite

deuxième quatrain et surtout élargit le portrait en apportant des éléments d'ordre moral. Ici, la beauté morale se joint à la grâce du corps et aboutit à l'idéalisation de la beauté dans l'expression "avec sa jambe de statue". Dans le 1er quatrain, il faut aussi retenir l'expression "en grand deuil" qui évoque la tristesse et le malheur. Baudelaire a expliqué que la notion de tristesse accompagne pour lui celle de beauté. II. Les réactions du poète Le narrateur, face à cette apparition

vite ambigu : les mentions épistolaires : « Ne t’y trompe pas » (12) s’estompent rapidement, dévoilant au lecteur que cette missive est tout autant un texte envoyé à un destinataire pour son éducation ou son édification intellectuelle, politique et morale qu’un message exemplaire sous forme de monologue : « La continuité narrative et dramatique correspond à celle exclusive, dominatrice, totalisatrice d'un personnage central qui donne son sens à cette confession bilan d'une vie » 2 . On y trouve

Ismène - Blonde, plein figuré, et éclatante de beauté, le rire, bavard Ismène est la bonne fille de la famille. She is reasonable and understands her place, bowing to Creon's edict and attempting to dissuade Antigone from her act of rebellion. Elle est raisonnable et comprend sa place, s'inclinant à l'édit de Créon et Antigone tentant de dissuader de son acte de rébellion. As in Sophocles' play, she is Antigone's foil. Ultimately she will recant and beg Antigone to allow her to join her in death