Beauté Naturelle Et Beauté Spirituelle

poète peut comprendre la nature cela nous montre donc ses pouvoirs. Car la nature s'allie à l'être humain «  les arbres sont de « vivants piliers », qui prononcent de « confuses paroles » ».Baudelaire distingue le naturel, c'est à dire ce qui n'est qu'apparence, la matière et le spirituel, c'est à dire la réalité. Il distingue ces deux choses par les symboles et par les signes matériels, concrets, fournis par la nature. Cette tâche est réservée au poète car l'homme lui ne fait que « passe(r) à travers

réflexion : "Quel dommage qu'il doive vieillir et une telle beauté se faner !"; ce sur quoi le peintre rétorque : "Oui, si seulement son portrait pouvait vieillir et lui rester éternellement jeune !" Cette petite remarque marque Wilde, il y pense souvent et s'en inspire pour écrire son roman. Reconnaissant, Oscar Wilde nommera le peintre de son roman Basil Hallward. Oscar Wilde y inclut aussi des thèmes relevant de l'esthétique tels que l'art, la beauté, la jeunesse, la morale, l'hédonisme (recherche inlassable

l'amour sensuel , comme dans « Le serpent qui danse ». En 1847, il rencontre Edgar Poe , chez lequel il s'identifie. A partir de 1848, Baudelaire mène une vie de Dandy. En 1852, il envoie des poèmes à Mme Sabatier , celle qu'il associe à un amour spirituel. En juin 1857, il publie Les Fleurs du Mal rapidement censuré . Il le réédite alors quatre ans plus tard . En 1864, il s'installe à Bruxelles; en 1866 , il perd connaissance ce qui provoque de nombreux troubles cérébraux . Il succombe en 1867 ;

bizarre : une œuvre d’art n’est pas seulement un objet bien fait ; elle doit surprendre ; être suggestivec) le beau dans la nature et le beau dans l’artSelon Kant, les beautés de la nature sont supérieures à celles crée par l’homme. Alors que, pour apprécier les œuvres d’art, l’apprentissage ou la connaissance est inutile, les beautés de la nature ne font appel qu’au jugement de goût, qui est désintéressé : il s’agit simplement de les contempler.3) L’art et l’esprit a) l’accord du sensible et du spirituelHegel

échange galant comme celui que Cléante et Angélique ont eu à la fin de cette même scène. Pour Molière comme pour les classiques, le personnage qui reproduit sans intelligence un discours précieux appris par cœur se rend ridicule par son manque de naturel. Or cette qualité est celle dont doivent faire preuve même les acteurs qui pourtant répètent tous les jours le même rôle (voir l’extrait de L’Impromptu de Versailles, de Molière, p. 223 Edition Folio+). A l’opposé, Cléante sera capable d’improviser

que son esprit aspire à l'idéal. Baudelaire évoque cette lutte en 1857 dans un recueil de poème Les Fleurs du mal, en effet ce recueil, tend à exprimer la tension entre l’expérience amère et mélancolique du Spleen et l’exaltation du rêve et de la beauté incarnée par l’Idéal. C’est cette dualité qui représente le thème central de l’œuvre baudelairienne. En effet l’auteur est constamment à la recherche d’un idéal hors d’atteinte et cet échec provoque en lui un sentiment de Spleen ainsi qu’un dégout

« Une charogne », « La beauté », « Les femmes ». - Citation à retenir: « Un outrage a la moral publique et aux bonnes mœurs » - critique faite a Baudelaire sur Les fleures du Mal, plus précisément des pièces condamnés. - Ambivalence de la femme pour Baudelaire:- beauté naturelle et artificielle                                                  - innocence et perversité - Qui provoquent chez le poète de la fascination et de la peur. - Le poète se sacrifie pour la beauté. - Carpe diem : vie de

aspect esthétique). S’adonner à l’art est une activité spirituelle, et donc en tant que production, manifestation de l’esprit, elle suggère une importance considérable, voire pour certains une supériorité face à la nature. « L’œuvre d’art vient donc de l’esprit et existe pour l’esprit », ainsi que «(…) il est permis de soutenir dès maintenant que le beau artistique est plus élevé que le beau dans la nature. Car la beauté artistique est la beauté née et comme deux fois née de l'esprit. Or, autant l'esprit

à l'expression des sentiments et des sensations en abolissant les règles strictes de la littérature classique. Il propose de jouer sur les contrastes, sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet. Les

révélation). Son signe le plus sûr est la beauté, ultime leçon de Platon. « Prête-moi maintenant, Socrate, toute l’attention dont tu es capable. Celui qui, dans les mystères de l'Amour, se sera élevé jusqu’au point où nous en sommes, après avoir parcouru dans l'ordre convenable tous les degrés du beau, parvenu enfin au terme de l’initiation, apercevra tout à coup une beauté merveilleuse, celle, ô Socrate ! qui était le but de tous ses travaux antérieurs : beauté éternelle, incréée et impérissable, exempte