Beauté Naturelle Et Beauté Spirituelle

« La beauté est vérité, la vérité beauté », par cette affirmation, John Keats, poète romantique anglais du 18e siècle, semble déclarer que la vérité, c'est-à-dire le dévoilement d’une chose, son essence, son intelligence qui permet l’adéquation de cette chose à l’intellect, est accessible par la beauté. Le fait de rencontrer la beauté, d’en faire « l’expérience », serait une sorte de dévoilement, de révélation de sensations nouvelles qui permettrait à l’esprit de s’ouvrir, d’appréhender le monde

par conséquent est productif, il invente du possible en dérivant une chose ; l'énonciation collective dans une communauté rend réalisable cette chose. >Bachelard écrit dans La Psychanalyse du Feu que la conquête du superflu donne une excitation spirituel plus grande que la conquête du nécessaire. L'homme est une création du désir, non pas une création du besoin. .Texte de Pascal : Le désir fait l'objet d'un questionnement moral et toute les morales se définissent par leurs attitudes faces aux

« Si le grain ne meurt » et de « Voyage au Congo » pour présenter des descriptions de paysages où se reflètent états d’âme et sentiments profonds à certains moments et ainsi, dévoiler l’esthétique de la nature dont tout paysage revêt une valeur spirituelle dans l‘œuvre d’André Gide. Mots-clés : Recherche esthétique, nature, harmonie, lumière, valeur, gidisme. 摘要：安德烈. 纪德是二十世纪上半叶卓越的法国作家，但一向又是受人争论的人物。纪 德在各方面都非常出众，他戏剧性的一生和他的作品交织在了一起。在他内容广博和具有 艺术价值的作品中，他以对真理无所畏惧的热爱和敏锐的心理洞察力，表现了人性的种种 问题与现状，并以明净精细的文笔呈现了自然景物永不停息丰富的变化。他的影响力无论

paraître, si l’on observe que la beauté qui est l’œuvre de l’art est plus élevée que celle de la nature ; car elle est née de l’esprit qui est doublement son père. Il y a plus : s’il est vrai que l’esprit est l’être véritable qui comprend tout en lui-même, il faut dire que le beau n’est véritablement beau que quand il participe de l’esprit et est créé par lui. En ce sens, la beauté dans la nature n’apparaît que comme un reflet de la beauté de l’esprit, que comme une beauté imparfaite qui, par son essence

cent vingt poèmes, Baudelaire évoque son expérience de la dualité entre divinité et enfer, le Spleen et l’Idéal, ses amours maudits (Jeanne Duval la mulâtresse) ou platoniques (Madame Sabatier, sa muse et protectrice), l’expérience douloureuse ou spirituelle de la solitude, les paradis artificiels (vin, opium, haschich), la débauche et les voluptés interdites (homosexualité, plaisirs sadiques). Baudelaire parle encore de ses rapports avec la religion, qu’il exècre, de la tentation qu’il éprouve envers

toujours l’essence même de l’homme qui consiste dans la conscience qu’il a de lui-même et du monde et ce, à la différence des autres êtres de la nature, qui sont, eux, privés de conscience. La fonction artistique rendrait alors compte de l’essence spirituelle de l’homme et de sa tendance à exprimer sa spiritualité à travers une matière. L’artiste serait la figure exemplaire de la tendance créatrice de l’homme, une tendance qu’il doit à ce qu’il n’est pas seulement un corps mais un esprit dont la particularité

émotions esthétiques. Le beau permet l’expression de la sensibilité en effet quand nous voyons de belles choses nous éprouvons un sentiment esthétique. Par exemple, dans un musé les statues suscitent nôtre regard car nous trouvons cela très beau. La beauté c’est un plaisir qui est prit à une forme, le beau réside dans l’objet lui même, c’est un objet apparent et manifeste. Il faut de la connaissance pour voir le beau. Pour Kant « le beau est ce qui plaît universellement, sans concept ». On prend le

harmonie avec les éléments marins. L'amplitude du vol est rendue sensible par la longueur de la première phrase. V1&2 → rythme croissant, ouverture du poème. V3&4 → rythme fluide, croissant, qui ouvre l'espale. Fluidité du v4 qui évoque la majesté, beauté de cette représentation, mouvement; pas de virgules mais des "e" sonores au milieu de chaque hémistiche. Élément sonore : assonance en [a] + allitération en [s] dans "vastes" et "albatros" v2. ALBA = blanc (en latin). On trouve l'adjectif "blanche"

Des rapports entre le beau artistique et le beau naturel. Cet ouvrage est consacré à l’esthétique, c’est-à-dire à la philosophie, à la science du beau, plus précisément du beau artistique, à l’exclusion du beau naturel. Pour justifier cette exclusion, nous pourrions dire, d’une part, que toute science est en droit de se tracer les limites qu’elle veut ; mais, d’autre part, ce n’est pas en vertu d’une décision arbitraire que la philosophie a choisi pour objet le seul beau artistique. Ce qui

notre quête du bonheur. D’abord, selon lui, l’amour est une mania, soit un délire ou une folie. C’est ainsi puisque l’amour débute toujours avec une attirance pour la beauté physique de quelqu’un d’autre et ce mouvement de notre âme vers la beauté est un type de désir irrationnel comme une folie. Bref, l’amour est l’amour de la beauté. De plus, cet amour débute avec l’amour d’un seul et unique beau corps. En effet, notre première expérience en amour est toujours celle d’une personne et plus précisément